Actualité
Auteur primé de l’extension de l’hôtel de ville de Marseille, l’architecte Franck Hammoutène ne craint pas de s’attaquer à l’exercice difficile de l’habitat. Une personnalité éclectique.
Les prix de l'immobilier neuf dans la Communauté Urbaine de Bordeaux au 1er trimestre 2012
Les prix moyens du m2 habitable des logements collectifs neufs réservés (hors parking) dans la Communauté Urbaine de Bordeaux par la fédération des promoteurs immobiliers.
L'AVIS DE DOMINIQUE VONTHRON, Président du directoire de Castelord
65 % de nos réalisations seront BBC en 2011
Les prix de l'immobilier neuf dans la Communauté d'Agglomération de Rouen au 1er trimestre 2012
Les prix moyens du m2 habitable des logements collectifs neufs réservés (hors parking) dans la Communauté d'Agglomération de Rouen par la fédération des promoteurs immobiliers.
5 400 €/m2 atteints dans le centre de Toulouse
La quatrième ville de France, numéro un en Europe pour les activités aéronautiques et spatiales, deuxième ville universitaire de France avec 140 000 étudiants, a gagné 13 % en un an pour dépasser les 3 000 €/m2 en moyenne, avec des offres à partir de 2 100 €/m2 à Saint- Cyprien et des premiers prix à 3 100 €/m2 dans le quartier Saint-Sauveur où les produits haut de gamme atteignent 4 500 €/m2. “Les écarts se creusent entre l’hyper centre et les première et deuxième couronnes”, observe Franck Baudouin, directeur commercial de Kaufman & Broad. Le groupe, qui commercialise actuellement 27 programmes sur l’agglomération via toutes ses entités (Kaufman & Broad, Aventis, Sopra Promotion, etc.) a récemment atteint des sommets avec la vente d’un appartement de 168 m2 plus grande terrasse vendu 950 000 €, soit 5 400 €/m2 ! “Parallèlement, nous faisons en sorte de proposer des produits accessibles au plus grand nombre, comme l’illustre le programme du Belvédère Médicis à Pouvourville avec des logements proposés à 3 200 €/m2 en moyenne”. Le programme phare de Kaufman & Broad se trouve quant à lui à dix minutes du Capitole et promet des vues sur la Garonne, Quai de la Chaussée. “Avec des appartements du 2 au 5-pièces répartis sur deux petits immeubles de construction traditionnelle avec briques et tuiles romanes, il constitue un produit très rare sur Toulouse aujourd’hui, avec des prestations haut de gamme pour un mètre carré autour de 4 500 €”. Le promoteur est aussi présent place Wilson. Il vient d’y lancer le Quai du Roy, boulevard Riquet. “C’est la reprise d’une façade en briquettes, à l’intérieur 24 appartements, du loft au 4-pièces (de 26 à 140 m2) avec des hauteurs sous plafonds de 3,50 m en rez-de-chaussée”.
Nous venons de nous rendre compte de malfaçons, un mois après la réception de notre maison. Quelles démarches devons- nous entreprendre à l'égard du constructeur de maison individuelle ? (Sophie G.,Dourdan,91)
Foncière-développeur, Icade est un intervenant majeur du marché immobilier, dont les activités couvrent l'ensemble de la chaîne de valeur : l’investissement, la promotion et les prestations de services dans les secteurs du logement, des bureaux, des parcs tertiaires, des commerces et centres commerciaux et des équipements. Concevoir, développer, investir, détenir et arbitrer, exploiter et gérer sont les savoir-faire de la société. La maîtrise de ses différents métiers permet à Icade d'apporter des solutions adaptées aux besoins de ses clients et d'intervenir de manière globale sur les problématiques actuelles du secteur. En 2007, Icade a réalisé un chiffre d’affaires consolidé de 1 482 Me. www.icade.fr
Depuis le 1er octobre, le zonage concernant notamment l’investissement locatif a été révisé. Objectif : mieux l’adapter aux réalités du marché.
