Actualité
L'AVIS DE YVES NORMAND, Maire de La Trinité-sur-Mer
"Un important secteur touristique et nautique"
Sur la façade Manche-Atlantique, les opportunités d’achat ou d’investissement ne manquent pas, d’autant qu’avec la crise, les prix ont sensiblement baissé. Enquête.
Le marché de l'aire montpelliéraine présente toutes les caractéristiques d'un marché sain. C'est en tout cas ce qu'indiquent les résultats de l'Observatoire immobilier du groupe Adéquation. Au 1er trimestre 2007, les prix des logements vendus restent stables à 3 065 e/m2 et sont quasiment équivalents à ceux de l'année dernière. Parmi les segments de prix, la gamme inférieure à 2 100 e/m2 a disparu, laissant place à un segment supérieur parmi lequel figurent les appartements dits à "prix maîtrisés". En moyenne, sur l'agglomération de Montpellier, le 2-pièces de 42 m2 est commercialisé à 143 975 e (c'est une moyenne !), le 3-pièces à 220 689 e et le 4-pièces à 325 490 e. "Sur les 504 logements vendus, pour 469 mis en vente -un équilibre quasiment parfait !- 316 appartements l'ont été sur la ville de Montpellier. Quant au taux d'écoulement, avec 8,8 %, s'il poursuit sa tendance à la baisse, constate Xavier Longin, consultant du groupe Adéquation, il reste proche des taux d'écoulement des trois trimestres précédents. Dans l'agglomération et aux abords du territoire intercommunal, l'offre se diversifie si l'on observe les dernières opérations commercialisées, notamment à Castelnaule- Lez, où Pragma propose L'Etoile, 98 appartements autour d'un îlot de verdure, du 2 au 5-pièces, avec le 3-pièces de 55 m2 commercialisé (parking inclus) à 198 000 e. La livraison de la deuxième tranche est prévue pour le 1er trimestre 2009. Sur la même commune, Dominium réalise Le France, une opération conçue avec des prestations de haute qualité telles qu'entrée sécurisée par vidéophone, portes isoblindées ou climatisation réversible. La résidence sera livrée au 1er trimestre 2009 avec, par exemple, le 3-pièces de 75 m2 à 330 000 e. On retrouve des opérateurs tels que FDI Promotion à Pérols pour Les Salines, 23 villas avec de vastes terrasses et jardins, à 5 mn des plages, livrables au 3e trimestre 2008.
L'avis de DOMINIQUE DUPERRET, Secrétaire général de l'UMF
"Nous avons connu un redressement spectaculaire"
Qu'est ce qu'une mainlevée d'hypothèque ?
J'ai signé une promesse de vente pour un appartement et mon notaire m'avertit qu'il doit procéder à une mainlevée d'hypothèque avant la signature de l'acte authentique.De quoi s'agit-il ? (Renée T.,Marseille, 13)
L'avis de Bertrand MOURS, président de la Fédération des promoteurs-constructeurs des Pays de Loire
« Pour bien investir, il faut éviter deux écueils : acheter dans un secteur où l'offre excède la demande, et compter sur des loyers trop élevés. Des outils permettent de s'informer sur les réalités du marché en Loire-Atlantique. Le premier, c'est Oloma, un observatoire de l'activité de la promotion immobilière et de l'individuel aménagé sur l'agglomération nantaise, Saint-Nazaire, Cap Atlantique et le SCOT d'Angers.
L’Est de Lyon attire les acquéreurs de logements neufs
Au premier semestre, les ventes de logements neufs de la promotion privée dépassaient en périphérie celles de Lyon intramuros et de Villeurbanne. La raison majeure à cela tient en deux mots : les prix. Hors parking, ceux-ci s’affichaient en moyenne à 2 890 euros/m2 en périphérie Est, contre 3 689 euros/m2 dans le centre. Joker de l’est, la desserte de transports s’améliore. Depuis 2006, le tramway LEA relie la Part-Dieu à Meyzieu en 25 minutes. Voilà un an, la station de métro La Soie a été inaugurée à Vaulx pour doper le Carré de Soie. La mise en service du T4 vers Vénissieux s’annonce pour 2009, avec un prolongement ultérieur sur la Part-Dieu. Ces sillons de développement embellissent les paysages : le T4, surnommé “ligne verte et fleurie”, s’engazonne et se plante d’arbres. Le parcours de LEA s’orne d’oeuvres d’art, telle cette fresque transformant le château d’eau de Vaulx en bobine de soie rouge.
