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…et de belles opportunités pour vivre dans le neuf dans l’agglomération Toulousaine

…et de belles opportunités pour vivre dans le neuf dans l’agglomération Toulousaine

En quittant Toulouse, l'offre est aussi très présente à l'instar du Groupe Imocom qui va lancer, pour son propre compte, à Aussonnes, près de Blagnac, une opération de 34 logements, du 2 au 4-pièces, à environ 3 000 e/m2. A Blagnac, Icade Capri propose, au coeur du quartier Andromède, Le Grand Patio, du 2 au 6-pièces, avec quelques maisons de ville 4-pièces. Le 3-pièces, de 62 à 72 m2, est proposé entre 190 000 et 246 000 e. A l'est de Toulouse, dans le secteur de Balma, le Groupe Carrère commercialise Les Jardins de l'Europe, 28 villas de 5 et 6-pièces, pour des surfaces de 95 à 150 m2. Egalement présent à Balma, le groupe Nexity George V, très présent dans le secteur toulousain, commercialise Cyprié Village, avec le 4-pièces à partir de 225 000 e.

Le Grand Sud sur la bonne voie ?

Le Grand Sud sur la bonne voie ?

Si les projets de transports en commun ne manquent pas dans les régions du sud, certains peinent parfois à trouver une issue favorable.

Montpellier, la force tranquille

Montpellier, la force tranquille

DES PRIX MAÎTRISÉS. À la troisième place du podium de notre palmarès, Montpellier présente des indicateurs économiques et immobiliers de qualité qui attirent aux investisseurs.

Une démarche nécessaire

Une démarche nécessaire

La sentence est tombée : dès 2012, il faudra avoir travaillé 41 ans pour avoir droit à une pension entière, 42 à partir de 2020... Le tout pour des montants inférieurs, puisque les pensions des salariés seront désormais calculées sur les 25 meilleures années et que le système d'indexation sur l'évolution des prix plutôt que sur les salaires ralentira leur progression. Autant dire que pour éviter une chute brutale de votre pouvoir d'achat au moment où devrait commencer une nouvelle vie, vous devez vous poser le problème de compléter vos revenus. Alors que les prix de l'immobilier sont au plus haut, sans que les loyers suivent forcément la course, ce type de placement est-il vraiment indiqué pour constituer un patrimoine en vue de la retraite ?

Seine-et-Marne, des villes à la campagne

Seine-et-Marne, des villes à la campagne

Nombreux sont les ménages candidats à "l'exil" en deuxième couronne, pour sa qualité de vie et ses logements meilleur marché. Enquête sur l'un des plus grands pourvoyeurs d'immobilier neuf en Ile-de-France.

Changement dans l'imposition des loyers

Changement dans l'imposition des loyers

J'ai lu que l'imposition des loyers avait changé, notamment que j'allais pouvoir déduire la totalité des primes d'assurance que j'acquitte. Cela signifie-t-il que je pourrai déduire des loyers l'assurance de l'immeuble ? (Christine M., Paris 11e)

Une mission bien définie

Une mission bien définie

Avec un architecte, vous devez signer un contrat qui précise les droits et les devoirs de chacun.

Parole à Jean-François Gabilla - Président de la FPC (Fédération des promoteurs-constructeurs de France)

Parole à Jean-François Gabilla - Président de la FPC (Fédération des promoteurs-constructeurs de France)

