Tous les conseils en Immobilier
Le marché immobilier toulousain dynamique
A Toulouse, les fondamentaux du placement immobilier sont toujours là et la hausse des prix est limitée dans les nouveaux quartiers.
L'agglomération rurale.
Emprunter pour acheter plus grand
Pas facile de changer d'appartement quand on est propriétaire. Mais pas si compliqué que ça non plus. Car les banquiers ont mis en place une gamme de prêts bancaires qui permet de faciliter l'opération. Explications.
Indicateur Bertrand. : Quel est l'impact de votre opération sur l'organisation de ce secteur de la ville ?
UNE DYNAMIQUE STABLE . Ville toujours fidèle de notre palmarès, Lyon se maintient, comme l’an dernier, sur la 5e marche du podium, avec de bons indicateurs économiques et immobiliers.
Ile de France : les clés du premier achat immobilier neuf
Coups de pouces financiers, prêts à 0 %, programmes attractifs... Notre dossier dresse l'état des lieux des dispositifs et des nouveautés en matière d'aide à l'accession. Enquête portes ouvertes pour les futurs propriétaires !
Aujourd'hui, le “Robien recentré” coexiste avec le “Borloo neuf”. Concrètement, pour les investissements réalisés dans le neuf depuis le 1er septembre 2006, vous pouvez opter pour l'une des deux formules. Toutes les deux fonctionnent sur un principe d'amortissement accéléré du logement. Amortir, c'est déduire des loyers (revenus fonciers en langage fiscal) une partie du prix du logement, lorsqu'ils sont déclarés aux impôts. Vous créez ainsi des déficits fonciers, qui viennent s'imputer sur votre revenu global. Ce dernier étant diminué, vous payez moins d'impôts. Votre engagement : vous louez votre logement pendant au moins neuf ans à un locataire qui utilise le logement à titre d'habitation principale. Si le Robien recentré est désormais moins avantageux fiscalement, il implique aussi moins de contraintes, notamment en matière de choix du locataire. En effet, le Borloo populaire oriente la location vers des ménages aux revenus modestes qui rencontrent des difficultés à se loger. Dans le détail, sur les neuf premières années, le Borloo fonctionne comme le Robien. Vous pouvez déduire 6 % du prix d'achat pendant sept ans, puis 4 % les deux années suivantes. Par exemple, si vous achetez un logement d'une valeur de 75 000 e, vous pouvez alors déduire de vos revenus fonciers imposables 4 500 e chaque année pendant 7 ans et 3 000 e ensuite. Soit un amortissement de 50 % au total sur neuf ans. Mais avec le Borloo, vous pouvez continuer à amortir au-delà de cette date : 2,5% par an pendant deux fois trois ans, soit 15% en plus. L'amortissement maximal d'un bien peut donc atteindre 65 % du montant de l'acquisition. Vous pourrez déduire de votre revenu imposable jusqu'à 10 700 e/an pendant quinze ans maximum. En contrepartie, les ressources des locataires Borloo ne doivent pas dépasser certains plafonds. Autre condition : vous ne pouvez pas louer à l'un de vos ascendants ou descendants et bénéficier de l'avantage fiscal. Mais il est possible de suspendre l'amortissement au bout de trois ans pour loger un enfant (avec un loyer de marché), le régime Borloo reprenant par la suite aux mêmes conditions fiscales. Le “Robien recentré”, lui, est issu d'un simple remaniement du régime Robien déjà existant. Avec ce dispositif, les conditions sont plus souples. Par exemple, le logement peut être loué à un ascendant ou à un descendant à condition qu'il n'appartienne pas au foyer fiscal du propriétaire. À la différence de la loi Borloo, aucune condition tenant aux ressources du locataire n'est imposée. En zone de revitalisation rurale, la loi Robien permet une déduction spécifique de 26 %. Pour bénéficier des amortissements Robien ou Borloo neuf, vous devez en faire la demande. Une fois prise, l'option est irrévocable. Si vous la remettez en question, le fisc reprendra les avantages fiscaux accordés. L'administration a prévu trois cas dans lesquels aucune sanction ne serait pratiquée si vous ne respectez pas vos engagements : invalidité, perte d'emploi ou décès. Important : en cas de congé du locataire, vous devez remettre le bien en location. Le fisc a toutefois prévu une période de vacance à condition que vous puissiez prouver que vous avez tout fait pour relouer (annonces notamment) et que votre loyer n'est pas dissuasif. Si vous n'avez pas trouvé de locataire dans les douze mois, le fisc remettra les avantages en cause.
