Le risque étant inhérent aux produits in fine, pas question, pour les banquiers de diffuser ces prêts sans garantie. C’est la raison pour laquelle, ils exigent généralement que le prêt soit adossé à un produit de placement pour la même durée que l’emprunt, ce qui permet généralement, à terme, de faire face au remboursement du capital. Ce produit de placement peut, par exemple, prendre la forme d’un contrat d’assurance vie, d’un PEA en euros ou en unités de compte, sur lequel vous devez déposer une somme relativement importante, de l’ordre de 20 à 50 % du capital emprunté. Certaines formules vous autorisent néanmoins un dépôt minimum et des versements ultérieurs. Toutefois, si vous n’avez pas d’épargne préalable, la formule est encore plus risquée. Rien ne vous assure, en effet, que vous obtiendrez à terme un capital suffisant pour rembourser le prêt ? D’ailleurs, les banques sont très vigilantes sur ce point. Toutes ont mis en place un système de suivi qui permet de faire régulièrement le point de cette épargne et ainsi vérifier que vous pourrez bel et bien rembourser à l’échéance du prêt. Si ce n’est pas le cas, elles vous demanderont de faire un effort d’épargne supplémentaire. Autant dire que votre projet doit être bien étudié. Si vous comptez sur les loyers pour rembourser le crédit, soyez particulièrement vigilant. Il suffit de quelques loyers impayés pour remettre en cause la viabilité de votre opération. De ce point de vue, une assurance “loyers impayés” peut s’avérer utile.
Le risque étant inhérent aux produits in fine, pas question, pour les banquiers de diffuser ces prêts sans garantie. C’est la raison pour laquelle, ils exigent généralement que le prêt soit adossé à un produit de placement pour la même durée que l’emprunt, ce qui permet généralement, à terme, de faire face au remboursement du capital. Ce produit de placement peut, par exemple, prendre la forme d’un contrat d’assurance vie, d’un PEA en euros ou en unités de compte, sur lequel vous devez déposer une somme relativement importante, de l’ordre de 20 à 50 % du capital emprunté. Certaines formules vous autorisent néanmoins un dépôt minimum et des versements ultérieurs. Toutefois, si vous n’avez pas d’épargne préalable, la formule est encore plus risquée. Rien ne vous assure, en effet, que vous obtiendrez à terme un capital suffisant pour rembourser le prêt ? D’ailleurs, les banques sont très vigilantes sur ce point. Toutes ont mis en place un système de suivi qui permet de faire régulièrement le point de cette épargne et ainsi vérifier que vous pourrez bel et bien rembourser à l’échéance du prêt. Si ce n’est pas le cas, elles vous demanderont de faire un effort d’épargne supplémentaire. Autant dire que votre projet doit être bien étudié. Si vous comptez sur les loyers pour rembourser le crédit, soyez particulièrement vigilant. Il suffit de quelques loyers impayés pour remettre en cause la viabilité de votre opération. De ce point de vue, une assurance “loyers impayés” peut s’avérer utile.
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Olivier Marin Rédacteur en chef chezFigaro Immoneuf