Actualité
Investissez à crédit pour "booster" la rentabilité
Pour les investisseurs, acheter à crédit est toujours recommandé. Les banques l'ont bien compris. Car, contrairement à l'achat d'une logement en résidence principale, lorsque vous investissez dans un logement locatif, vous pouvez déduire les intérêts d'emprunt de vos revenus fonciers. D'où le succès des formules de prêt "in fine". Comment ça marche ? A l'inverse d'un crédit amortissable de façon classique, remboursé généralement chaque mois sur la base d'une mensualité comprenant une part de capital et des intérêts, les prêts "in fine" permettent aux investisseurs de rembourser le capital emprunté en fin de prêt, en une seule fois. Si vous utilisez ce genre de formule, vous ne verserez, chaque mois, que les seuls intérêts d'emprunt et les frais d'assurance. Le coût de ces formules est donc très élevé mais permet à l'investisseur d'engranger le maximum d'intérêts à déduire. Reste que pour s'assurer du remboursement du prêt, les banques prennent leurs précautions et exigent que le prêt soit couplé à un produit d'épargne, par exemple un contrat d'assurance vie. Malgré un intérêt certain, soyez vigilants sur ces formules. Surtout si vous comptez sur votre revenu locatif pour payer une partie du crédit. En cas d'impayés prolongés, vous pourriez vous trouver dans une situation difficile.
IdF : Les voeux des Franciliens et le rôle des collectivités
Dans ce contexte tendu, les Franciliens rêvent de cocooner plus douillettement. C'est ce que révèle une enquête réalisée sur les 20 ans à venir par l'institut CSA pour le compte de la Région : les habitants du coeur de l'agglomération souhaitent "un logement qui répondent à leurs attentes" (44 %) et redoutent "les problèmes de pollution et de nuisance" ; les Franciliens de grande couronne sont plus nombreux à espérer "se déplacer rapidement et facilement". Les uns et les autres porteront leurs choix sur un logement en fonction de sa proximité avec leur lieu de travail, de son coût et du voisinage avec la famille et les amis. Des tendances novatrices se dégagent, comme la préférence pour "la densification de l'existant par rapport à la construction de quartiers neufs, gage de proximité avec les commerces et les équipements". Un bon nombre de Franciliens (61 %) souhaite l'aménagement des friches industrielles et le rééquilibrage des logements sociaux au profit "des communes résidentielles qui n'en construisent pas assez" (39 %).
LE CARACTÈRE FAMILIAL DU LOGEMENT - Une notion primordiale
En dehors de tout régime matrimonial, le fait d’être mariés contraint les époux à respecter certaines règles. Ils doivent décider ensemble de tous les actes qui pourraient priver la famille du logement familial (art. 215 du Code civil). Mais qu’entend-on par logement familial ? Le Code civil précise que la résidence de la famille est le lieu où vivent effectivement, d’un commun accord, les époux. La résidence secondaire est donc exclue. De même que le logement de fonction, qui est une émanation du contrat de travail. Il est à noter que les meubles garnissant le logement familial bénéficient de la même protection. Qu’il s’agisse de louer le logement, de le vendre, de l’hypothéquer ou d’en faire donation, aucune décision ne peut être prise sans l’accord des deux. Cette règle s’applique même si le logement appartient à un seul époux. Celui-ci ne pourra pas, par exemple, le vendre sans le consentement de l’autre. L’époux non propriétaire peut donc contester tout acte pour lequel il n’a pas donné son consentement et en demander la résiliation. À condition qu’il respecte le délai d’un an, qui court à partir du moment où il a eu connaissance de l’acte. L’action ne peut pas non plus être réalisée plus d’un an après le divorce.
L'immobiiler neuf dans le 94 : montée en régime depuis 2005
Le Val-de-Marne navigue à près des 4 450 e/m2 avec une hausse confortable de 9 %. Fort de nouveaux projets en Zac ou de zones de rénovation urbaine, il témoigne d'un niveau correct des ventes qui toutefois s'est légèrement tassé par rapport au 1er trimestre 2006, très dynamique. Faut-il voir l'effet d'un réajustement ? Il est prévisible que l'activité se maintienne sur les communes qui concentraient plus du tiers de l'offre à elles trois en 2006 : Choisy-le-Roi, Créteil et Vitry-sur- Seine. Nogent-sur-Marne propose 7 à 8 programmes, dont certains en travaux. Autant de preuves du dynamisme de la commune qui se construit une école européenne, une crèche et une maison de retraite.