L’immobilier neuf, déjà aux couleurs de l’écologie
VIDEOS . Le secteur fait sa mue depuis plusieurs années en proposant des programmes innovants en matière d’économie d’énergie. Zoom sur trois projets verts.
L’AVIS DE JEAN-LUC LAURENT Président de l’Etablissement public foncier d’Ile-de-France*
Indicateur Bertrand : Où en est l'Etablissement foncier d'Ile-de-France ?
L'AVIS DE JEAN-LUC PRONIER* Président de la chambre régionale Normandie de la FPC
Indicateur Bertrand : Comment la région normande a-t-elle évolué pendant ces deux premiers trimestres?
Rentabilité, de quoi s'agit-il ?
Selon que l'on se place du point de vue du promoteur, du spécialiste de la gestion de patrimoine ou de l'investisseur lui-même, la rentabilité est une notion changeante.
Construction : TVA, mode d'emploi
Nous examinons deux devis pour le rehaussement d'un grenier que nous voulons rendre habitable. Dans un cas, la TVA est facturée à 19,6% et dans l'autre à 5,5%. Nous voudrions un avis neutre avant de négocier avec les entreprises. (Annie et Daniel A., Carcassonne, 11)
L'AVIS DE ARI BITTON, Cofondateur d'AB Courtage
Pour faire une bonne affaire, il faut miser sur le révisable Ari Bitton : Les taux vont rester stables et ne devraient pas augmenter, car les banques sont en pleine reconquête de parts de marché, notamment en matière de crédit immobilier. Et même s'ils remontaient, ce serait sans doute dans des proportions très faibles, de l'ordre de 0,5 à 0,10 point. Cela ne change pas grand-chose. Pour emprunter malin aujourd'hui, il faut analyser son projet. Par exemple, si l'acquéreur compte revendre dans les cinq à sept ans qui suivent, il peut porter son choix sur un taux fixe pendant cinq à sept ans, et qui devient révisable ensuite. Ce sont des formules que l'on peut trouver à partir de 3,60/3,70%, alors qu'un taux fixe classique sur vingt ans se situe en moyenne autour de 4,10%. Aujourd'hui, pour être sûr de réaliser une bonne affaire, il faut regarder les taux révisables. Surtout si l'on dispose d'un excellent dossier. Le coût de l'assurance est également important. Les banques ont fait des efforts en la matière et proposent aujourd'hui non seulement des contrats pour les jeunes et les seniors, mais aussi pour la clientèle intermédiaire. Un contrat jeune coûte aujourd'hui de 0,18 à 0,19% du crédit, un contrat senior, autour de 0,35/0,36% et un contrat intermédiaire, autour de 0,25/0,26%. Le taux et l'assurance représentent 97 % du coût du crédit. Raison pour laquelle il ne faut pas se focaliser sur les frais de dossier et de garantie et vouloir les négocier à tout prix, au risque d'indisposer la banque sur les autres conditions du crédit.
3 questions à SYLVIANE EONET-VERPLANKEN - Chef de produits Prêts et Crédits, Bred Banque Populaire
"Des solutions sur mesure"
Bilan et perspectives Midi-Méditerranée : la nouvelle vague
De Montpellier à Nice, en passant par Marseille, les opérateurs et les collectivités s’adaptent afin de diversifier au mieux l’offre de logements.
Maire (UMP) de Saint-Germain-en-Laye.
Nantes, territoire aux mille et un avenirs pour habiter ou investir
La métropole nantaise connaît une métamorphose avec de nombreux projets urbains. Autant d’opportunités pour ceux qui souhaitent s’installer ou effectuer un investissement locatif dans cette ville attractive.