Abonnez-vous au Figaro

Actualité

De Parly 2 à la Ferme du Roy

De Parly 2 à la Ferme du Roy

En passant par Rocquencourt, où le groupe Arc est en train de réaliser le Clos des Trois Fontaines, une résidence de 27 appartements en limite de Versailles et de La Celle- Saint-Cloud, il suffit de quelques minutes pour rejoindre Le Chesnay. Bordée à l'ouest par le Parc de Versailles et à l'est par le Parc départemental des Haras de Jardy, sur la commune de Marne-la-Coquette, la ville possède un charme tout particulier avec la moitié de ses 29 000 habitants dans la très grande copropriété de Parly 2 et l'autre moitié répartie dans de petits ensembles immobiliers et des maisons individuelles. Au Chesnay, Bouygues Immobilier en coréalisation avec Cogedim vient de lancer deux nouveaux programmes. Le premier se situe au coeur de la ville, près du plateau Saint-Antoine et de Versailles. Il possèdera "des matériaux nobles et contemporains, de la pierre, du bois, des vitrages, et une architecture privilégiant la lumière, avec de larges baies vitrées et de nombreux balcons et terrasses", décrit le service marketing. Pour un prix moyen de 5 555 €/m2, il affiche de nombreux 2, 3 et 4-pièces. Rue Dutartre, les deux promoteurs ont également lancé la Ferme du Roy, "dans un cadre chargé d'histoire, à quelques minutes à pied de Parly 2". Ses 58 appartements, du studio au 5/6-pièces duplex sont vendus à partir de 288 500 € pour les 2-pièces et 499 500 € pour les 4-pièces. Le projet comporte aussi 5 maisons de ville (à partir de 575 000 €). Le tout est à quelques minutes à pied d'une école, d'un collège, d'un gymnase et d'un centre médical... et les crèches ne sont pas très loin non plus. Trois autres promoteurs sont présents sur la ville, avec des réalisations plus avancées. Windsor commercialise les toutes dernières surfaces de la deuxième tranche de la Résidence Windsor, à l'angle de la rue de Versailles et de la rue des Deux Cousins. Ses 27 appartements sont répartis sur trois petits immeubles de 2 ou 3 étages. En magasin : un 2-pièces de 56 m2 à 319 000 €, un 3-pièces de 70 m2 à 354 000 € et un 5-pièces de 107 m2 vendu 538 000 €. Enfin, Vinci Immobilier et Cofradim construisent les Terrasses de la Vallière, 80 appartements répartis sur 5 petits immeubles rue Moxouris, dans un quartier résidentiel tout proche de Parly 2. Une vingtaine d'appartements est encore disponible, du studio à 151 000 €, au 5-pièces à 523 000 € (prix hors parking). Il affiche également de nombreux 2-pièces, entre 213 000 et 259 000 €.

3 QUESTIONS À FRANÇOIS ZIMERAY, Président de l'Agglomération de Rouen

3 QUESTIONS À FRANÇOIS ZIMERAY, Président de l'Agglomération de Rouen

Indicateur Bertrand : Où en sommes-nous du projet Seine Ouest ?

Réduire la facture énergétique

Réduire la facture énergétique

La consommation d'énergie ne cesse de croître et tend à menacer l'équilibre écologique de la planète.

