Actualité
"350 logements vont sortir de terre"
2 600 logements de plus dans la Zac des girondins
La construction de 2 600 logements a été annoncée dans la Zac des Girondins (Lyon 7).
Si, lors de votre mariage, vous ne vous êtes pas souciés de conclure un contrat particulier, ce sont les règles de la communauté légale réduite aux acquêts qui s’appliquent. Entre dans la communauté tout ce qui est acquis à titre onéreux. Il en va ainsi des biens immobiliers que vous achetez pendant le mariage avec les revenus tirés du travail. Si vous avez opté pour la séparation de biens, le logement acheté à deux sera réputé en indivision entre les deux époux.
Nantes : Le frémissement attendu
Si le marché ralentit, la capitale des Pays de Loire affiche une belle résistance et retrouve même peu à peu un second souffle grâce à une forte demande, un choix plus large et de bonnes perspectives d'avenir.
Faire appel à un architecte : honoraires, combien ça coûte ?
Les honoraires de l’architecte sont libres et varient en fonction de l’étendue de la mission que vous lui confiez. Il peut s’agir d’honoraires forfaitaires. Dans ce cas, le montant de sa rémunération est fixé une bonne fois pour toutes. Généralement, il s’agit d’un pourcentage sur le prix de la maison qui oscille entre 8 et 12 %. Ces honoraires peuvent aussi être calculés selon un prix à la vacation (pour de petites missions). Quoi qu’il en soit, un architecte ne vous coûte pas forcément beaucoup d’argent. Il vous permet, en effet, de réaliser des économies en mettant en concurrence les entreprises.
Marseille, 9ème au classement des villes où investir
Capitale européenne de la culture 2013, la cité phocéenne tire parti des grands projets qu’elle a initié pour redynamiser son économie et son immobilier.
C’est probablement le grand revenant de ces dernières années ! Le primo-accédant disparu, chacun se désespérait de pouvoir le retrouver sur une offre adaptée. C’est chose faite, ou quasiment, grâce au travail de la société d’aménagement de la ville de Montpellier, qui permet aux promoteurs de proposer une offre dite “à prix maîtrisés”, aux alentours de 2 300 €/m2 habitable. “Nous qui comptons 23 agences régionales en France, observons que chacun commence à se lancer sur ce créneau”, constate Marie- Christine Ricard, Directeur Languedoc de Bouygues Immobilier Méditerranée Languedoc- Roussillon. Au siège du promoteur Urbat, Alain Durand, son responsable commercial, le répète à qui veut l’entendre depuis des années : “Notre spécialité, c’est le primo-accédant et nous n’avons pas attendu qu’il revienne à la mode ! Nous vendons des logements à cette clientèle, que l’on soit ou pas en Zac”. Que ce soit sur l’opération Le Village, à Malbosc, au prix unitaire - pour le 3-pièces - de 180 000 € ou hors Zac, Villa Saint-Priest, quartier Lapeyronie, où une centaine de logements viennent d’être commercialisés avec un 3-pièces à 160 000-170 000 €, les primo-accédants trouvent désormais une offre élargie. Encore faut-il distinguer deux catégories de primo-accédants : celle des 26/28 ans, qui acquiert un 2 ou 3-pièces avec un apport qui peut atteindre 15 000 à 30 000 € et une clientèle plus âgée, toujours primo-accédante, de 40 à 45 ans, plutôt orientée vers le 4-pièces, mais avec un apport plus proche de 60 000 €. Le secret de cette offre hors Zac ? “Ce n’est pas dans les prestations que nous cherchons des économies mais plutôt dans l’exploitation rationnelle des surfaces pour éviter toute place perdue, poursuit Alain Durand. Et finalement, primo-accédants et investisseurs se tournent vers le même type de produit : ils refusent des surfaces inexploitables ou inutiles”. A côté de cette offre, s’ajoute aussi celle des produits d’investissements alternatifs, comme le PLS (prêt locatif social), qui devient ces temps-ci un produit prisé : “Sur l’opération Les Rives d’Hélios, ou d’autres à venir, la possibilité d’investir en PLS se juxtapose au dispositif Robien et ne vient pas le suppléer, explique Anne Hamelin-Le Cozannet, directrice commerciale de Kaufman & Broad Languedoc-Roussillon. Du fait de la méconnaissance du PLS, nous vendons en faisant beaucoup de pédagogie auprès d’une clientèle locale qui peut investir à un coût raisonnable”. PLS, primo-accession et logement libre font bon ménage, comme le montre le récent lancement de Comédia d’O, sise à Malbosc et signée Bouygues Immobilier, qui, par ailleurs, réalise 70 logements PLS (et des logements en libre accession) sur la Zac de la Lironde.
