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Des opportunités dans des résidences neuves côté mer et côté campagne

Des opportunités dans des résidences neuves côté mer et côté campagne

Côté mer, on trouve Icade Capri. Le promoteur affiche Sur Le Quai. En face du bassin de Morny, à quelques pas des commerces de la rue Désiré-Le-Hoc et de la gare, la résidence va décliner tous les volumes, du studio au 5-pièces (156 m2 de 783 000 à 814 000 e). Des balcons, on observera la vie sur Trouville, le Deauville Yatching Club et son port de plaisance. La place de Morny ne sera pas loin non plus de la future réalisation d'Eiffage. Son Carré Hoche est en chantier dans une impasse de la rue Eugène-Colas. "Ses appartements seront spacieux et fonctionnels", assure le promoteur. Il n'en reste que très peu sur le marché, en 2 et 3-pièces. Si les courses, ventes de yearlings et matchs de polo vous semblent au moins aussi attractifs que le sable de la Manche, l'autre secteur à examiner se situe à Mont Casiny. Dans le quartier des hippodromes, Sefri-Cime devrait livrer à la fin de l'année prochaine Les Hameaux du Coteau, une quarantaine d'appartements du 2 au 4-pièces et 12 maisons de 3 à 5-pièces, pour attirer la clientèle la plus large possible. L'architecte a joué la carte de l'authenticité en puisant dans les références locales. En petites surfaces, on commence autour de 200 000 e et de 461 800 e en individuel. Les Terrasses du Mont-Casiny (Vinci Immobilier) proposent enfin des 4-pièces duplex. Les prestations sont celles de l'immobilier haut de gamme. On démarre à 216 000 e pour un appartement d'1-pièce de 43 m2. De l'autre côté du pont, avec une adresse légèrement moins cotée dans les imaginaires, mais une atmosphère quasi identique, Vinci s'affiche aussi à Trouville-sur-Mer. Face au parc du Manoir, sur le versant sud-ouest de la Touques et proche du centre-ville, "la demeure s'intègre dans un parc arboré en relation harmonieuse avec le manoir qu'elle jouxte", explique le commercialisateur.

Un marché immobilier atypique

Un marché immobilier atypique

Fin juillet, c'est dans leur hôtel du Châtelet (un de ces prestigieux bâtiments parisiens du 19e siècle) que les notaires ont révélé des chiffres, eux, bien de notre époque : le prix des ventes enregistrées dans leurs études. Selon leurs observations, l'immobilier ancien tire le marché, mais à un niveau élevé : 5 867 e/m2 de moyenne, franchissant la barre des 9 000 e/m2 dans le 6e, l'arrondissement le plus cher. Rue de Grenelle, un appartement s'est négocié 24 590 e/m2 ! Seuls deux arrondissements demeurent au-dessous de 5 000 e/m2 : les 19e et 20e. La hausse s'est tout de même stabilisée, mais atteignait encore 8 % sur un an fin mars. "C'est la pénurie qui entretient l'augmentation des prix. Il faudrait une relance de la construction neuve qui est le seul moyen de répondre à une demande aussi forte", avancent les notaires. Mais l'immobilier neuf est réduit à la portion congrue : 150 ventes au 1er trimestre. L'offre actuelle se résume à une trentaine de programmes alors qu'elle est vingt fois plus abondante en périphérie. Résultat, comme des Corses se résignant malgré eux à quitter leur île pour le continent, des Parisiens "s'exilent" depuis quelque temps. Cherchant des logements plus grands ou moins chers, ils s'installent en 1re couronne, surtout dans des communes au positionnement familial telles que Montrouge, Boulogne et Levallois. Des villes du nord et de l'est remportent aussi leurs suffrages. Toutes comportent au moins une ligne de métro, ultime lien chéri avec la capitale… Cependant le marché du haut de gamme (très bel ancien, rénovations lourdes) tourne à plein régime, en croissance de 40 % l'an dernier. Dans le réseau Daniel Féau, on constate que les produits d'exception, très rares sur la capitale, connaissent des hausses significatives. Une évolution : les jeunes générations de happy few préfèrent le Marais alors que les anciennes affectionnent Saint-Germain et le Luxembourg. Les étrangers prennent racine : 20 % signent un chèque de plus d'un million et 70 % poussent au-delà de 4 millions.