...et Bretagne

...et Bretagne

Quand le président du CNOA quitte son fauteuil parisien, c’est pour redevenir un professionnel comme les 28 000 inscrits au tableau de l’Ordre. Il a monté deux agences d’architecture en Bretagne et conçu le laboratoire de l’INRA et pas mal de logements, dont les Belles de Vilaine à Rennes. Auparavant, durant une vingtaine d’années, Lionel Dunet s’était associé à François Debulois et à Jean Guervilly, le maître d’oeuvre du palais des Sports de Toulouse, en compétition pour l’Equerre d’Argent 2007. Comme la plupart de ses confrères, l’architecte s’est confectionné sa “maison d’architecte” :“Une coque ancienne à l’extérieur dont je n’ai gardé que deux murs et un plancher à l’intérieur”, révèle-t-il. Cet amateur de nature bretonne regrette “le mitage progressif du paysage par les maisons individuelles”. Positif est au contraire son regard sur le panorama que donne la tour Montparnasse, dans laquelle le CNOA a son siège au 47e étage : “Un vrai décor d’architecte à la vision exceptionnelle sur la ville”. Faut-il aller jusqu’au retour des très grandes hauteurs à Paris ? “Oui à La Défense, mais le baron Haussmann a donné une échelle à Paris qu’on n’a pas envie de perturber”. Ce débat n’a pas fini d’alimenter la chronique.

L'Epa Orly/Rungis/Seine Amont prêt à l'offensive.

L'Epa Orly/Rungis/Seine Amont prêt à l'offensive.

Cinq mille hectares où vivent 330 000 habitants sont en jeu dans le cadre de l'Opération d'intérêt national Orsa (Orly/ Rungis/Seine Amont). Le 11 juillet, le premier conseil d'administration de l'Epa/Orsa s'est réuni à Choisy-le-Roi, composé notamment des représentants des douze communes concernées (Ablon, Alfortville, Chevilly- Larue, Choisy-le-Roi, Ivry-sur-Seine, Orly, Rungis, Thiais, Valenton, Villeneuvele- Roi, Villeneuve-Saint-Georges et Vitrysur- Seine). Un turbo qui devrait accélérer, chaque année, la construction de 3 000 logements et la création de 1 000 emplois d'autant que le secteur dispose d'une mécanique bien huilée : disponibilités foncières, sites stratégiques (Orly, marché d'intérêt national de Rungis, triage de Villeneuve-Saint- Georges), réseau de grandes entreprises, dont le pôle Médicen et le site de Sanofi- Aventis. Le projet de "métro pour la banlieue" Orbival, retenu dans le Schéma directeur de la région Ile-de-France (SDRIF), est plus que jamais dans le collimateur. Des études vont démarrer de même qu'une communication vers les Valdemarnais pour les associer à "ce projet essentiel au devenir de notre département," précise le conseil général qui soutient activement ce métro. De leur côté, les Aéroports de Paris vont faire "re-décoller" Orly, où se dessine l'un des projets tertiaires phares d'Ile-de-France avec centre de congrès, bureaux, pôle de services... Une première tranche devrait sortir de terre en 2010. Dans ce contexte, un investissement sur le secteur pourrait se révéler un bon cru. A Choisy-le-Roi par exemple, où cinq à six promotions comportent des emplacements sélectifs. Le 3-pièces de Brand-Pril, situé dans un quartier pavillonnaire à 500 m de l'A86, est cédé 220 000 e. "Je connais des programmes sur la N20,dans les Hauts-de-Seine, dont les lots valent le double, argumente le gérant de la copromotion Slim Maaref. Citons un produit dédié à l'investissement pur : la résidence pour étudiants de Résides Etudes à Vitry au rendement de 4,80 %. Le studio de 18 m2 part à 65 000 e. En ce moment, le marché de la résidence avec services (tourisme, affaires, étudiants, seniors…) s'avère globalement en croissance.

Les gares s'exposent au Pavillon de l' Arsenal à Paris

Les gares s'exposent au Pavillon de l' Arsenal à Paris

Jusqu’au 2 mars, la Société du Grand Paris présente, au Pavillon de l’Arsenal, une exposition sur la construction de l’identité du futur métro Grand Paris Express.

