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Vivre dans un appartement neuf et travailler à Antony

Vivre dans un appartement neuf et travailler à Antony

Depuis 20 ans, le tissu économique s'est fortement développé à Antony avec la création de la zone industrielle, du Parc de Haute-technologie et du Centre d'Affaires. D'importantes entreprises sont venues s'implanter comme Sanofi-Aventis, Motorola, Pomona ou encore Drager. Par ailleurs, avec Bourg-la-Reine, Châtenay- Malabry, Le Plessis-Robinson, Sceaux, Verrières-le-Buisson et Wissous, Antony fait partie des 7 villes membres de la Communauté d'agglomération des Hauts-de- Bièvre. Objectif des 7 communes : mettre en commun leurs moyens pour assurer des services à la population, entretenir et construire des équipements publics, et favoriser l'aménagement du territoire sous toutes ses formes. Le prochain Conseil communautaire se tiendra le 31 mars.

A travers Nantes

A travers Nantes

"En 2006, les autorisations de construction ont progressé de 27 % par rapport à 2005, ce qui représente environ 6 000 logements. Les opérations de logements individuels groupés sont en progression significative", explique Patrick Rimbert, deuxième viceprésident de Nantes Métropole. Des milliers de logements neufs se construisent donc dans l'ensemble de l'agglomération, qui connaît un afflux important de nouveaux habitants, la croissance démographique étant estimée de 6 à 8 % d'ici 2010.

Les programmes immobiliers neufs du Paris-chic

Les programmes immobiliers neufs du Paris-chic

Du côté des autres opérateurs fidèles de Paris, un certain calme règne, hormis quelques mises en vente annoncées. Fin mars, Paris-Ouest affichait en tout et pour tout à Paris cinq appartements disponibles au 5-9 de la cour Saint-Éloi (12e). Cogedim, grand habitué de la capitale, prévoit un lancement à proximité de l'hôpital de Vaugirard et de ses jardins, le 15e à l'esprit village.

Les opportunités pour investir à l’étranger

Les opportunités pour investir à l’étranger

Nombreux sont les Français qui décident d’investir ou de s’installer hors de l’Hexagone. Que ce soit à quelques kilomètres ou à plusieurs heures d’avion, le « hors frontières » a le vent en poupe.

Jean-Pascal Gabagnou, Directeur régional Résidentiel Ile-de-France, Vinci Immobilier

Jean-Pascal Gabagnou, Directeur régional Résidentiel Ile-de-France, Vinci Immobilier

