Actualité
Campus UMSF : un projet ambitieux
Dans le cadre du projet urbain de Montpellier, l’opération Campus, Université Montpellier Sud de France (UMSF), occupe une place prépondérante. L’enjeu principal est de hisser l’université de la ville parmi l’une des cent premières au monde. Septième pôle d’enseignement supérieur français, le campus montpelliérain accueille aujourd’hui quelque 31 000 étudiants en niveau licence), 16 000 en niveau master, 3 000 en doctorat, ainsi qu’environ 10 000 étudiants en sciences biomédicales. Leur nombre total est en augmentation de 11 % sur la période 1999-2004 et représente la plus forte croissance française (source : Académie de Montpellier). De nombreux appels à projet ont été lancés. Le cahier des charges est clair : développement ou requalification de grande envergure du campus, favorisant une mise en valeur et une identification forte ; mise en place de campus durables ; recherche de sources de financement diversifiées ; des projets exemplaires à tous niveaux : contenu, organisation de la fonction immobilière, contractualisation avec l’État. Dans cette optique, Montpellier pellier va bientôt finaliser le projet immobilier, nouer les partenariats et monter un plan de financement général, qui bénéficiera d’un accompagnement des services du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Les détails du projet devront être présentés à la fin du mois de novembre au comité d'évaluation. Le démarrage opérationnel des projets financés, quant à lui, est prévu pour début 2009.
QU'APPORTE LA CONVENTION EN CAS DE SEPARATION ?
En présence d'une convention d'indivision, lorsque les deux concubins sont d'accord pour vendre le logement, pas de problème : ils se partagent le prix du bien à hauteur de leur mise de fonds respective. Si l'un souhaite conserver le logement, il dispose d'un droit de priorité pour racheter la part de l'autre. Il est encore possible que l'un des deux continue de vivre dans le logement moyennant une indemnité versée à l'autre. Dans ce cas l'indivision peut être maintenue. En l'absence de convention, sortir de l'indivision peut être plus compliqué. En cas de désaccord, c'est le tribunal de grande instance qui ordonnera soit le partage, soit la poursuite de l'indivision. Toutefois, celle-ci ne peut pas se prolonger au-delà de deux ans. Si la convention a été signée pour une durée déterminée : les concubins sont théoriquement liés jusqu'à l'échéance de la convention. Mais si l'un d'eux demande le partage immédiat, il doit en faire la demande auprès du juge du tribunal. Si la convention a été conclue à durée indéterminée, le partage peut être provoqué à tout moment. A condition que le concubin demandeur ne soit pas considéré comme de mauvaise foi.
Qui souhaite souscrire à l'épargne logement dispose de deux possibilités : le plan épargne logement (PEL) ou le compte épargne logement (CEL). Les deux formules fonctionnent selon le même principe : une phase d'épargne et une phase d'emprunt. Mais leurs conditions de rémunération et d'emprunt sont différentes.
Les Français champions du monde des vacances
Selon la dernière étude internationale menée par Expédia (l’un des leaders du voyage en ligne) avec Harris Interactive® - Novatris, sur les droits et habitudes de vacances comparés des Etats-Unis, du Canada, de l’Australie, de la France, de l’Allemagne et du Royaume-Uni, il apparaît que les Français restent champions du monde des vacances. 39 jours : c'est, en moyenne, le nombre de jours auxquels l'ensemble des travailleurs français ont droit cette année. Il se répartit entre 31 jours de congés payés et 8 jours de RTT pour l'ensemble de la population active. Ces chiffres placent les Français largement en tête du nombre de jours de congés alloués, loin devant les Allemands avec 27 jours et les Britanniques, qui ferment la marche européenne avec 24 jours. Viennent ensuite : les Canadiens avec une moyenne de 19 jours, les Australiens avec 17 jours et les Américains, 14 jours. A noter que 40 % des actifs français prévoient de prendre au moins 3 semaines cet été, tandis que le même pourcentage d’employés américains prévoit… une semaine ! Les Français “débranchent” pendant leurs vacances. L’étude nous indique que seuls 18 % des sondés disent consulter leurs messageries électronique et/ou vocale durant leurs congés. Les femmes savent mieux débrancher que les hommes : 15 % d'entre elles seulement restent connectées contre 22 % des hommes. Côté budget, pour 2006 : près d’1/5e des actifs français prévoient de dépenser plus qu’en 2005 pour leurs vacances. Enfin au top 3 des vacances de rêve des Français : un hôtel 5 étoiles sur une île du Pacifique (48 %), talonné par des vacances bien-être, spa et thalasso pour prendre soin de soi (46 %) et enfin, partir en amoureux sur une plage de sable fin (42 %). Bref, le luxe, le bien-être et le romantisme.