Nantes, le sompteux réveil, première ville où investir en 2014

Nantes, le sompteux réveil, première ville où investir en 2014

Dynamisme économique, résistance des prix de l’immobilier et attractivité de projets urbains constituent les principales clés du succès de Nantes dans notre palmarès.

Anticiper et entretenir

Anticiper et entretenir

Privilégier la qualité, c’est choisir un produit qui se dégradera peu avec le temps, et qui offre des prestations complémentaires, comme un label Habitat & Environnement. “Certaines opérations offrent des prestations de qualité en matière d’architecture et de matériaux choisis. Aujourd’hui, les acquéreurs n’y prêtent pas attention, mais dans dix ans, cela constituera un véritable atout d’avoir un logement qui répond à toutes les exigences de qualité environnementale (label H & E). Il faut savoir anticiper le marché, dans un contexte où le climat et les questions d’environnement, mais aussi d’économies d’énergie, vont devenir de plus en plus importants”, assure Olivier Bokobza. Une fois le bien acquis, vous ne devrez surtout pas le négliger en termes d’entretien. Peinture, menus ou gros travaux, sont à prévoir dans le budget. Cela s’étend évidemment à la copropriété lorsqu’il y en a une, “car si on achète dans un immeuble où l’ascenseur et l’escalier sont à refaire, on va demander au vendeur de baisser son prix”, prévient Geoffroy Bragadir. Selon l’emplacement de son acquisition, les travaux peuvent recouvrir toutes sortes de frais. “Si on a acheté une maison dans le Sud, on sait déjà qu’il y aura un budget peinture à prévoir pour repeindre les volets décolorés par le soleil, par exemple. Tandis qu’à Rouen, c’est la toiture qui devra être régulièrement débarrassée de sa mousse. Et cela,aucun promoteur,ni locataire d’ailleurs, ne le prévoira à votre place”, prévient Michèle Lambert. Enfin, il convient de donner un coup de jeune à votre bien juste avant la revente, de ranger toutes les pièces et d’éviter les surcharges de meubles pour faire une première impression optimale. Le secret d’une bonne revente réside aussi dans le long terme : si vous n’avez pas d’impératifs, mieux vaut ne pas vous précipiter et chercher à revendre à tout prix. “A priori, si l’on a bien évalué le marché à l’achat et bien négocié, on a acheté au vrai prix et donc, on pourra bien revendre.Mais si l’on veut revendre vite,cela signifie au prix du marché”, rappelle Patrice Haubois. Dans le cadre d’un investissement locatif, les lois Borloo et Robien imposent une période de détention minimum de neuf ans. La loi sur la plus-value, qui concerne les propriétaires de résidence principale, prévoit une exonération de l’impôt idoine si le bien est détenu depuis plus de quinze ans. En terme d’investissement immobilier, la patience reste le maître-mot.