L'AVIS DE JEAN-MICHEL CIUCH, Directeur général d'Immogroup Consulting
Le neuf toujours privilégié par rapport à l'ancien
Michel Willaey, Secrétaire général de Maisons Pierre
Constructeur de maisons individuelles, Maisons Pierre est spécialisé sur le marché de la primo-accession. Son secrétaire général nous livre sa vision du marché et nous fait part de ses projets. "Produire des maisons économes avec un bon rapport qualité prix" Indicateur Bertrand : Comment abordez-vous cette fin d'année 2009 ? >Michel Willaey : Sur le marché de la primo-accession, le bilan est positif puisque nous avons des chiffres de ventes pour 2009 légèrement supérieurs à ceux de 2008, de l'ordre de 5 %. Avec cette dynamique favorable, nous allons sans doute nous retrouver en seconde position des constructeurs de maisons individuelles en secteur diffus. Ces bons chiffres s'expliquent par le fait que nous sommes depuis la création de Maisons Pierre en 1984, positionnés sur ce marché de la primo-accession, avec une clientèle que l'on pourrait qualifier de “disponible”. Nos acquéreurs n'ont en effet, aucun bien à revendre, et n'ont besoin d'aucun prêt relais. En outre, nous avons bénéficié des mesures issues du plan de relance, avec le pass-foncier mais surtout le doublement du prêt à taux zéro qui nous a permisde solvabiliser un plus grand nombre d'acquéreurs potentiels. Nous avons également profité de la baisse du foncier, de l'ordre de 10 à 20 %, en fonction des régions. Notre ambition est de nous maintenir sur ce marché de la primo-accession et d'exercer pleinement notre devoir de constructeur-citoyen en proposant des maisons de qualité et à bon prix. I. B. : Quels sont vos projets ? >M. W. : Dans le cadre de notre action pour le développement durable et pour l'environnement, nous avons pour ambition de proposer dès l'année prochaine une maison BBC (bâtiment basse consommation). Cette maison devra être accessible aux revenus modestes. Nos clients sont de plus en plus réceptifs à des maisons économes en énergies. 70 % de notre gamme se compose déjà, soit de maisons HPE (haute performance énergétique) soit de maisons THPE, avec une consommation énergétique de 10 à 20 % inférieure à la réglementation actuelle. Nous souhaitons aller plus loin et être en avance sur la nouvelle réglementation thermique, qui entrera en vigueur le 1er janvier 2013. Nous allons donc proposer des produits encore plus performants, en termes de perméabilité à l'air, mais aussi d'équipements de chauffage avec des pompes à chaleur, des chauffeeauxthermodynamiques et autres produits en cours de développement. Nous allons également améliorer nos process de construction de manière à être encore plus performant sur la qualité et sur le coût. En effet, nous voulons rester dans nos gammes de prix. Nous souhaitons faire bénéficier à nos clients plus modestes les mêmes prestations que celles proposées aux clients avec des revenus plus élevés. I. B. : Que pensez-vous des différents dispositifs mis en place par l'État ? >M. W. : Nous voulons être assuré du maintien des dispositifs proposés par l'État, nous voudrions notamment que le doublement du prêt taux zéro soit prolongé au-delà du premier semestre 2010. Nous recommandons également une amélioration dans le fonctionnementdu pass-foncier avec une implication plus forte des organismes collecteurs du 1% patronal et des élus des collectivités locales, 5 000 pass-foncier seulement sont consommés sur 30 000 autorisés. Nous espérons également que le dispositif Scellier garde sa forme actuelle jusqu'à fin 2010 et de n'envisager son “verdissement” qu'à partir de 2011. Le marché immobilier garde une croissance potentielle forte avec un besoin de production à hauteur de 500 000 logements et nous sommes assez optimistes pour penser qu'à terme, ce marché retrouve son développement naturel.
Calculez votre prêt pour un achat en Vefa
Avant de vous lancer dans l'achat en Vefa, il est indispensable d'étudier très précisément les modalités de remboursement et de bien préparer votre dossier. Démonstration.
En valeur absolue, les ventes de grands logements dans l'agglomération lyonnaise se réduisent d'année en année mais sont loin d'être cependant ridicules. En 2002, sur 459 grands logements vendus, 163 l'ont été en agglomération et 326 sur l'aire centrale Lyon-Villeurbanne- Caluire. En 2003, les grandes surfaces ont totalisé 360 ventes, réparties entre les 149 de l'agglomération et les 211 du centre. Enfin, en 2004, le volume de ventes s'est réduit à 271 : 102 en agglomération et 169 sur l'aire lyonnaise. Pour Xavier Longin, chargé de mission chez Stratis Conseil, spécialisé dans les études de marché : "Le marché des grands appartements est difficile à appréhender" en raison de son faible volume. La notion de surface est à considérer autrement que pour le reste du marché. Si l'on tient pour acquis qu'un logement est dit "grand" à partir de 110 m2, on n'évoque pas pour autant la typologie. Or, on entre dans une répartition typologique d'une autre dimension qui est rarement évoquée dans les statistiques immobilières. À Lyon, les appartements de plus de 110 m2 se divisent ainsi : 7 % de 4-pièces, 77 % de 5-pièces, 13 % de 6-pièces et 3 % de 7-pièces. "Il faut être prudent, ajoute le chargé de mission, certains appartements ont de très grandes surfaces et peu de pièces. Tout est fonction de la demande".