Les prix de l'immobilier neuf dans la Communauté d'Agglomération de Caen au 1e trimestre 2014
Les prix moyens du m2 habitable des logements collectifs neufs réservés (hors parking) dans la Communauté d'Agglomération de Caen par la fédération des promoteurs immobiliers.
Les prix de l'immobilier neuf dans l'agglomération de Marseille au 3e trimestre 2012
Les prix moyens du m2 habitable des logements collectifs neufs réservés (hors parking) dans l'agglomération de Marseille par la fédération des promoteurs immobiliers.
Le prêt "in fine" est, par exemple, une option intéressante si vous disposez d'un important capital. Dans ce cas, au lieu d'investir la somme dont vous disposez dans le logement locatif, optez pour un prêt "in fine". Vous placerez alors votre capital sur un contrat d'assurance vie qui vous rapportera par exemple 4,5 % par an. Le prêt vous coûtera de son côté 4 % par an. Ainsi, vous gagnerez sur les deux tableaux : la déduction fiscale et le gain de rémunération de votre épargne. Attention : pour que la rentabilité du contrat d'assurance vie soit efficace, il faut que le montant du placement soit au moins de 50 à 55 % du total du prêt. Démonstration. Vous empruntez 150 000 e sur 15 ans à 4 %. Dans le cadre d'un prêt amortissable, votre mensualité s'élèvera à 1 110 e. Si vous optez pour un prêt in fine, celle-ci sera ramenée à 500 e, ce qui correspond au montant des intérêts seulement puisque le capital n'est remboursé qu'en fin de prêt. Au total, le prêt amortissable vous coûtera 49 700 e, le prêt "in fine", 90 000 e, soit pratiquement le double. Mais si l'on considère que vous placez l'équivalent de 150 000 e sur le contrat d'assurance vie, rémunéré à 4,5 %, au bout de 15 ans, votre épargne passera de 150 000 e à 294 000 e auxquels on retranchera les 150 000 e versés initialement. De fait, votre épargne vous aura rapporté 144 000 e auxquels il faudra cependant soustraire le coût du crédit "in fine", soit 90 000 e. Au total votre gain, par rapport à un crédit classique, sera de l'ordre de 54 000 e. Bien entendu, tous les investisseurs ne disposent pas d'une telle somme de départ. Bien que largement proposés dans les montages financiers dé- diés aux investisseurs, les prêts "in fine" ne conviennent pas à tout le monde. Pour qu'ils aient un intérêt, il faut soit que vous ayez effectivement un apport très important qui vous permettra d'honorer votre dette à l'échéance du prêt et que vous vous situiez dans une tranche marginale d'imposition élevée, par exemple à 30 ou 40 %. Mieux vaut, en outre que vous perceviez déjà des revenus fonciers d'un autre bien. Auquel cas, l'avantage fiscal qui découle des intérêts d'emprunt jouera à plein.
Découvrir un bien sans se déplacer, c’est ce que propose la visite virtuelle immersive, une réelle innovation qui n’en est qu’à ses débuts.
Indicateur Bertrand : Comment concilier environnement et architecture ?
La Défense renoue avec l’immobilier résidentiel
Le nouveau quartier des Jardins de l’Arche, situé à Puteaux, comprendra un immeuble d’habitation. Une première en 30 ans.