Christian Rolloy, Président du groupe Promogim (Promogim, Franco Suisse, Immopierre)
À la tête d'un groupe spécialisé dans le secteur résidentiel, Christian Rolloy décrypte les effets de la reprise de l'activité et souligne les perspectives en matière de logements verts. "Les conditions d'achat sont actuellement favorables" Le Club Immo : quelle analyseportez-vous sur l'évolution du marché de l'immobilier ? >Christian Rolloy : aujourd'hui le marché de l'immobilier se porte beaucoup mieux. Ceci est aussi vrai pour le marché du neuf que celui de l'ancien. Les conditions d'achat sont devenues réellement intéressantes pour les acquéreurs. Tout d'abord, parce que le marché est porté par des taux d'intérêts particulièrement bas, ensuite parce que les aides en faveur de l'accession sociale à la propriété sont à leur maximum et enfin parce que les prix se sont stabilisés, voire ont baissé par rapport aux sommets atteints il y a deux ou trois ans. La conjugaison de ces trois éléments assure donc des conditions favorables . Par rapport aux années 2008-2009, je pense que l'on est sorti de la crise de façon pérenne. Le marché est reparti. Même si nous sentons ici et là des réticences par rapport à la situation économique telle qu'elle est perçue, la confiance est revenue. La difficulté repose cependant sur l'offre qui a du mal à rattraper la forte demande. Ceci est dû au fait que dans le domaine immobilier, nous sommes au coeur d'un marché cyclique qui nécessite du temps pour sortir progressivement de nouvelles opérations. C. I. : le secteur de l'immobilier neuf est-il actuellement porteur ? >C. R. : le secteur du neuf est très actif. La plupart des mises en commercialisations rencontrent un succès important dans la mesure où le prix est juste. Car il faut rester dans des gammes de prix raisonnables. Le marché du neuf est animé par les investisseurs qui représentent plus de la moitié des ventes avec le dispositif d'investissement locatif Scellier mais nous constatons aussi un retour des primo-accédants, dont le pourcentage remonte. Il y a un regain d'intérêt pour le premier achat. C. I. : comment aider les primo-accédants à accéder à la propriété sachant que de nombreuses mesures du plan de relance vont prendre fin ? >C. R. : le point le plus intéressant est le doublement du prêt à taux zéro qui va s'interrompre au 30 juin. Cette mesure fonctionne bien tout comme le pass-foncier et la TVA à 5,5 % qui s'applique dans les zones Anru (agence nationale pour la rénovation urbaine). L'idéal serait de mettre en oeuvre un nouveau système, le plus simple possible en faveur des accédants qui achètent leur logement et qui permette à la profession de se préparer afin de mettre dès l'année prochaine les bons produits sur le marché. Je crois qu'actuellement le ministère y travaille. C. I. : On parle beaucoup de logements verts. Où en êtes-vous dans le domaine et quel est l'impact pour l'acquéreur ? >C. R. : Nous avons pris une position très avant-gardiste dès l'an dernier pour le bâtiment basse consommation . Aujourd'hui, 80 % de nos opérations sortent en BBC. En dehors de l'indéniable impact écologique, nous constatons que les acquéreurs potentiels sont motivés, fortement intéressés et comprennent parfaitement l'avantage qu'ils vont en tirer. Ils sont réellement conscients de l'intérêt de posséder à terme un logement dont les charges seront moins importantes et qui consommera moins d'énergie.
Conjoncture et offre hors Montpellier
Même si elle diffère de celle de la métropole régionale, la conjoncture immobilière des principales villes du Languedoc-Roussillon reste dynamique avec une tendance à la stabilisation. A Nîmes, dans le Gard,"les prix se sont ainsi stabilisés et dépassent rarement les 3 000 r/m2, fait remarquer la FPC, qui précise qu'ils se situent en moyenne autour de 2 800 r/m2 habitable". Sur certaines opérations, on atteint même des prix avoisinant les 4 000 e/m2. Comme le souligne Alain Penchinat, PDG des Villégiales et vice-président de la FPC pour le Gard :"le marché nîmois ne représente qu'un cinquième de celui de Montpellier.L'offre est limitée en centreville alors qu'il y a de nombreux chantiers en première couronne qui misent sur le marché locatif". On notera parmi l'offre en cours, Résidence Séverine, avenue Jean-Jaurès, un programme de Bouygues Immobilier composé de 45 logements, du 2 au 5-pièces. Le 3-pièces, de 57 à 90 m2, est commercialisé entre 207 000 et 329 000 e. Fin octobre, Kaufman & Broad lancera une opération à Aubais, 43 appartements et maisons, pour une opération destinée entres autres aux actifs partagés entre Nîmes et Montpellier.