Aujourd’hui, rester dans sa cuisine n’est plus une corvée, mais un choix. Jadis reléguée à l’autre du logement ou confinée au simple cahier des charges de permettre à la maîtresse de maison de préparer de bons repas, la cuisine est aujourd’hui devenue une vraie pièce à vivre, un lieu de rencontre pour toute la famille. Elle s’est réellement ouverte, et la version “américaine” connaît un succès non démenti et permet, lorsque l’on reçoit, de profiter de la conversation avec ses invités tout en cuisinant, et inversement. On s’y réunit en famille ou entre amis, et l’on y soigne les moindres détails, comme les ustensiles de préparation, de préférence design pour pouvoir être exhibés avec fierté. Profiter du même confort à l’intérieur qu’à l’extérieur, c’est l’intérêt des nouveaux balcons, terrasses et jardins. En effet, l’heure est au décloisonnement entre le “dedans” et le “dehors”. Avec en ligne de mire, l’envie d’optimiser chaque m2 disponible, l’extérieur devient pièce à vivre. Véritable prolongement de l’habitat, le jardin a le mérite de pouvoir évoluer au fil de la journée. Equipé d’un barbecue, il se transforme en grande cuisine. Agrémenté de meubles de jardin, il devient salon. Canapés, poufs, banquettes, luminaires... il inspire les designers, qui proposent des solutions d’aménagement toujours plus raffinées. À tel point que depuis quelques années, ils signent des collections qui trouvent leur place aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur de la maison. Le traditionnel trio table-fauteuils-transats en plastique a pris un sérieux coup de vieux. Aujourd’hui, les matériaux rivalisent d’inventivité, et les objets sont à la fois beaux à regarder, légers et résistants aux intempéries.
Il dépend de vos revenus. Si ceux-ci sont faibles, vous bénéficiez d'un différé d'amortissement qui peut aller jusqu'à 18 ans, ce qui vous laisse le temps de rembourser votre prêt principal. Ainsi, si vos revenus n'excèdent pas 12 641 € par an, votre remboursement débutera après 18 ans et s'étalera sur 4 ans (sauf si votre prêt principal se termine avant). Si vos revenus se situent entre 12 641 et 15 800 €, vous rembourserez immédiatement mais pendant 18 ans, votre mensualité ne portera que sur 25 % du montant du prêt. Les 75 % restants seront remboursés après cette période, sur trois ans. Si vos revenus se situent entre 15 801 et 18 950 €, vous rembourserez également tout de suite, mais ce remboursement portera sur la moitié du prêt, les 50 % restants étant repoussés après la 15e année et s'étalant sur deux ans. Pour les tranches de revenus supérieurs, le remboursement porte sur la totalité du prêt. Il débute tout de suite et dure 6 ou 8 ans (selon revenus).
Les prix moyens du m2 habitable des logements collectifs neufs réservés (hors parking) dans la Communauté d'Agglomération d'Orléans-Val de Loire par la fédération des promoteurs immobiliers.
L’effet levier du prêt à 0% sur la mensualité
Avec un financement intégrant un prêt à 0 %, le coût de votre crédit sera forcément moins élevé, le prêt étant consenti sans intérêts. Et ce, même si vous n’obtenez que 15 000 ou 20 000 euros. Démonstration : si vous empruntez 180 000 euros sur 20 ans sans prêt à 0 %, votre mensualité s’établira à 1 207 euros et le coût de votre crédit, à 109 895 euros. En revanche, si vous obtenez un prêt à 0 % de 25 000 euros, votre mensualité s’établira à 1 143 euros, soit 64 euros d’écart, ce qui est loin d’être insignifiant, surtout si votre capacité d’endettement est limitée. Rappelons que les banques exigent un taux d’endettement souvent inférieur à 33 %, voire 30 %. D’où l’utilité de ce type de prêt. L’opération s’avère encore plus intéressante si vous bénéficiez d’un prêt à 0 % avec différé de remboursement. Une enquête de l’Anil démontre que, dans ce cas, le pouvoir d’achat de l’acquéreur augmente. “Pour une mensualité de 700 euros, on peut emprunter 113 900 euros à 5 % sur 25 ans, alors que l’on peut emprunter 123 600 euros avec un prêt à 0 % de 21 300 euros et un différé d’amortissement de 50 % auquel s’ajoute un prêt principal lissé de 102 100 euros à 5 % sur 25 ans, constate Jean Bosvieux, auteur de l’enquête en question. Le fait de bénéficier du prêt à 0 % équivaut donc, dans cet exemple, à une subvention de 8 200 euros”. Un plus dont il serait dommage de se priver, à l’heure où les taux de crédit ne cessent de grimper. Encore faut-il pouvoir bénéficier de l’aide qui reste soumise à conditions, comme toute aide de l’État.
Les avantages pour investir avec la loi Malraux
La loi Malraux ne subit aucun changement en 2013 pour la réduction d’impôt mais elle n’entre plus dans le plafonnement des niches fiscales. Une opportunité à saisir !