Actualité
OC Résidences, mélange de tradition et d’innovation
Leader sur la région Midi-Pyrénées, OC Résidences construit chaque année plus de 400 maisons individuelles.
Evolution du marché dans la région de Montpellier
I.B. :Comment percevez-vous l'évolution du marché régional en 2007 et quelle part allez-vous y prendre ?
L’AVIS DE PIERRE-CHRISTOPHE BAGUET Député-maire de Boulogne-Billancourt
Indicateur Bertrand : Où en est l’opération Seguin-Rives de Seine ?
Changement dans l'imposition des loyers
J'ai lu que l'imposition des loyers avait changé, notamment que j'allais pouvoir déduire la totalité des primes d'assurance que j'acquitte. Cela signifie-t-il que je pourrai déduire des loyers l'assurance de l'immeuble ? (Christine M., Paris 11e)
Les prix de l'immobilier neuf dans l'Agglomération Urbaine de Strasbourg au 1er trimestre 2012
Les prix moyens du m2 habitable des logements collectifs neufs réservés (hors parking) dans l'Agglomération Urbaine de Strasbourg par la fédération des promoteurs immobiliers.
Vaut-il mieux acheter ou louer ?
Le courtier Meilleurtaux.com a présenté récemment une étude sur l’intérêt d’acheter sa résidence principale ou de la louer dans les 37 plus grandes villes françaises.
"Je ne suis pas bricoleuse et j'avais envie d'un logement sans soucis, sans travaux, où je me sente en sécurité y compris par rapport aux installations électriques, à la chaudière, etc."explique Julie, qui a emménagé cette année dans son 2-pièces flambant neuf, dans une résidence de Neuilly-Plaisance signée Coprim. Le promoteur lui a livré un appartement "prêt à vivre", dans lequel elle a pu choisir la couleur du revêtement mural et celle de la moquette dans la chambre, et surtout, qui répond aux critères actuels de confort et de qualité.
Ile-de-France : la réforme des aides en chantier
C'est autour du nouveau levier à l'accession, baptisé prêt à taux zéro+ (PTZ+), que débute cette année la réforme des aides à la propriété en faveur des primo-accédants.
Les spécialistes, s'ils n'osent plus vraiment se prononcer en faveur d'une remontée des taux, s'accordent à dire que de nouvelles baisses sont peu probables. "Les taux n'iront pas plus bas, ils ont atteint un niveau incompressible", s'exclame Christophe Crémer. Même son de cloche chez Empruntis : "La baisse constatée en septembre n'aura certainement pas vocation à se poursuivre dans les mois à venir, avance Empruntis, sauf si, bien entendu, les fondamentaux économiques devaient se dégrader ou si les banques devaient rattraper leur retard dans l'atteinte de leurs objectifs commerciaux". Il est vrai que la concurrence à laquelle se livrent les banquiers pour s'octroyer de nouvelles parts de marché, a également des répercussions sur la courbe des taux. Certains établissements de crédit n'hésitent d'ailleurs pas à rogner sur leur marge pour être concurrentiels. Un contexte qui, soit dit en passant, vous met en situation de négocier âprement les meilleures conditions pour votre crédit. Une chose est sûre : les taux ne devraient pas remonter brutalement. Leur évolution est, en effet, directement liée aux politiques monétaires menées à l'échelon européen et mondial. Or, la BCE (Banque centrale européenne) a récemment décidé de maintenir son taux d'intervention à 2 %. Une décision dictée par la volonté de soutenir une croissance économique plutôt défaillante à l'échelon européen, ce qui n'est pas de nature à faire remonter les taux à court terme sur lesquels s'appuient les taux révisables. Ainsi, l'indice de référence qui sert au calcul des taux révisables, l'Euribor, se situait à 2,20 % sur un an, fin septembre, contre 2,33 % fin décembre 2004. Deux facteurs peuvent cependant modifier la donne : le redressement de l'économie aux Etats-Unis et la hausse des taux engagée par la Banque Fédérale américaine. Pour l'heure, les analystes tablent sur la stabilité des taux courts jusqu'à la mi-2006. Les taux longs sur lesquels s'adossent les formules fixes ne devraient pas non plus s'envoler. L'OAT 10 ans se maintient à un niveau relativement bas : 3,10 % fin septembre (contre 3,65 % en début d'année). "Les marchés financiers sont rassurés par une inflation durablement maîtrisée en Europe, analyse Christophe Crémer, et si la bourse va mieux, elle n'a pas encore reconquis les investisseurs qui optent aujourd'hui, majoritairement pour les placements obligataires".
L’AVIS DE BERNARD NUCCI Président de la FPC* des Alpes
Indicateur Bertrand : Comment percevez-vous 2008 sur la région Rhône-Alpes ?
Le littoral et ses résidences neuves d'Est en Ouest
Depuis la Manche jusqu’à la Méditerranée, le littoral français offre une grande diversité de paysages et les possibilités de résider à proximité de la mer y sont variées.
Compte tenu du risque accru, il faut se rendre à l'évidence : les contrats "seniors" se paient le prix fort. Si l'assurance "standard" bénéficie d'une tarification spécifique identique pour tout le monde et qui varie entre 0,40 et 0,50 % du capital emprunté (ou restant dû), selon les compagnies et les contrats, il n'en va pas de même des primes appliquées aux contrats "seniors", généralement évaluées au cas par cas en fonction du risque. A titre de comparaison, si l'assurance "standard" coûte en moyenne de 3 à 3,50 euros par mois pour 10 000 euros empruntés, l'assurance "senior" peut vous coûter le triple ou le quadruple. Ainsi, à la Société Générale, rare établissement à afficher ses tarifs, le montant de la prime s'établit à 14,60 euros par mois pour 10 000 euros empruntés. Emprunter après un certain âge coûte donc plus cher. Quoi qu'il en soit, même pour un contrat standard, certaines compagnies appliquent une surprime à partir de 65 ans. A vérifier dans votre contrat pour éviter les mauvaises surprises !