Bertrand Mours, directeur promotion de l'agence nantaise d'Espacil
Indicateur Bertrand :Votre groupe combine plusieurs métiers de l'immobilier : pouvez-vous nous le présenter ? Bertrand Mours : Espacil est un groupe régional qui intervient dans trois métiers. Nous sommes présents sur le secteur du prêt 1% logement, qui constitue l'origine du groupe. Notre deuxième métier est la construction et la gestion de logements sociaux, avec plus de 16 000 logements en grande partie sur la Bretagne. Notre troisième métier est la promotion immobilière, en collectif ou en maisons groupées. Il faut y ajouter une activité de syndic et de gestionnaire pour compte de tiers et la construction de résidences étudiantes. Cette diversité correspond à notre volonté d'être des "généralistes de l'habitat", c'est-à-dire de pouvoir apporter toutes les réponses aux propriétaires occupants et aux investisseurs. I.B. : Que pensez-vous du marché immobilier sur votre région ? B.M. : L'année 2004 a été excellente sur tous les fronts, tant dans le neuf que dans l'ancien. L'augmentation des prix a été forte, mais s'il faut parler d'inflation, elle s'est plutôt illustrée par le marché de l'ancien, notamment sur les maisons et les terrains à bâtir, qui dans certains secteurs du sud de la Loire ont progressé de façon très importante. 2005 sera sans doute aussi une très bonne année en matière de vente. L'évolution de nos commercialisations est peut-être un peu plus raisonnable, mais la demande est toujours importante. D'une part du côté des investisseurs, à la recherche de produits de défiscalisation ou de constitution de patrimoine retraite. D'autre part, nous avons toujours une forte demande en résidence principale et notamment de primo-accédants, pour lesquels la difficulté consiste à trouver des produits adaptés à leur budget. Le centre-ville ne leur est souvent pas accessible, mais la hausse des prix se répercute aussi en première, voire en deuxième couronne, et nous éprouvons des difficultés à répondre à leur demande, même en s'éloignant. Du côté du marché locatif, on constate aujourd'hui qu'il redevient plus fluide, après une période de forte tension il y a un an, un an et demi. Nous assistons aujourd'hui à une certaine détente et du coup, les loyers ont tendance à être plus raisonnables. I.B. : Le marché de Nantes est-il très différent de celui du reste de la région, avec notamment la présence d'un marché de la résidence secondaire ? B.M. : Il est vrai que la réalité du marché nantais est proche de celle de toutes les grandes agglomérations. Mais la région Nantes Saint-Nazaire bénéficie en outre d'éléments porteurs, avec la présence de la côte à proximité. Nantes est d'autant plus attractive. On sait que la population du littoral va poursuivre son expansion et Nantes va en bénéficier. La résidence secondaire existe, mais il y a aussi une forte demande en résidence principale, y compris dans des villes comme La Baule, qui ont une vie au-delà de la saison estivale. L'an dernier, nous y avons par exemple commercialisé une résidence, en très grande majorité à des investisseurs locatifs. De même, nous livrons la première tranche d'une opération d'une soixantaine de logements à Saint-Nazaire, où nous avons beaucoup d'investisseurs locatifs. Saint-Nazaire et Nantes évoluent en symbiose et je crois beaucoup à ce marché, même si des questions se posent. I.B. : Des questions qui recouvrent celle de l'éventuelle existence d'une bulle spéculative ? B.M. : La question principale est "jusqu'où cela va-t-il monter ?". Pour le marché nantais, il faut souligner qu'il y a 10-15 ans, ce marché était très peu cher. Nous avons donc vu un rattrapage, lié aux besoins et à la demande croissante, et les prix correspondent