Régis Hérouard, Directeur général adjoint d'Ogic
Promoteur généraliste de l'immobilier, Ogic intervient dans tous les métiers de la promotion immobilière. Son directeur général adjoint nous livre sa vision du marché et nous fait part de ses projets. " L'investissement locatif Scellier est un véritable succès " Indicateur Bertrand : Comment abordez-vous cette fin d'année ? >Régis Hérouard : Il y a tout juste un an, nous nous demandions si nous devions nous séparer de certaines opérations immobilières. Un an plus tard, l'ensemble de nos programmes en cours de commercialisation ont présenté un taux d'écoulement très satisfaisant et nous souhaitons lancer de nouveaux programmes. Nous abordons donc cette fin d'année avec confiance. Nous allons terminer l'année 2009, avec des résultats commerciaux très favorables, sans doute équivalents à la moyenne des meilleures années. Nos programmes se vendent à un rythme tout à fait confortable. Dans la ville d'Évry, par exemple, nous vendons actuellement 4 à 5 appartements en moyenne par mois. Notre groupe est positionné sur des produits de haute et moyenne gamme. Nous proposons toujours des emplacements de qualité, des sites exceptionnels, ce qui est une véritable philosophie et qui explique sans doute nos bons résultats. En effet, La qualité intrinsèque du site est primordiale et les clients y sont sensibles, particulièrement en temps de crise. Dans ces moments incertains, les investisseurs préfèrent choisir une situation irréprochable et en payer le prix, ce qui garantit la pérennité de leur investissement. Nous constatons que la vente d'appartements de grandes surfaces reste en revanche moins évidente. Les acquéreurs de grands appartements ont généralement des biens à revendre et le marché de l'ancien restant fragilisé, les délais de transactions sont donc plus lents. I. B. : Quels sont vos programmes en cours et vos prochaines réalisations ? >R. H. :Nous venons de lancer une opération au coeur de Vanves. Le Clos Saint-Rémy est un petit immeuble de 26 appartements du studio au 4-pièces. Son architecture respectueuse du passé s'intègre parfaitement dans ce nouvel environnement autour de l'église Saint-Rémy, inscrite à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques. Déjà 45 % des appartements ont trouvé un acquéreur. À Montrouge, nous proposons une résidence particulièrement bien située au pied de la future station de métro mairie de Montrouge. Le Parnassien, que nous réalisons avec Bouygues Immobilier, est un bel immeuble de six étages arborant une élégante architecture d'inspiration classique. Située sur l'avenue de la République, artère commerçante la plus convoitée, cette résidence bénéficie de tous les avantages du coeur de la ville. Nous proposons également des produits d'exception en région. À Marseille par exemple, nous commercialisons une opération de grand standing sur l'un des plus beau terrain de la ville. La résidence Prado Rivage, s'inscrit en bas du Prado, face à la plage, à côté de l'hippodrome. D'ores et déjà 60 % des appartements sont réservés. En Savoie, à Seynod, à côté d'Annecy, nous lançons Les Terrasses Semnoz. Cette opération associe l'élégance d'une belle adresse à l'agrément de vues dégagées sur la montagne. Enfin, plusieurs projets verront le jour en 2010, notamment au coeur de Paris, dans les 7e, 14e et 15e arrondissements. Nous restons concentrés sur la qualité des produits et des adresses proposés I. B. : Que pensez-vous des différents dispositifs mis en place par l'État ? >R. H. : Certaines mesures comme le doublement du prêt à taux zéro ont été très utiles pour les primo-accédants. En ce qui concerne notre clientèle, nous constatons que le dispositif Scellier fonctionne très bien, il s'agit d'une loi simple à comprendre. L'investissement Scellier est un véritable succès, il représente en moyenne 55 % à 60 % des ventes de nos programmes.