Congrès des promoteurs : Cécile Duflot appelle à la mobilisation des acteurs du logement
Cécile Duflot s'est exprimée lors du Congrès des promoteurs immobiliers à Deauville. La ministre du Logement a évoqué le futur dispositif d'investissement locatif et détaillé les priorités du gouvernement.
Lauréate du concours du pôle nautique de Mantes-la-Jolie mais aussi chargée de lieux d’expositions et de logements étudiants, la jeune agence Search Architecture prend son envol.
A Dinard : une offre limitée dans le centre
On construit aussi légèrement au sud, à Dinard. La ville d'art et d'histoire, avec de nombreuses villas de la Belle Epoque, s'ancre aussi fermement dans le présent. En ce moment, elle redessine quelques-uns de ses axes essentiels. Premier chantier : l'exploitation de la friche industrielle de 4 hectares laissée par l'ancienne gare, condamnée en 1987. La mission a été confiée à l'architecte espagnol Ricardo Bofill, en partenariat avec Jean-Louis Barjon, du cabinet BNR (voir encadré). D'ici 2010, il devrait avoir créé sur l'ancien quartier de la gare un nouveau trait d'union qui reliera le centre de Dinard à celui de Saint-Alexandre et de Saint-Enogat, le berceau de la ville. En plus d'une médiathèque, d'un grand parking et de commerces, le projet comprend 494 logements, pour une surface habitable d'environ 36 476 m2. Ces appartements devraient faire en moyenne 74 m2. D'après l'architecte, "ils s'ouvriront sur un grand jardin central ou des places par des terrasses, des balcons ou des bows-windows. Les finitions et équipements des logements devront être de qualité et de prestations équivalentes aux réalisations immobilières de la région". Deuxième priorité : le centre-ville. La municipalité travaille à "redonner aux piétons le plaisir de flâner sur les trottoirs et à rendre aux regards toute la beauté d'une ville bénéficiant d'une situation privilégiée".Concrètement, il s'agit de le doter d'un grand parking souterrain. L'espace libéré en surface fera la part belle à de larges trottoirs, des commerces facilement accessibles, des terrasses de cafés et de restaurants aérées et des carrefours soignés. Dinard se dote également d'un véritable pôle culturel et sportif. Le nouveau complexe comprendra 9 salles de sport, une grande salle des fêtes, un espace théâtre et une scène de concert, une salle de dessin et une autre consacrée à l'aquariophilie. Près de 1 000 m2 seront mis à la disposition des associations. L'ouverture du site est prévue pour la rentrée prochaine. La Sacib affiche aujourd'hui les Villas Saint- Exupéry, deux villas de 20 appartements dans la tradition architecturale de la station balnéaire. Situé dans un quartier résidentiel, près des plages, le programme dispose encore de 8 ou 9 appartements, autour de 4 900 e/m2. On trouve par exemple des 2-pièces à partir de 168 000 e (38 m2) et des 4-pièces à partir de 491 000 e (100 m2). Des tarifs un peu élevés qui s'expliquent par un emplacement exceptionnel, dans un secteur calme du centre-ville où l'offre s'est faite rare ces dernières années. Pour les amateurs de vieilles pierres, le Cabinet Peterson, à Rennes, commercialise aussi un joli produit en plein centre. Dans le plus ancien hôtel de la ville, construit en 1930, la Résidence des Bains, d'une trentaine d'unités, dispose encore de quelques opportunités, studios, 2 et 3-pièces, avec de belles prestations dans le respect de l'architecture locale. Seri Ouest, spécialisé sur l'Ouest, avec des réalisations au Havre, à Angers ou encore au Croisic, est aussi à l'affiche. Il termine la commercialisation des Pléaïdes, "un petit hameau de 16 maisons de grande qualité, à 800 m de la plage de Port-Blanc et de son centre nautique, qui offre l'avantage de profiter des activités touristiques et des facilités de la vie urbaine". Selon Fabien Rolland, le directeur régional de Seri Ouest, il reste 4 lots disponibles, entre 102 et 128 m2 habitables sur des terrains de 300 à 524 m2. Ils sont à vendre entre 290 000 et 400 000 e pour une livraison dès cet été. Dans la vallée enfin, quelques programmes sont encore en développement, avec des terrains à bâtir légèrement plus accessibles, qui devraient élargir les possibilités des familles et des primo-accédants. Au Pleurtuit, la Sacib termine la commercialisation de sa Villa Marly (entre 129 900 et 136 700 e pour 60 m2). Tout le long de la Rance, le promoteur projette aussi une série de petits lotissements.
Le Crédit Foncier a dressé une analyse des retombées du prêt à taux zéro renforcé (le PTZ+), et ce, quelques jours après sa mise en place. Signe particulier : « une forte adéquation entre la typologie des demandes de prêts et l’esprit de la réforme », remarque l’organisme fi nancier, leader en matière d’accession sociale.
3 Questions à Hugues Martin - Député-Maire de Bordeaux
"Nous construisons le Bordeaux de demain"