maintenant à l'attractivité qu'exerce l'agglomération nantaise. Dans les années qui viennent, je pense que nous assisterons au retour à une situation plus raisonnable et à des augmentations plus contenues, notamment dans le secteur ancien. Quant au neuf, son coût va forcément au-delà de la simple augmentation du coût de la vie, car il faut prendre en compte les coûts supplémentaires liés aux exigences nouvelles, notamment en matière de développement durable. Qu'il s'agisse des normes thermiques, ou des problèmes liés à la gestion de l'eau, cette préoccupation a une conséquence financière. Quant à l'existence d'une bulle spéculative, nous ne sommes pas dans la situation du début des années 90, où les acheteurs avaient vraiment une démarche spéculative. Leur but était de réaliser une plus-value rapide. Aujourd'hui, sur les marchés régionaux, on voit des tensions sur le logement locatif, mais parce qu'il n'y a pas assez de biens par rapport à la demande. Le marché est alimenté par une demande réelle et non par des mécanismes artificiels. I.B. : Quels sont vos projets actuels ? B.M. : Sur Nantes, nous avons deux opérations en cours de commercialisation, toutes deux bien placées et très centrales : résidence Bella Maria, qui compte une cinquantaine de logements et les Jardins de la Comète, d'une dimension comparable. Les travaux démarrent cet automne pour ces deux résidences. Par ailleurs, nous lançons la commercialisation d'une petite opération en appartements et maisons de ville à la Chevrolière, au sud de Nantes. Enfin, avant la fin de l'année, nous lancerons trois nouveaux programmes dans le département : l'un en deuxième couronne nantaise, l'autre à Saint-Nazaire et le dernier en bord de Loire.
Certification et labels immobiliers : mode d'emploi
Q'est-ce qu'une certification ? C'est une démarche volontaire du promoteur, constructeur ou bailleur social encadrée par la loi. Par cet acte, le professionnel donne des gages de qualité supplémentaires à ses réalisations, en acceptant de faire évaluer la qualité de ses réalisations par un organisme tiers indépendant.
ZAC Les Ramassiers : en plein maillage urbain
Le secteur des Ramassiers représente 130 ha situés sur la commune de Colomiers, à la jonction des communes de Tournefeuille et de Toulouse, au contact de la rocade Arc-en-ciel et desservie par la ligne C du train. Le programme est à vocation mixte, avec 1 500 logements prévus et 5 000 habitants. À terme, la Zac sera occupée pour 41 ha par l’habitat ; 35 ha seront réservés aux activités artisanales, tertiaires et commerciales, industrielles ; 24 ha accueilleront des espaces verts. Sur les 1 500 logements prévus (dont 50 % seront en accession à la propriété et 25% en logements sociaux), 450 sont d’ores et déjà habités et 272 doivent être livrés d’ici à fin 2008. Carrere Promotion a ainsi déjà réalisé quelque 35 logements, tandis qu’avec la résidence Astronomia, livrable au 3e trimestre 2008, Belin Promotion réalise 56 logements, du 2 au 4-pièces, pour un prix compris entre 135 000 euros et 249 000 euros. Le promoteur Nexity George V est aussi largement présent avec la résidence L’Armurier, livrable fin 2008. Quant à Icade Capri, il réalise Côté Jardins: 45 appartements du T2 au T5, répartis sur 2 bâtiments.
38 hectares pour du logement neuf à Montpellier
D'une superficie de près de 38 hectares, le site de l'EAI, à Montpellier, se compose d'un parc de plus de 26 hectares, en plein coeur de la ville.
3 QUESTIONS À Philippe de Longevialle Adjoint à l'Urbanisme à la ville de Grenoble
Un projet d'envergure comparable à l'île de Nantes
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L'apport personnel plus conséquent
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