Indicateur Bertrand : Quel bilan tire la FPC de 2007 et quels sont les perspectives d’évolution du marché de l’immobilier neuf en 2008 ? Jean-François Gabilla : L’année 2007 aura été globalement un bon cru puisque nous aurons vendu probablement autant qu’en 2006, soit 126 000 logements, mais l’évolution du marché mérite d’être soulignée : un excellent 1er trimestre, puis un glissement au 2e, une chute au 3e (-7,8%) et un 4e qui ne s’annonce pas très bon. Les prix ont continué leur hausse sous la pression conjuguée des réglementations techniques (RT 2005, handicapés) et des coûts de construction. Alliée à celle des taux d’intérêt et au resserrement du crédit, cette pression a comme conséquence la moindre solvabilité des acquéreurs et la baisse de la rentabilité de l’investissement locatif. La satisfaction est venue du niveau de l’offre commerciale. Les 94 600 logements en vente fin septembre ne représentaient que 9,2 mois de vente, en légère augmentation par rapport au trimestre précédent (8,7 mois) mais bien en deçà d’un 1er seuil de vigilance que je situe à 12 mois. En outre, le stock de logements terminés invendus est resté stable à 2 100 logements environ. Malgré une demande qui reste très forte, 2008 devrait voir la confirmation de l’atterrissage en douceur du marché. La FPC prévoit un volume d’activité de 110 000 à 115 000 ventes, avec un niveau de prix en légère hausse. Il est impératif de s’attaquer au problème du niveau du prix de revient des opérations. Il ne trouvera pas sa seule solution dans le foncier moins cher. Il faut aussi revisiter les coûts de construction en commençant par les règles techniques et les normes. I.B. :Que représente l’investissement locatif aujourd’hui en France ? Les dispositifs actuels doivent-ils évoluer ? J-F. G. : La loi Robien relative aux incitations fiscales pour l’investissement locatif a déjà évolué en juillet 2006 avec le recentrage du Robien et la création du Borloo populaire. Il faut avoir conscience de l’importance du Robien dans la construction de logements neufs en France. Les ventes liées à ce dispositif s’élèvent à environ 60 000 par an soit près de 50 % du total, plus que le nombre de logements sociaux neufs mis en chantier en 2006. Ce chiffre montre à l’évidence l’impact des lois Robien/Borloo sur la construction en France et leurs contributions à répondre aux besoins de logements annuels évalués à 500 000. Concernant le Robien, je m’étonne de l’acharnement de certains de vos confrères et de certains hommes politiques à le déconsidérer, en s’appuyant sur les quelques villes moyennes qui ont connu une production de logements excessive. Je rappelle que la FPC a toujours insisté sur la dimension immobilière de ces investissements, et pas seulement fiscale et financière, en incitant chaque investisseur à se renseigner sur la localisation, l’existence et à la tenue du marché locatif, la qualité du produit, le promoteur… Toutefois, il faut relativiser et tenir compte de la réalité des chiffres : entre 2003 et 2007, près de 200 000 logements Robien et Borloo ont été livrés et moins de 4 000 sont aujourd’hui vacants. C’est encore trop mais cela ne représente que 2 %. Grâce à eux, 196 000 ménages ont été logés. Où seraient-ils et quel loyer devraient-ils payer si ces logements n’avaient pas été construits ? 60 000 logements par an, c’est plus de 100 000 emplois créés par ce système. Et puis, l’Etat, dont on dit que le Robien lui coûte 400 millions d’epar an en impôts non encaissés, perçoit chaque année 1,7 milliard d’e de recettes de TVA auxquelles s’ajoutent la TFPB, la taxation sur les plus value de cession, etc. Alors oui, il faut préserver les dispositifs Robien/Borloo, ce qui n’empêche pas de réfléchir à une simplification des différents systèmes, en gardant en tête l’importance du besoin de logements neufs, donc des incitations à les produire.

VERS UNE REMONTÉE ?

VERS UNE REMONTÉE ?