Ici commence le règne de la maison individuelle
Cette diversité s'exprime aussi au travers des formes d'habitat : près de la moitié des logements sont des maisons individuelles (44 %). Souvent même cet habitat revêt une tonalité inédite. Les lofts de Sartrouville réalisés par Fédéral, par exemple, sont vendus sous forme de "coque" avec les murs doublés revêtus d'une couche de peinture, laissant l'acquéreur distribuer les pièces et assurer les ultimes finitions à son goût. "Nous avons eu l'idée de proposer un menu à la carte", explique le promoteur qui par ailleurs peut conseiller des équipes d'architectes d'appoint si le besoin se fait sentir. De cette façon, les espaces peuvent être ou non cloisonnés et s'étirer de 65 jusqu'à 135 m2. Ces coques sont mises sur le marché entre 250 000 et 390 000 €, avec une livraison envisageable au 2e trimestre 2007. Dans le même esprit contemporain, Promogim propose des maisons d'architecte conçues par Jean-Michel Wilmotte à Boisd'Arcy approximativement entre 435 000 et 490 000 €. Le programme est central, situé dans la ZAC de la Croix Bonnet. Boisd'Arcy s'affirme en plein renouveau avec un centre historique pittoresque, Versailles à proximité, une base nautique et une forêt domaniale. A l'inverse, L'Immobilière Promex réserve aux amateurs de cachet à l'ancienne la résidence du Donjon, conçue autour de la réhabilitation de l'usine de tisanes Boldofleurine. Le promoteur a gardé la façade, les fenêtres de 2 m de haut et une hauteur sous plafond de 3 m. Le programme se compose de 26 maisons de ville et de 16 appartements dans l'usine. Les maisons se négocient à partir de 255 000 € à environ 2 500 €/m2 et le collectif à 3 200 €/m2. Jusqu'à présent, les acquéreurs étaient de jeunes couples parisiens et des retraités souhaitant se rapprocher du centre-ville. La résidence se situe à Houdan, une cité en partie médiévale dont le centre vient d'être requalifié. Son bâti s'intègre dans le paysage traditionnel houdanais. Les petites villes tirent allègrement leur épingle du jeu : Nexity Domaines a choisi Neauphle-le-Vieux, Bonnières-sur-Seine et Magnanville pour implanter ses toutes dernières réalisations. Le promoteur sélectionne les sites : "En tenant compte de la vie quotidienne d'une famille active : gares, axes routiers, centres commerciaux, écoles, crèches et loisirs." Pour les acquéreurs, cela signifie aussi qu'il est possible de trouver un "large choix de maisons de ville, individuelles et de petites résidences dans l'esprit des 'pays franciliens'". Enfin Kaufman & Broad a ouvert depuis peu un bureau de vente à Limay pour commercialiser une trentaine de maisons et un second programme s'annonce. Le promoteur propose par ailleurs une petite dizaine de programmes de maisons plus ou moins avancés dans leur commercialisation, aux dates de livraison échelonnées entre 2007 et 2009. Saint-Nom-La-Bretèche, Saint- Arnoud, Les Clayes-sous-Bois, Toussus-Le- Noble, Houdan : autant de bourgs et villages nichés dans la chlorophylle, comme une bonne partie des 262 communes yvelinoises.
Je suis propriétaire d'un studio que je mets en location. Quelles sont les taxes que je peux récupérer sur mon locataire ? (Georges W., Chaumont, 52)
PENSEZ AUX PRÊTS CONSTITUTIFS DE L'APPORT PERSONNEL !
Si vous n'avez pas eu la chance d'hériter ou d'épargner suffisamment, peut-être pouvez-vous bénéficier d'un prêt à 0 %, d'un prêt 1 % logement ou d'un prêt épargne logement. Les uns et les autres sont admis dans la constitution de l'apport personnel et vous permettent d'emprunter moins à la banque et dans des conditions souvent plus favorables. D'où une économie sur le coût de votre crédit. Il faut, en effet, se rendre à l'évidence : même si les banques ne font plus beaucoup de différence entre les emprunteurs munis ou non d'un apport, elles réservent tout de même leurs meilleures conditions aux dossiers les moins risqués. Si vous achetez votre résidence principale et que vos revenus ne dépassent pas certains plafonds, vous pouvez par exemple obtenir un prêt à 0 % dont le montant variera selon votre situation familiale et votre localisation de 11 000 à 32 500 € dans le neuf ou de 8 250 à 21 200 € dans l'ancien. Même chose avec le 1 % logement qui vous permet d'emprunter de 11 200 à 17 600 € au taux de 1,5 % sur une durée 5 à 15 ans. Il faut toutefois que vous soyez salarié d'une entreprise d'au moins 10 salariés versant sa participation au 1 % logement. Ce prêt n'est cependant pas automatique et dépend des fonds dont dispose l'entreprise. Quant aux prêts de l'épargne logement, leurs taux sont moins intéressants - ils dépendent de la date de souscription - mais ils sont également pris en compte dans la composition de l'apport personnel. Et si votre plan n'est pas arrivé à terme, vous pourrez peut-être emprunter tout de même. Renseignez-vous auprès de votre banquier.
L'avis de CHARLES-ERIC LEMAIGNEN - Président de l'AgglO
Indicateur Bertrand : Quels sont les projets phares de l'agglomération ?
L'emplacement, une règle d'or dans l'immobilier
On ne le dira jamais assez, l’emplacement du bien demeure la règle d’or de tout investissement immobilier, quel que soit le dispositif dans lequel vous vous inscrivez (Pinel, Censi-Bouvard, location meublée…).
Rennes : le temps des mutations
Migrations, décohabitations, économies d'espace pour les générations futures font évoluer la politique urbaine rennaise. Visite d'une métropole qui gère ses mutations.
Le bailleur social Grand Lyon Habitat a inauguré ses deux dernières résidences, Bravo et Tango, le 28 août.