Des prix en mode pause

Des prix en mode pause

Les prix de l’immobilier marquent le pas, dans l’agglomération angevine comme ailleurs. Selon les chiffres publiés par Perval, la hausse de 14,9 % annuelle, constatée en 2006 pour les appartements anciens, est tombée à 4,1 % l’année suivante ! Ce qui donne des prix moyens compris entre 1 500 et 2 780 e/m2 pour les appartements anciens, suivant les quartiers et les surfaces. En centreville par exemple, les appartements se négocient entre 2 000 et 2 800 e. Dans le neuf, la fourchette se situe entre 2 210 et 3 470 e/m2, suivant les quartiers. Dans celui des Capucins, la Villapollonia de Nexity propose des 2-pièces démarrant à 124 279 e pour 46 m2, avec la possibilité de bénéficier de la TVA à 5,5 % puisque cette résidence se situe dans un périmètre de 500 m autour d’une zone Anru. Dans le quartier plus central de Madeleine/Saint-Léonard, Bouwfonds Marignan commercialise Les Terrasses d’Olympie, où le 2-pièces démarre à 127 600 e pour 40 m2. Non loin de là, on trouve le programme Villa Quinconce, signé Bouygues Immobilier. Livrable au 2e trimestre 2009, celui-ci ne compte déjà plus que quelques grands logements à vendre. Comme ce 3-pièces de plus de 90 m2, situé au premier étage et bénéficiant d’une belle exposition sud-ouest, qui s’y affiche à 333 000 e. Pour trouver des maisons, il faut aller en périphérie. Par exemple à Bouchemaine, au sud-ouest d’Angers, où 200 logements neufs seront construits en 2009-2010. Unir Immo y propose, dans un domaine d’un hectare de parc boisé entièrement clos, 11 pavillons construits suivant la démarche HQE®.

François Jouven - Président du groupe Akerys

François Jouven - Président du groupe Akerys

Indicateur Bertrand : Comment se positionne votre groupe dans les différents métiers liés à l’immobilier ? François Jouven : Le groupe Akerys est un acteur de référence sur le marché de l’épargne et de l’immobilier, avec l’investissement locatif comme spécialité. Notre activité repose sur quatre grands métiers, avec la volonté de suivre l’investisseur tout au long de son projet. En premier lieu, nous sommes un promoteur, avec 12 000 logements en construction dont 85 % sont déjà réservés et 70 % actés, sur tout le territoire français, dédiés majoritairement à l’investissement locatif et à l’accession sociale à la propriété. Des réseaux indépendants de conseillers en patrimoine, avec qui nous sommes associés, proposent nos logements à la vente et mettent leur expertise au service de nos clients. Depuis le 1er juillet, l’offre d’Akerys intègre une garantie de loyer dès la date de livraison du bien, et ce jusqu’à l’entrée dans les lieux du premier locataire, sans qu’aucune franchise ne soit appliquée. Nos services immobiliers viennent logiquement compléter ce dispositif. Nous gérons aujourd’hui près de 700 résidences, dont une centaine pour des promoteurs concurrents avec lesquels nous travaillons. Des équipes de proximité nous permettent d’être réactifs, tant dans la recherche des locataires que dans le suivi et l’entretien des résidences. Enfin, nous sommes aussi distributeurs de produits financiers, à travers notre pôle Akerys Capital. Au total, nous nous sommes organisés pour accompagner nos 50 000 clients investisseurs, ainsi que leurs locataires. La progression de leur satisfaction est mesurée par les enquêtes que nous réalisons chaque année avec BVA. I.B. : Quels sont vos programmes résidentiels les plus emblématiques ? F. J. : Difficile de faire un choix parmi les quelque 600 résidences déjà réalisées ou en cours de commercialisation… J’ai en tête la résidence La Lutèce, à Garges-les-Gonesses (95) qui propose des appartements et des villas au sein d’espaces paysagers. J’ajoute que cette résidence vient de recevoir le label Habitat et Environnement. J’ai bien aimé aussi la résidence étudiante Thalès, à Toulouse, à 10 minutes à pied du Campus Paul Sabatier. Elle offre tous les avantages susceptibles de faciliter la vie des étudiants. À Antibes, j’ai visité récemment la résidence La Peyregoue, proche du centre-ville, qui vient d’accueillir ses locataires. C’est une petite copropriété, aérée et sans vis-à-vis. Les derniers étages, avec vue sur mer, disposent de grandes terrasses. Dans un tel cadre, il est facile d’imaginer à quel point il a été aisé de trouver rapidement des locataires. I.B. : Quel regard portez-vous sur le marché du logement ? F. J. : L’évolution est inquiétante. Pour la première fois, experts et politiques s’accordent à dire qu’il faut construire 500 000 logements pour faire face à la croissance du nombre de ménages et rattraper le retard accumulé. Or, le nombre de logements mis en chantier diminue : de 435 000 en 2007, on va passer à 350 000 en 2008 ; et 2009 puis 2010 vont voir cette déperdition s’accélérer. Nous allons avoir une offre insuffisante, avec la tension que cela induit sur les loyers. Le fait que quelques micro-marchés soient saturés, en accession à la propriété comme en investissement locatif, masque encore ce phénomène. Les hausses des prix ont été trop fortes – 140 % en 10 ans sur l’ancien, 75 % sur le neuf – et sont le signe d’un fossé grandissant entre l’offre et la demande : les besoins sont là, mais la demande solvable ne suit pas. Le marché va peu à peu se bloquer : parcours résidentiel plus difficile, mobilité géographique moins facile, passage du secteur social au parc privé découragé… Bref, la fluidité du marché va encore chuter. La commission Attali a montré que dans le logement, l’État devait reprendre la main. En effet, la stimulation de la construction, toutes catégories confondues, ne se fera pas sans une initiative politique forte.