Christophe Bonnavent, Directeur général de Cequami
Acheter avec le prêt à taux zero - prêt à taux 0% - PTZ
Tandis que pour la plupart des accédants, l’emprunt est une nécessité, le prêt à 0 % permet d’optimiser l’opération. Comment profiter de cette aide de l’Etat ? Mode d’emploi.
Les prêts longue durée : une soupape
Pas étonnant, dans ces conditions, que les prêts longue durée se taillent un franc succès. "Les acquéreurs raisonnent en mensualités, analyse Jean-Pierre Bourgeois. S'ils paient 700 ou 800 € de loyer et s'ils peuvent avec un emprunt sur 25 ou 30 ans rembourser 800 ou 900 €/mois, ils n'hésitent pas." Les crédits sur 25 ou 30 ans deviennent donc monnaie courante. Et leur part ne fait que progresser à toute allure. Si les prêts sur 20 ans représentent toujours plus de 30 % de la production, ceux d'une durée de 25 ans, dont la part se situait à 16 % en début d'année 2005, atteignent désormais près de 30 % de la production des banques. Et force est de constater que de telles durées ne suffisent plus à rendre solvables certains ménages. D'où une montée en puissance des prêts sur 30 ans. Selon Meilleurtaux, ces prêts sur 30 ans, principalement destinés aux jeunes, atteignaient 6 % du total des crédits contre 3 % au début de la même année. Toujours pour compenser la poursuite de la hausse des prix de l'immobilier et celle des taux, certains établissements financiers n'hésitent pas à aller plus loin en proposant, depuis quelque temps déjà, des formules sur 35 ans. A l'instar de l'UCB ou de GE Money Bank. Dès lors, on peut se poser la question : à quand les prêts sur 40 ans ? "On l'envisagera si nécessaire, lance Jean-Pierre Bourgeois. En Espagne, c'est très courant, ce qui permet à 80 % de la population d'être propriétaires." Ce n'est d'ailleurs sans doute pas un hasard si une banque espagnole comme la Kutxa Bank s'installe en France. Avec la ferme intention de prendre des parts de marché notamment sur le crédit immobilier à très long terme. Certains banquiers demeurent toutefois sceptiques quant au succès de telles formules. D'autant que le seuil des 30 à 35 % d'endettement reste incontournable. "Les consommateurs français n'auront pas forcément envie de s'engouffrer dans la brèche, explique Bruno Rouleau de Inf&Fi, même si la mensualité se trouve diminuée par l'allongement de la durée, ce n'est pas suffisamment important pour que cela marche, je pense plutôt que les banques vont développer des formules plus complexes encore, panachant par exemple taux fixe et taux révisable pour redonner un peu d'air aux emprunteurs." Une solution qui, selon lui, n'est pas forcément dénuée d'intérêt. Certes, les taux révisables sont à la hausse, mais leur écart avec les taux fixes est suffisamment significatif pour permettre, durant les premières années de remboursement, de réaliser une économie sur le coût du crédit. "L'Euribor se situera autour de 3,50 % en fin d'année, analyse Jean-Pierre Bourgeois. Les fixes atteindront selon toute vraisemblance 4 à 4,15 %, une différence non négligeable sur le coût du crédit." Reste à savoir si les taux révisables vont continuer à remonter. Auquel cas, le gain risque d'être limité.