Indicateur Bertrand : Quelle est l'actualité du groupe Vinci Immobilier et ses orientations stratégiques ? Jean-Pascal Gabagnou : Vinci a souhaité regrouper ses activités immobilières en fusionnant Sorif (spécialisée en bureaux, logements, hôtels, commerces) avec Elige (entité d'immobilier résidentiel). Dans le cadre de ce rapprochement qui donne naissance à Vinci Immobilier, nous quadrillons désormais au niveau national tous les secteurs d'activités. Notre mission : être capables de répondre en termes de produits aux attentes à la fois des investisseurs et des primo accédants. Bref, savoir tout faire. L'objectif est de créer notre propre identité, distiller notre philosophie. Il faut être à la hauteur du nom Vinci Immobilier car nous avons un devoir d'excellence. En Ile-de-France, nous souhaitons bien sûr accroître nos parts de marchés mais en ayant toujours à l'esprit, le souci qualitatif. En effet, nous ne devons pas perdre de vue les fondamentaux, c'est-à-dire la qualité des ouvrages, le fonctionnement des appartements, les sites et l'environnement. Il faut également porter une grande attention aux transports et aux équipements scolaires. Notre stratégie globale est de grandir en accompagnant les besoins de notre clientèle. I.B. : Quels sont vos principaux programmes et vos projets en Ile-de-France ? J.P.G. : Parmi nos programmes emblématiques, je citerai ceux de Levallois-Perret : Le Dôme Résidence, au cœur d'un quartier résidentiel et le Wilson Plaza, disposant d'un espace paysager inattendu, édifié à 500 m du 17e arrondissement. Au total, cela représente une centaine de logements, dans une large gamme qui va du studio au 6-pièces duplex. Nous sommes très présents dans les Hauts-de-Seine où nous réalisons plusieurs opérations comme Villa Toscane à Montrouge, ou à Suresnes, Bourg-la-Reine, Vanves et Boulogne-Billancourt, dont les premiers programmes sur le site de Renault seront lancés en 2006. Dans les Yvelines, à Saint-Nom-la- Bretèche, nous lançons le Parc de Galie, composé de maisons individuelles. En 1ère couronne, nous développons nos implantations en Seine- Saint-Denis et dans le Val d'Oise. Tandis qu'en 2e couronne, nous sommes attentifs aux possibilités de développement liées aux infrastructures de transports. On peut citer les lancements prochains de Villepinte et du Blanc-Mesnil. I.B. : Quel regard portez-vous sur le marché ? J.P.G. : Si l'on assiste à une accalmie, les prix ne vont pas baisser. Il y a un phénomène de rareté, et l'offre à du mal à rattraper la demande. Cela va continuer à augmenter mais plus lentement. Pour ce qui est du marché de la 1ère couronne, nous récupérons ce qui ne se fait pas au sein du marché parisien. L'important est d'être attentifs à la qualité des sites. En ce qui concerne le marché de la 2e couronne pour les primo accédants, après la flambée, les choses devraient se calmer. Le marché est tenu par les taux d'intérêts incroyablement bas. En fait, tout est lié aux revenus des ménages. Il faut donc élaborer des produits adaptés, réfléchir sur des alternatives à la maison individuelle, par l'intégration de maisons de villes dans des programmes collectifs. I.B. : Quelles sont les grandes tendances en matière d'évolution des produits ? J.P.G. : La tendance est aux ouvertures, au gain de place utile, à l'apport d'un maximum de possibilités pour travailler dans son appartement. L'idéal, c'est l'espace. Ensuite, nous voyons poindre par petites touches des évolutions dans nos prestations de confort : économies d'énergies, volets roulants électriques, revêtements en bois pour les façades, fenêtres mixtes bois aluminium, etc. Vinci Immobilier est un des rares promoteurs engagé dans une démarche de certification NF logement. La clientèle est en quête d'une personnalisation plus importante de son acquisition. A nous de mettre en place les structures nécessaires pour gérer une certaine souplesse afin de pouvoir créer l'appartement dont chacun rêve. Collectivement, nous voyons par ailleurs émerger des produits architecturaux de qualité. Depuis 10 ans, l'ensemble des acteurs, Maires, aménageurs et urbanistes ont évolué positivement dans la conception de la Ville. Je pense qu'il faut continuer dans cette voie tout en étant attentifs aux budgets et aux envies de nos clients. A l'inverse de la Belgique voire des Pays-Bas où il y a une vraie culture architecturale, en France, nous sommes tout de même très traditionnels. I.B. : Et comment percevez-vous l'évolution de votre métier ? J.P.G. : Aujourd'hui, les entreprises de promotion sont managées par des professionnels qui ont des multi-compétences : financières, techniques... Chacune avec sa spécificité a insufflé de la rigueur, une véritable gestion dans le marketing et l'élaboration de produits. Avec l'apport de collaborateurs de haut niveau, le gain en qualité de gestion des dossiers est considérable pour l'ensemble de la profession. Notre métier, très réglementé, est reconnu à part entière. Il faut dire que notre responsabilité est grande car nous devons être fiers de nos réalisations et veiller à leur pérennité. Autre évolution notable : nous nous rapprochons étroitement des communes, nous menons avec les élus une réflexion d'ensemble sur la ville de demain et nous optimisons nos complémentarités. Tout ceci constitue des projets passionnants.

Cette boucle est un bâtiment imprimé en 3D

Cette boucle est un bâtiment imprimé en 3D

VIDEO. Au Pays-Bas, des chercheurs viennent de mettre au point une imprimante capable de créer des immeubles horizontaux. Découverte.

L’AVIS DE ALAIN BAUDET Responsable marché à la Caisse d’Epargne Paris-Ile-de-France

L’AVIS DE ALAIN BAUDET Responsable marché à la Caisse d’Epargne Paris-Ile-de-France

Alain Baudet : “En 2007, près de 50 % de nos clients ont moins de 35 ans et 35 % sont des primoaccédants alors qu’en 2006, nous avions financé bon nombre d’emprunteurs déjà propriétaires de leur logement. C’est une évolution qui est liée au fait que, pour les jeunes, il devient aujourd’hui plus facile d’acheter que de louer un logement. Mais, si nous avons affaire à une clientèle jeune, il est pour nous hors de question de proposer des prêts sur 50 ans. Nous nous limitons à 30 ans. La durée de nos prêts se situait à 20 ans et demi en 2006, soit 22 mois de plus qu’en 2005 et pour ce qui concerne 2007, cette durée moyenne passe à 22 ans, soit 18 mois de plus qu’en 2006. L’évolution est donc très rapide. Chez nous, ce sont les durées de 20 à 25 ans qui sont plébiscitées, alors qu’il y a seulement sept ou huit ans, c’était 15 ans. Mais par rapport au crédit, nous jouons évidemment notre rôle de conseil en attirant l’attention des acquéreurs sur l’évolution du marché. Certes, les prix ont augmenté de 130 % en dix ans, mais il n’est pas certain que la progression soit la même dans l’avenir. D’ailleurs, les prix se stabilisent en raison du ralentissement du marché. Un ralentissement lié en partie à la crise des subprimes, crise qui a jeté le trouble dans l’esprit des acquéreurs et encouragé certains à différer leur achat. L’accès au crédit est aussi plus difficile. Les prêts à 100 ou 110 % qui étaient courants, sont moins nombreux aujourd’hui.”

La nouvelle valeur verte des logements BBC

La nouvelle valeur verte des logements BBC

Selon une étude réalisée par Qualitel, les logements Bâtiments basse consommation auraient une valeur financière supérieure estimée entre 3 % et 10 %.

