Tous les conseils en Immobilier
Propriétaire d'un vieux corps de ferme,je souhaite le transformer en habitation pour ma retraite. Puis-je bénéficier d'un prêt à 0 % pour financer les travaux ? (Christian L., Angoulême, 16)
Les bons plans des petits prêts
Les taux d'intérêt ont beau être très attractifs, faire la chasse aux petits prêts à faible taux n'est pas inutile pour réduire le coût de votre crédit. Voici quelques pistes.
Les choix d'une maison de constructeur
Si vous avez décidé de prendre un constructeur pour bâtir la demeure de vos rêves, vous devrez choisir le modèle qui vous plaît sur catalogue, à moins que vous ne plébiscitiez le sur-mesure.
L'Avis de Laurent Degliame, Directeur chez Bouygues Immobilier
"Le prêt pass-foncier étendu au collectif est une opportunité"
Des critères pour vous aider à faire votre choix
On le voit, les courtiers sont nombreux et il est parfois difficile de faire son choix. "Faire appel à plusieurs courtiers n'est pas dans l'intérêt de l'emprunteur, prévient Credixia (www.credixia.com), un nouveau courtier en ligne. Le premier courtier qui dépose un dossier auprès de ses partenaires bancaires détient l'exclusivité du dossier et les autres se retrouvent dans l'impossibilité de faire le tour des banques et de représenter le dossier alors qu'ils ont peut-être négocié au préalable de meilleures conditions… La banque ne peut pas rémunérer deux courtiers sur un même dossier." Quoi qu'il en soit, même si votre préoccupation première est le taux de crédit, sachez qu'un certain nombre d'autres paramètres sont à étudier : les souplesses que peut vous apporter le crédit proposé (prêt à taux fixe, révisable, modulable, à paliers…), l'assurance décès qui lui est forcément annexée et dont le coût peut varier d'une banque à l'autre, les frais annexes (hypothèque, caution, remboursement par anticipation sans frais…). De ce point de vue, les courtiers sont en mesure de vous aider à négocier des conditions plus favorables qu'avec votre propre banquier. C'est par exemple le cas en matière d'assurance. Quand vous prenez un crédit immobilier, vous souscrivez généralement l'assurance qui va avec. Or, ce type de contrat "groupe" n'est pas toujours adapté. Car il fait supporter à l'ensemble des emprunteurs des primes d'assurance identiques alors que le risque n'est pas le même. Il en découle que les jeunes paient pour les plus âgés. Une situation que les courtiers ont contribué à faire évoluer en proposant la délégation d'assurance. Vous pouvez ainsi vous assurer par le biais d'un autre contrat que celui de la banque à un coût parfois diminué de moitié. La plupart des courtiers proposent ce service. A titre d'exemple, chez Cafpi, pour un prêt de 150 000 e sur une durée de 25 ans accordé à un jeune couple (24 à 26 ans), le coût total de l'assurance représente 28 500 e avec un taux de 0,38 % et 100 % de couverture sur chaque emprunteur. Pour la même couverture, Cafpi se fait fort de vous obtenir, par le biais de Vitae Assurances un taux de 0,13 %, soit une économie de 18 750 e ! Le jeu en vaut la chandelle !
Le podium du Beaujolais pour l'aménagement urbain
La ville d’Ambérieux d’Azergues, dans le Rhône, est lauréate du Prix de l’aménagement urbain 2012 dans la catégorie « Petites villes et territoires ruraux ».
Comment se comporte la clientèle des investisseurs immobiliers ?
Thierry Iacazio : Outre ces résidences traditionnelles, un autre marché existe avec des résidences gérées, notamment avec le statut de LMNP qui offre un taux d'écoulement correct. Le marché de la résidence gérée passe actuellement mieux entre les gouttes de la crise que la résidence classique traditionnelle. Nous nous appuyons sur une direction commerciale et d'administration des ventes, localisée à Lyon. Une attention toute particulière doit être portée au choix du gestionnaire, qui se doit d'être de qualité.