Les spécialistes, s'ils n'osent plus vraiment se prononcer en faveur d'une remontée des taux, s'accordent à dire que de nouvelles baisses sont peu probables. "Les taux n'iront pas plus bas, ils ont atteint un niveau incompressible", s'exclame Christophe Crémer. Même son de cloche chez Empruntis : "La baisse constatée en septembre n'aura certainement pas vocation à se poursuivre dans les mois à venir, avance Empruntis, sauf si, bien entendu, les fondamentaux économiques devaient se dégrader ou si les banques devaient rattraper leur retard dans l'atteinte de leurs objectifs commerciaux". Il est vrai que la concurrence à laquelle se livrent les banquiers pour s'octroyer de nouvelles parts de marché, a également des répercussions sur la courbe des taux. Certains établissements de crédit n'hésitent d'ailleurs pas à rogner sur leur marge pour être concurrentiels. Un contexte qui, soit dit en passant, vous met en situation de négocier âprement les meilleures conditions pour votre crédit. Une chose est sûre : les taux ne devraient pas remonter brutalement. Leur évolution est, en effet, directement liée aux politiques monétaires menées à l'échelon européen et mondial. Or, la BCE (Banque centrale européenne) a récemment décidé de maintenir son taux d'intervention à 2 %. Une décision dictée par la volonté de soutenir une croissance économique plutôt défaillante à l'échelon européen, ce qui n'est pas de nature à faire remonter les taux à court terme sur lesquels s'appuient les taux révisables. Ainsi, l'indice de référence qui sert au calcul des taux révisables, l'Euribor, se situait à 2,20 % sur un an, fin septembre, contre 2,33 % fin décembre 2004. Deux facteurs peuvent cependant modifier la donne : le redressement de l'économie aux Etats-Unis et la hausse des taux engagée par la Banque Fédérale américaine. Pour l'heure, les analystes tablent sur la stabilité des taux courts jusqu'à la mi-2006. Les taux longs sur lesquels s'adossent les formules fixes ne devraient pas non plus s'envoler. L'OAT 10 ans se maintient à un niveau relativement bas : 3,10 % fin septembre (contre 3,65 % en début d'année). "Les marchés financiers sont rassurés par une inflation durablement maîtrisée en Europe, analyse Christophe Crémer, et si la bourse va mieux, elle n'a pas encore reconquis les investisseurs qui optent aujourd'hui, majoritairement pour les placements obligataires".

Comment se comporte le marché du logement de l'aire montpelliéraine ?

Comment se comporte le marché du logement de l'aire montpelliéraine ?

Thierry Iacazio : Grâce à sa situation d'agglomération importante, Montpellier a mis plus de temps à subir la baisse de fréquentation. Suivant les familles de logements proposés, selon qu'elles sont issues de Zac ou pas, certaines ne posent aucun problème de commercialisation. Ce qui requiert une vigilance, c'est le secteur libre.

Tendances de la maison du futur

Tendances de la maison du futur

Notre home sweet home vit sa révolution ! Confortable, intelligente et verte, la maison de demain nous offrira le meilleur. Décryptage de ce trio de tendances...

Accalmie, attentisme, moins de chantiers dans l’ensemble

Accalmie, attentisme, moins de chantiers dans l’ensemble

Si des grands chantiers dynamisent le marché, la nouvelle année s'inscrit dans une période globale d'accalmie. La dernière étude de conjoncture de la direction régionale de l'équipement avançait une baisse des mises en vente de logements et un niveau de stocks élevé, bien qu'en légère décrue. Dans le Haut-Rhin (Colmar, Mulhouse), cette tendance entraîne une baisse des prix, qui sont repassés en dessous de la barre de 2 500 e/m2 en moyenne, avec 40 % des transactions en zones rurales. La tendance se vérifie dans les autres régions. Dans le Nord, la FPC constate un nombre de mises en vente en augmentation mais faiblement (de l'ordre de 2 %). Le niveau des stocks avait peu évolué (autour de 2 130 unités) pour un prix moyen de 2 849 e/m2 dans le Nord- Pas-de-Calais. La direction régionale de l'équipement enregistre en revanche une augmentation importante du nombre d'autorisations de construire (+ 9,9 % contre + 1,4 % au niveau national) mais, parallèlement une forte diminution des mises en chantier (- 6,3 % contre - 2,8 % en France). A Lille, le PLH prévoit pourtant une montée en puissance de la construction qui doit passer de 3 500 logements en moyenne à 5 000 à 5 500 logements par an, mais une majorité (jusqu'à 2 200) concernera le parc social. "La communauté urbaine réfléchit à la mise en place d'un dispositif d'aide à l'accession sociale, plutôt dédié au neuf", précise-t-on à la CUDL (communauté urbaine de Lille).