Lancement haut de gamme au Plessis-Robinson
C’est à la limite de Sceaux, dans un environnement très paysager, que Franco-Suisse lance une opération de prestige : la Villa Eliana.
Un projet de 592 logements près de Bordeaux
C’est à Saint-André-de-Cubzac, 10 000 habitants aux portes de Bordeaux, que prend forme le projet de la ZAC de Bois-Milon, aménagée par Ataraxia.
Les Français champions du monde des vacances
Selon la dernière étude internationale menée par Expédia (l’un des leaders du voyage en ligne) avec Harris Interactive® - Novatris, sur les droits et habitudes de vacances comparés des Etats-Unis, du Canada, de l’Australie, de la France, de l’Allemagne et du Royaume-Uni, il apparaît que les Français restent champions du monde des vacances. 39 jours : c'est, en moyenne, le nombre de jours auxquels l'ensemble des travailleurs français ont droit cette année. Il se répartit entre 31 jours de congés payés et 8 jours de RTT pour l'ensemble de la population active. Ces chiffres placent les Français largement en tête du nombre de jours de congés alloués, loin devant les Allemands avec 27 jours et les Britanniques, qui ferment la marche européenne avec 24 jours. Viennent ensuite : les Canadiens avec une moyenne de 19 jours, les Australiens avec 17 jours et les Américains, 14 jours. A noter que 40 % des actifs français prévoient de prendre au moins 3 semaines cet été, tandis que le même pourcentage d’employés américains prévoit… une semaine ! Les Français “débranchent” pendant leurs vacances. L’étude nous indique que seuls 18 % des sondés disent consulter leurs messageries électronique et/ou vocale durant leurs congés. Les femmes savent mieux débrancher que les hommes : 15 % d'entre elles seulement restent connectées contre 22 % des hommes. Côté budget, pour 2006 : près d’1/5e des actifs français prévoient de dépenser plus qu’en 2005 pour leurs vacances. Enfin au top 3 des vacances de rêve des Français : un hôtel 5 étoiles sur une île du Pacifique (48 %), talonné par des vacances bien-être, spa et thalasso pour prendre soin de soi (46 %) et enfin, partir en amoureux sur une plage de sable fin (42 %). Bref, le luxe, le bien-être et le romantisme.
Loïc Vandromme et les maisons Concept 2020
Directeur de la communication de Maisons France Confort répond à Explorimmoneuf sur ces nouvaux modèles.
Qui souhaite souscrire à l'épargne logement dispose de deux possibilités : le plan épargne logement (PEL) ou le compte épargne logement (CEL). Les deux formules fonctionnent selon le même principe : une phase d'épargne et une phase d'emprunt. Mais leurs conditions de rémunération et d'emprunt sont différentes.
Les prix de l’immobilier se stabilisent
3 370 e/m2 hors parking au 30 juin 2004. 3 860 e en juin 2005. 4 080 e un an plus tard. 4 180 e au 30 juin 2007. Tels sont les prix de l'immobilier neuf en Ile-de-France ces dernières années : un tarif qui a considérablement augmenté en grande partie parce que la pression sur la matière première de l'immobilier, le terrain, n'a pas cessé de croître. Mais l'inflation des prix semble s'essouffler et les promoteurs pratiquent une politique de modération pour répondre aux attentes de leur clientèle : "L'an dernier, nos prix ont été stables pour rester en adéquation avec la solvabilité de nos clients, confirme Fabrice Desrez, directeur délégué des Nouveaux Constructeurs (LNC). Les ventes de la profession sont satisfaisantes, mais les promoteurs ne peuvent pas se tromper : ils sont rattrapés par le marché d'autant que les taux d'intérêt ont grimpé d'un point".