3 QUESTIONS A RENAUD MUSELIER Président d'Euroméditerranée

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“Nous menons une politique maîtrisée du logement”

Achat-revente mode d'emploi

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Vous seriez tenté d’agrandir votre chez-vous, mais vous ne savez pas comment faire pour financer votre projet d’achat-revente ? Avec le prêt relais, c’est simple. Explications…

Grandes ou petites villes ?

Grandes ou petites villes ?

Par définition, investir dans une grande métropole (Paris, Marseille, Montpellier, Bordeaux…) est moins risqué qu’ailleurs car les liquidités y sont meilleures et donc le nombre de transactions plus élevé. Vous aurez donc plus de chance de trouver un locataire ou un acheteur en cas de revente. Toutefois, inutile de se ruer dans les centres-villes si vous aspirez à une rentabilité financière immédiate. Les prix d’acquisition y sont nettement plus élevés qu’ailleurs et donc les taux de rentabilité bien inférieurs à ceux constatés en périphérie. Pour les 3-pièces et plus, la rentabilité est nettement inférieure à 3 % en centre-ville et proche de 3 % en banlieue. En revanche, si vous visez une bonne plus-value, mieux vaut opter pour une surface intermédiaire comme un 2-pièces en centre-ville. A la revente, ces biens valent de l’or. Sachez toutefois que vous pouvez faire “l’affaire du siècle” en misant sur des secteurs dans l’immédiat peu porteurs mais peut-être promis à un bel avenir. “Les particuliers qui ont investi à la Plaine Saint-Denis il y a 3 ou 4 ans, profitent aujourd’hui d’une bonne rentabilité locative et peuvent également tabler sur une excellente plus-value”, observe Patrick Champaud, directeur du marché de l’investissement locatif du Crédit Foncier. Si vous avez un tantinet le goût du risque, vous pouvez également opter pour un bien dans une ville moyenne de province. “Investir dans une métropole de second rang suppose un degré de connaissance du marché plus élevé car la prise de risque est plus importante”, souligne Pascal Brasseur, directeur général de BNP Paris Invest Immo. Pour optimiser ce type d’acquisition, mieux vaut donc être du coin, y connaître quelqu’un de confiance ou y avoir passé une partie de son enfance. A fortiori s’il ne s’agit pas d’une ville universitaire. Pas question d’acheter dans des villes moyennes comme Carcassonne, Tarbes, Montauban, Angoulême, Périgueux… où l’offre en produits défiscalisant est complètement déconnectée de la réalité du marché.

Expérimenter le futur durable dans une maison à énergie positive

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C'est un appel à candidature : Velux recherche une famille pour tester une maison à énergie positive, située en Ile-de-France, durant un an.

Fixez librement les loyers

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Le décret gouvernemental ne concerne pas le logement neuf et pourrait même le favoriser.

Le Morbihan a le vent en poupe

Le Morbihan a le vent en poupe

Une baie parmi les plus belles du monde, des îles charmantes, des espaces naturels préservés : le Morbihan a plus d'un tour dans son sac pour attirer vacanciers et nouveaux résidents. Mais son premier atout, c’est le dynamisme de Vannes.

La Méditerranée

La Méditerranée

Après la vague des stations du Languedoc- Roussillon, réalisées à partir des années soixante, et les limites naturelles et administratives de l’urbanisation en bord de mer du littoral méditerranéen, l’offre de logements à proximité de la Grande Bleue est devenue rare et donc fort prisée. Parmi ces opérations proches du rivage, certaines sont sises en front de mer, offrant souvent un accès direct à la plage auquel s’ajoute une vue face ou latérale de la mer, la plupart du temps dès le rez-de-chaussée. Les opérations spécifiquement bord de mer sont ainsi désignées quand elles sont séparées de la mer par une route, avec ou sans vue mer. Enfin, les opérations en “proximité mer” sont celles qui marquent un éloignement jusqu’à 300 mètres de la plage. En front de mer, l’offre est souvent de très haute tenue pour justifier le niveau des prix, principalement en Provence-Alpes-Côte d’Azur. Si, à Cannes-la-Bocca, Nexity Groupe George V termine la commercialisation de Royal Palm, une opération de “prestige” de 133 logements où un 3-pièces de 62 m2 est commercialisé 433 000 €, le promoteur vient de lancer une nouvelle résidence à Juan-les- Pins, sous le nom de Domaine Juan Flore, avec un front de mer et une vue imprenable du Cap d’Antibes aux Iles de Lérins pour la plupart des appartements. Sur un ensemble au final de 450 logements, la première tranche est commercialisée aux alentours de 6 000 €/m2 habitable, pour une livraison en 2008. Synonyme de haut de gamme, l’opération de Kaufman & Broad confirme cette tendance en front de mer avec Le Palais de L’Oasis, à proximité de la capitainerie de Villeneuve-Loubet. Pour cette opération de 64 logements commercialisée à un prix moyen au m2 habitable de 6 350 €, l’architecture contemporaine choisie valorise cette résidence où la typologie couvre du studio au 4-pièces, avec deux villas sur le toit. C’est sur ce même boulevard Eric Tabarly que Nexity Groupe George V réalise Royal Cap, signée par l’architecte Jean-Michel Wilmotte.