Régime réel et déductibilité des intérêts

Régime réel et déductibilité des intérêts

En optant pour un dispositif fiscal comme Borloo populaire ou Robien recentré, vous ne pouvez pas bénéficier du régime microfoncier, régime de droit commun dès lors que vos revenus fonciers n'excèdent pas 15 000 epar an. Vous vous trouvez donc placé sous le régime réel des revenus fonciers. Autrement dit, vous pouvez déduire de vos recettes toutes vos charges. Et plus vous déduisez de frais, moins vous payez d'impôt. En effet, vous êtes imposé sur la différence entre les loyers encaissés au cours de l'année et les charges liées au bien, payées au cours de la même année. De quelles charges s'agit-il ? Grosso modo, elles concernent les frais de gestion du bien, le salaire du gar- dien, la taxe foncière, les travaux d'amélioration, d'entretien et de réparation, les équipements nouveaux, les primes d'assurance. Et, bien entendu, les intérêts d'emprunt qui sont totalement déductibles du revenu foncier. En outre, plus vous avez de charges et plus vous avez de chance de créer un déficit foncier. Ce déficit peut venir en déduction de votre revenu global. Attention : le déficit déductible de votre revenu global est limité à 10 700 e par an (hors intérêts d'emprunt), l'excédent pouvant être reporté sur vos revenus fonciers des dix années suivantes.

Morbihan : L'attrait du bord de mer

Morbihan : L'attrait du bord de mer

En 2008, 30 600 logements ont été autorisés en Bretagne, selon la division de l'aménagement et de l'habitat de la direction régionale de l'équipement. Cela représente une baisse de 25 % par rapport à l'année 2007. Le nombre de logements mis en chantier a moins diminué (- 14%) et atteint 27 900 en fin d'année.

En hausse toutes !

En hausse toutes !

Cette décision de la BCE n'a surpris personne. D'ailleurs, certains établissements de crédit l'avaient anticipée, relevant dès le mois de novembre dernier leurs barèmes. Et en décembre, la hausse s'est confirmée. "Les taux variables enregistrent des hausses importantes sur la quasi-totalité des durées, avec des augmentations comprises entre 0,15 et 0,20 % pour les taux du marché", indiquait d'ailleurs Empruntis, un courtier en ligne, dans son dernier baromètre des taux publié fin décembre. De fait, le taux moyen pratiqué pour les prêts immobiliers à taux révisable est passé de 2,90 à 3,15 % en quelques semaines. Il ne s'agit que d'une moyenne, bien entendu. Pour les très bons dossiers, les barèmes démarrent plus bas. Ainsi, chez GE Money Bank, le taux le plus attractif démarre à 2,80 % ; au Crédit Immobilier de France, il s'établit à 2,85 %, tandis qu'au Crédit Foncier, à la Société Générale et au CIC, il passe à 2,95 %. Bref, la hausse décidée par la BCE en décembre n'a pas d'incidence importante sur le niveau des taux. Pour ceux qui ont emprunté à taux révisable, l'augmentation ne représente qu'une dizaine d'euros sur la mensualité. Ce qui n'a pas de conséquence majeure sur la solvabilité des emprunteurs.

Un partenariat dans le neuf qui fait école à Corbeil-Essonnes

Un partenariat dans le neuf qui fait école à Corbeil-Essonnes

C'est dans l'air du temps. Les villes et les opérateurs privés signent des partenariats publics privés (PPP) portant non seulement sur la construction neuve, mais aussi sur des services associés généralement dévolus au service public.

Les prix de l'immobilier neuf à Tours au 1er trimestre 2011

Les prix de l'immobilier neuf à Tours au 1er trimestre 2011

Les prix moyens du m2 habitable des logements collectifs neufs réservés (hors parking) à Tours par la fédération des promoteurs immobiliers.

Jean-Philippe Bourgade, PDG de BPD Marignan

Jean-Philippe Bourgade, PDG de BPD Marignan

En ce début 2015, nous avons voulu faire le point avec les promoteurs sur le bilan de l’année 2014, les perspectives 2015 et leurs attentes pour faire repartir l’activité immobilière. Jean-Philippe Bourgade, président directeur général de BPD Marignan, nous livre ses analyses.