La côte ouest au coeur des vagues
Bati-Nantes occupe lui aussi le terrain de la rareté, à La Baule. Devant une des plus belles baies d'Europe, il dispose de quelques opportunités sur les Terrasses des Villas, avec des 3-pièces entre 472 000 et 522 000 e pour 71 à 77 m2. A 5 km des plages, c'est un autre site d'exception, le golf de La Baule qui accueille un programme de prestige. Celui-ci s'adresse aux investisseurs, avec une résidence avec services. "La situation, notamment, assure un investissement de très haute qualité et d'une réelle valeur patrimoniale". Dans le prolongement de La Baule, sur le petit port du Pouliguen, Pierre et Vacances Immobilier affiche aussi quelques appartements, dans le Domaine de Cramphore. "Pensée dans le style architectural des anciennes demeures bourgeoises avec une belle façade en pierre, la résidence dispose d'une piscine privative,d'un sauna et d'une salle de remise en forme".
L’AVIS DE Jean-Jacques MATHIAS, président du Cecim
Explorimmoneuf. Quel regard portez-vous sur le marché immobilier neuf lyonnais ?
Les tendances 2008 pour la maison
La maison individuelle doit relever deux défis majeurs : s’adapter aux nouvelles contraintes environnementales et devenir plus accessible aux revenus modestes. Tendances.
Immobilier neuf : La rentabilité ou le patrimoine ?
"Si la rentabilité n'est pas essentielle, elle fait pour autant partie du projet, prévient Claude Giraud, directeur commercial chez Merhill Immobilier. La cohérence ne peut pas être absente de ce type d'acquisition ! L'investissement doit être cohérent pour au moins payer la taxe foncière et les charges afférentes à chaque copropriétaire. Il est aussi logique que le client fasse appel au crédit et puisse déduire ses intérêts d'emprunt. Que l'appartement soit choisi à des fins familiales est une chose mais qu'il puisse faire l'objet d'un financement équilibré avec les recettes est tout aussi important ! " Et malgré le niveau des prix, les gestionnaires peuvent proposer des profits d'un bon niveau. Le groupe Lagrange Patrimoine Conseil (LPC) lance ce mois-ci à La Plagne 1800 Les Chalets de l'Edelweiss, une résidence de tourisme 4-étoiles de 86 lots en loueur en meublé professionnel et non-professionnel. Située à 30 m des pistes, elle offre de belles prestations comme une salle de fitness, une piscine couverte chauffée et est commercialisée à 5 000 e/m2 hors mobilier, hors parking et hors cave, pour une rentabilité de 3,80 %. Le même opérateur propose une rentabilité de 4,20 % sur Les Fermes de Saint-Gervais, 3 chalets regroupant 41 lots à Saint-Gervais avec vue sur le Mont-Blanc pour une rentabilité de 4,20 %. Faire un bénéfice suppose que le gestionnaire est en mesure de réussir un taux de remplissage conforme à la rentabilité proposée : "Nous sommes gestionnaires de nos propres résidences, explique Alexandra Goyon, chargée des relations événementielles pour le groupe LPC. Nous avons ainsi l'obligation de remplir nos résidences et d'être aussi très attentifs aux emplacements et aux prestations que nous proposons en fonction de la clientèle qui louera ces logements."
Un environnement carrément durable
Comme Marne-la-Vallée, Sénart dépasse Paris en superficie et bataille actuellement pour le développement de ses parcs d’activités, bien plus délicats à remplir à l’est qu’à l’ouest de la capitale. Dans le centre urbain du Carré, commencent à sortir de terre de l’hôtellerie, du tertiaire ainsi que des équipements publics, dont l’Hôtel d’agglomération, inauguré à la fin de l’année dernière. De grands projets sont d’ores et déjà donnés partants : les développements fonciers sur l’aérodrome de Melun- Villaroche, la liaison trambus en service entre Sénart et Corbeil en 2010, la réalisation du plus grand aquarium d’Ile-de- France…
Mis bout à bout, les avantages offerts par une résidence avec services semblent en faire un produit en or. Oui, à condition de faire preuve de beaucoup de vigilance. D'abord, encore et toujours, s'interroger sur l'emplacement. Pas question d'investir dans une résidence étudiante très éloignée des campus universitaires. De même, cela n'aurait aucun sens d'investir dans une résidence d'affaires excentrée par rapport aux principaux quartiers dédiés au business. Des villes comme Marseille, Grenoble, Toulouse, mais aussi Paris, "très maigres en hôtellerie présentent encore de bons potentiels pour des investissements en résidence d'affaires", souligne Olivier Bokobza. Autre point de vigilance : l'adéquation entre le type de bien et le marché locatif local. Rien ne sert d'investir dans une résidence de luxe (spa, jacuzzi, centre de téléconférence…) si la clientèle haut de gamme n'est pas au rendez- vous. Car faute de locataires, l'exploitant risque de ne pas pouvoir supporter longtemps les charges inhérentes à ses services de luxe.