3 QUESTIONS À Ari BITTON, fondateur de AB Courtage

3 QUESTIONS À Ari BITTON, fondateur de AB Courtage

"Il faut encore profi ter des taux avant la fi n de l'année"

Une offre neuve en montagne

Une offre neuve en montagne

En Haute-Savoie, Chamonix Mont-Blanc voit se réaliser une opération signée Nexity George V de 40 appartements en deux bâtiments, du 3 au 6-pièces, face au glacier des Bossons, sur la chaîne du Mont-Blanc. Dans un style fidèle à l'architecture locale, les balcons sont réalisés en ferronnerie, la toiture en cuivre, les menuiseries extérieures en bois. Cette résidence, baptisée Le Paradis, propose un 3-pièces, de 49 à 75 m2, à partir de 455 000 e. La livraison est prévue pour le 4e trimestre 2008.

3 QUESTIONS À CHARLES BALOCHE - Directeur du département Sécurité, structures, feu du CSTB*

3 QUESTIONS À CHARLES BALOCHE - Directeur du département Sécurité, structures, feu du CSTB*

“L’enjeu est de prévenir les accidents de la vie courante en relation avec les bâtiments”

L'immobilier neuf retrouve son dynamisme

L'immobilier neuf retrouve son dynamisme

La ville compte 65 800 habitants. Mais sur l'agglomération (syndicat intercommunal), qui comprend 7 communes, ce sont 115 000 âmes qui vivent et travaillent. Pas moins de 10 000 entreprises y sont installées. Parmi les activités dominantes, citons la construction mécanique (7 000 salariés), l'industrie agroalimentaire, le textile, la bijouterie, mais également des entreprises de renommée internationale comme Reynolds (stylos), Barnier (adhésifs), Merck Biomaterial (biotechnologie), Spit (système de fixation), Monetel (monétique et publiphonie). Elle dispose aussi de pôles de compétences reconnus, notamment en électronique, micro-informatique, automatisme et robotique… Si Valence veut séduire les entreprises, elle fait aussi tout pour renforcer l'attractivité de son cadre de vie. En particulier celui de son centre-ville, un temps fui par les habitants. Trop bruyant, trop de logements insalubres ! Surtout dans le centre historique qui conserve pourtant un aspect médiéval des plus charmants avec ses vieilles ruelles et ses côtes pavées. Rue Perollerie se cache la maison Dupré-Latour, l'un des plus beaux édifices Renaissance de la ville tandis que Grande Rue, se trouve la Maison des têtes, nommée ainsi en raison des sculptures taillées à même la pierre qui ornent sa façade. Place des Ormeaux, c'est la cathédrale Saint-Appollinaire qui force l'admiration, d'autant que le majestueux monument domine la ville basse et offre un panorama superbe sur le Rhône et les contreforts de l'Ardèche…