Indien ou Pacifique

Indien ou Pacifique

Autres océans, même principe : La Réunion au climat tropical recèle également de nombreuses opportunités d'investissement en loi Girardin. Baignées par l'océan indien, les plages de sable blanc corallien ou de sable noir à l'Ouest bordent deux ensembles volcaniques enserrés par des cirques spectaculaires et pratiquement inaccessibles. Plus de 700 000 habitants peuplent essentiellement les villes côtières et l'immobilier y a connu un fort développement. Les besoins sont à la hauteur de l'accroissement de population prévu, qui tourne autour de 300 000 personnes à l'horizon 2012. Du Nord au Sud de l'île, les programmes neufs permettant l'investissement en Girardin sont nombreux. A titre d'exemple, autour de la capitale Saint-Denis, on peut citer la résidence Anaïs, signée du groupe Apavou, l'un des acteurs de premier plan du marché immobilier réunionnais. Situé à Sainte-Clothilde, à quelques minutes de Saint-Denis, le programme associe vue sur mer et sur montagne. A Saint-Denis même, la résidence du Rocher, commercialisée par Austral Investir, se situe dans le quartier résidentiel de Bellepierre. Pour un 2-pièces de plus de 51 m2, il faut compter 166 556 €. Et pour que le rêve soit complet, un petit détour par Tahiti s'impose : Papetee, dont le seul nom évoque la douceur de vivre, s'orne d'un très bel ensemble résidentiel commercialisé par ID Finances, le Te Ava Nui. Située sur une hauteur, dans un parc arboré de 16 000 ha, la résidence à l'architecture moderne et épurée abrite des appartements tous prolongés de terrasses spacieuses qui s'ouvrent sur une vue exceptionnelle jusqu'à la mer.

Borloo ou Robien : faites le bon choix

Borloo ou Robien : faites le bon choix

Des dispositifs existent pour encourager l’investissement locatif dans le logement neuf. L’attrait des déductions fiscales ne doit cependant pas vous empêcher d’être attentif au moment de l’achat du bien immobilier. Mode d’emploi.

LE GRAND CLASSIQUE : LES RÉSIDENCES DE TOURISME

LE GRAND CLASSIQUE : LES RÉSIDENCES DE TOURISME

L'option la plus pratiquée, ce sont les résidences de tourisme, beaucoup plus nombreuses sur le marché que les logements individuels classiques. L'acquéreur peut prétendre au régime des Bénéfices Industriels et Commerciaux (BIC). Il amortit la TVA sur 20 ans, avec un bail minimum de 9 ans auprès d'un gestionnaire. "Les loyers sont garantis, le financement est hors taxes. C'est un bon moyen d'acquérir une résidence secondaire en différé, assure Patrick Caumon. Avec 4 à 5 % de rentabilité, les investisseurs s'y intéressent aussi. Mais seulement les investisseurs jouisseurs parce que les autres préfèreront s'acheter un bien à Grenoble, par exemple, qui leur offrira 5,5 % de rentabilité". En Savoie, le placement est à l'affiche, à Crest-Voland, dans l'un des 35 appartements de la résidence des Balcons de Charvin, commercialisés par OACI Conseil. À Bourg-Saint-Maurice, le Salt Lake, aux Arcs 1600, est commercialisé par Lagrange Patrimoine Conseil. Ses 130 appartements, du T2 au T4 ont accès à la piscine intérieure, la balnéo et une salle de fitness. Dans la vallée de Chamonix, les Balcons d'Anaïte (OACI Conseil) amorcent une deuxième tranche aux Houches, avec de nombreux 2 et 3-pièces destinés à une clientèle familiale, pour un mètre carré moyen à 5 500 €. Situés au cœur du village, ils offriront des vues sur les aiguilles de Chamonix et le Mont-Blanc.

L’AVIS DE PIERRE-CHRISTOPHE BAGUET Député-maire de Boulogne-Billancourt

L’AVIS DE PIERRE-CHRISTOPHE BAGUET Député-maire de Boulogne-Billancourt

Indicateur Bertrand : Où en est l’opération Seguin-Rives de Seine ?