Je viens de signer avec le futur acheteur de ma maison, un compromis de vente sous condition suspensive de l'obtention d'un prêt.L'acheteur a indéniablement fait en sorte de ne pas obtenir le prêt.Quels sont mes recours ? (Louis D., Saint-Mandé, 94)
Dans le nouveau quartier de Vilmorin
Rue Sergent-Lucien, Bouygues Immobilier a lancé la dernière tranche de Cœur de Massy. Si les produits classiquement choisis par les investisseurs, du studio au 2-pièces se sont tous envolés, la nouvelle résidence a des arguments pour un public familial, à la recherche d'une résidence principale en primo-accession, pour les plus petites surfaces ou pour s'agrandir. A quelques pas de la gare et des commerces, la future résidence de standing dispose en effet de 3 et 4-pièces, avec au rez-de-chaussée des jardins privatifs et de belles terrasses au dernier étage. Ils s'affichent au prix moyen de 3 816 €/m2 pour une livraison au 4e trimestre 2007. Selon le service commercial, près d'une vingtaine de 3-pièces sont en vente à partir de 221 000 €. A titre d'exemple, un 3-pièces est proposé 230 000 € pour une surface de 62,05 m2, en rez-de-chaussée, avec une terrasse exposée nord-ouest. Quelques 4-pièces démarrent à 270 000 € et un beau 5-pièces est proposé à 313 000 €. Sur la même artère, à l'angle de l'avenue Salvador-Allende sur la Zac Vilmorin 3, Interconstruction réalise Garden Plazza, 47 appartements, "dotés de grandes baies vitrées pour faire entrer la lumière, dont une majorité exposée plein sud", précise le service marketing. Le programme est tout particulièrement mis en avant par le promoteur francilien au niveau régional, "conciliant modernité, élégance, luminosité et vues imprenables dans un espace de verdure à 15 km de Paris". Tous les lots bénéficieront des labels Qualitel et Habitat et Environnement. Côté pratique, ils se situent près de la gare RER mais aussi d'un arrêt de bus pour rejoindre la gare d'Antony. Si les 3 et 4-pièces offrent une quinzaine de disponibilités à ce jour. Les grandes familles peuvent aussi choisir des 5-pièces. Ils démarrent à 377 000 € pour des surfaces comprises entre 101 et 106 m2. De rares opportunités avec terrasse existent également aux mêmes superficies, avec les mêmes surfaces habitables. Eiffage Immobilier a choisi la rue Robert- Schuman pour imaginer dans ce quartier à mi-chemin entre centre-ville et gare TGV/RER sa nouvelle réalisation. Composée de 8 maisons de 5-pièces à partir de 110 m2, elle affiche un premier prix à 397 000 €. En bordure d'un "amphithéâtre de verdure", d'un mail et d'une allée piétonne, le lotissement comporte aussi une résidence en copropriété. 48 appartements se déclinent du studio au 5-pièces (dont une petite dizaine est encore en stock, à partir de 313 000 €). Baptisé Toscania, ce programme aux accents résolument familiaux est commercialisé par une agence alto-séquanaise, CPM Patrick Musy, avec un kiosque sur place. "Le quartier a su préserver un urbanisme à échelle humaine en privilégiant des espaces piétons paysagés bordant des résidences de grand standing à l'architecture contemporaine", précise-t-on au service marketing au sujet de la Zac Vilmorin, déjà bien avancée mais en évolution pour encore 4 à 5 ans. Toujours sur la même parcelle, Bouwfonds Marignan développe également une nouvelle résidence, de 44 appartements aux lignes contemporaines. Les petites surfaces de Dominance se sont là encore en- volées mais restent des 3 (à partir de 268 000 €), 4 (à partir de 306 000 €) et 5-pièces (353 000 €). "Tous les appartements ouvrent sur des terrasses ou des balcons, précise le commercialisateur. Le rez-de-chaussée surélevé ménage de superbes terrasses qui font écho aux loggias en attique du dernier étage". Les premières livraisons sont annoncées pour le 1er trimestre 2008. Convaincu par l'attractivité des lieux, Bouwfonds Marignan s'apprête à y lancer un autre programme. Baptisé Tasmania, il s'agira d'une résidence close, du 2 au 5-pièces, dont certains duplex s'articuleront autour d'un jardin intérieur, avec quelques parcelles privatives. Enfin, au début de la rue Victor-Basch, le promoteur Icade-Capri démarre la commercialisation des Océanes, quatre petites résidences, la Frégate, la Goélette, la Brigantine et la Caravelle, dotées d'appartements fonctionnels et lumineux, du 2 au 6-pièces duplex. Toutes les surfaces restent disponibles. Au dernier bilan, neuf 2-pièces, trente quatre 3-pièces, cinq 4-pièces et une petite dizaine de 5-pièces et plus pour répondre à la demande des familles nombreuses, dans ce secteur bien équipé en services et établissements scolaires. A titre d'exemple, des 5-pièces duplex, entre 96 et 101 m2, y sont à vendre de 334 750 à 391 400 €. L'ensemble devrait être livré à partir du 4e trimestre 2008.