Une dizaine de programmes neufs

Une dizaine de programmes neufs

Parmi elles, trois communes sont plus souvent dans les pages actualité du marché immobilier neuf : Le Chesnay, véritablement lancée par la construction de Parly 2 sur ses terres (et quelques mètres carrés à Rocquencourt) à la fin des années 60, possède quatre programmes en cours de commercialisation. Même constat à Saint-Cyr l'Ecole, ville de militaires et d'aéronautisme. Enfin, à Guyancourt, les grues ont commencé leurs ballets sur un nouveau quartier résidentiel, baptisé quartier de la Mare Jarry. Située sur le périmètre de la Communauté d'agglomération de Saint-Quentin-en- Yvelines, Guyancourt (27 000 habitants, dont un tiers est scolarisé, et un âge moyen inférieur à 30 ans) ne cesse de se développer depuis 30 ans. Aujourd'hui, la construction de la ville touche à sa fin avec les derniers grands projets réalisés ou en cours. À 20 minutes de la porte de Saint-Cloud par l'A 12 et l'A 13 et de la porte d'Orléans par l'A 86, les forêts, bois, parcs, jardins et étangs recouvrent néanmoins encore la moitié de son territoire.

Qui peut bénéficier d’un PTZ classique ?

Qui peut bénéficier d’un PTZ classique ?

Première condition : vous devez financer votre résidence principale, c'est-à-dire un logement occupé au moins huit mois par an. Deuxième condition : vous devez être primo-accédant. C’est-à-dire acheter votre logement pour la première fois. Ou encore ne pas avoir été propriétaire de votre résidence principale depuis au moins deux ans au moment du dépôt de votre dossier de prêt. Cette condition n’existe pas si vous êtes atteint d’un handicap (ou un autre membre de votre ménage). Encore faut-il que vous puissiez produire une carte d’invalidité de 2 ou 3e catégorie (incapacité absolue d’exercer une activité professionnelle) ou un justificatif d’allocation d’éducation spéciale ou d'adulte handicapé. Il en va de même si vous êtes victime d’une catastrophe qui rend votre habitation inutilisable. Vous avez 2 ans pour déposer votre demande après la publication de l’arrêté constatant le sinistre.

La place des investisseurs à Toulouse

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I. B. : La place des investisseurs est-elle toujours aussi importante à Toulouse ?

Première couronne : 92, 93, 94 : la relance du logement neuf s'active

Première couronne : 92, 93, 94 : la relance du logement neuf s'active

Alors que la capitale a très peu développé de programmes privés durant les dernières années, la première couronne a pris la relève. Dans un contexte de marché plus difficile, le rythme de construction maintient-il sa cadence ? Et à quel prix ?

Top Duo : Devenez « le chef d’orchestre » de votre propre maison

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La marque, qui appartient au AST Groupe, propose une formule inédite : une maison dont vous managez vous-même la construction à partir du gros œuvre. Une garantie d’économie.

Affichage du permis de constuire

Affichage du permis de constuire

L'arrêté est affiché en mairie dans les huit jours de sa délivrance.

Les îlots A, B et C

Les îlots A, B et C

L'îlot A : L'emplacement est qualitatif, orienté sud et ouest, face aux balmes et au plan d'eau. Nexity Apollonia s'est entouré de trois agences d'architectes pour concevoir Saône Park, une réalisation haut de gamme, avec esprit loft et villas patios (voir l'Avis de l'architecte) “C'est un projet ambitieux pour la ville et pour nous, explique François Bonnet, le DG de Nexity Apollonia. D'après les sondages effectués auprès de nos clients, le lieu est bien perçu. Il est partie intégrante de Lyon. Un problème de temps pourrait se poser, mais le Grand Lyon et la Sem sont attentifs à ce que les aménagements soient réalisés dans les délais.”