L’accession a le vent en poupe
Le niveau des prix est-il de nature à laisser les primo-accédants à la marge du marché neuf ? Pas du tout, estiment les professionnels, même s'ils apportent à leurs propos des nuances."Tant que les taux d'intérêt ne remontent pas trop, les primo-accédants figureront toujours parmi nos acheteurs, pense Christine Carniel. D'autant que la baisse des prix du foncier se fera probablement sentir d'ici un an ou deux. Si l'on ajoute que les prix des logements n'augmentent plus comme précédemment et qu'il reste, lors de la livraison, quelques logements à la vente nous permettant de concurrencer le secteur de la revente, tout porte à croire que le marché s'adapte aux accédants".Quant à une baisse très brutale des prix, Christine Carniel la repousse d'un revers de la main : "Observez les courbes de prix sur de longues périodes, jamais les prix ne se sont effondrés. Le logement restera toujours une valeur sûre car se loger est une nécessité". En matière de prix, ce qui évolue, à la satisfaction des professionnels, c'est le retour d'une diversité : "Dans un marché de pénurie, nous avions quasiment les mêmes prix à Toulouse intra- muros,Muret ou Grenade, observe Jean- Baptiste Guieu. Aujourd'hui, le marché se segmente enfin et Muret se situe plutôt entre 2 800 et 2 900 r/m2, Grenade entre 2 400 et 2 500 r/m2 tandis qu'intra-muros, le prix moyen tourne autour 3 300 r/m2. C'est rassurant et les promoteurs peuvent ainsi retrouver une valeur ajoutée que nous n'arrivions pas toujours à faire sentir en pleine période d'effervescence". Le marché évolue, change, s'adapte et le ralentissement des rythmes de ventes n'a rien d'inquiétant : "Les acheteurs sont moins pressés, plus vigilants et c'est tant mieux, se félicite Jean-Christophe Etienne, dirigeant du groupe Imocom, promoteur mais aussi commercialisateur des opérations de Tagerim. Il y a des prix à respecter : le 2-pièces à moins de 140 000-145 000 r, le 3-pièces à moins de 200 000 r se vendent bien. Il n'existe pas de prémices de crise comparable à celle des années 1990".
Côte d’Azur : opération séduction
Malgré des prix élevés, le marché azuréen reste attractif et répond à la forte demande extérieure tout en réagissant aux besoins de ses actifs locaux. Enquête plein soleil.
Si vous vendez votre logement pour des raisons de mobilité professionnelle et si vous en achetez un autre sur votre nouveau lieu de résidence, vous pouvez peut-être obtenir un prêt relais à taux record : 1 % (hors assurances et garantie) la première année (renouvelable une fois). Pour en bénéficier, deux conditions : être salarié d'une entreprise assujettie au 1 % logement (+ de 10 salariés) et vous trouver dans une situation de mobilité professionnelle ou de perte d'emploi consécutive à un plan social. Si c'est votre cas, vous pouvez prétendre à 70 % de la valeur vénale du logement que vous mettez en vente, dans une limite qui dépend de votre localisation. Cette limite est fixée à 105 600 € (zone I) ; à 86 400 € (zone II) et à 67 200 € (zone III). La nouvelle opération peut concerner l'achat d'un logement neuf ou ancien, de même que la construction d'une maison. Seule obligation : il doit s'agir de votre résidence principale.
INVESTISSEMENT RENTABLE OU PATRIMONIAL ?
Rentabilité locative et aspect patrimonial sont deux aspects un peu différents d'un investissement immobilier : "Paris et sa proche banlieue représentent de très beaux emplacements, mais les prix élevés en font des achats davantage patrimoniaux. L'investisseur reléguera alors la recherche de la rentabilité locative au second plan" estime-t-on ainsi chez Nexity. Chez MGM, qui construit des résidences de tourisme haut de gamme, Gabriel Mingeon évalue ainsi la démarche des acheteurs : "nous ne vendons pas la rentabilité locative avant tout. Nous construisons des résidences de qualité et notre clientèle veut avant tout se faire plaisir. Elle n'a pas besoin des revenus de la location. Il s'agit plutôt d'une résidence de vacances qui, à la différence d'une simple résidence secondaire, rapporte un peu et présente l'avantage d'être entretenue toute l'année. Par contre, à l'heure de la revente, la qualité fait la différence sur le marché de la résidence de tourisme".
Une nouvelle émission de recherche d'appartement débute le samedi 29 janvier 2016 sur BFM Business.
Plan bâtiment : des mesures de relance
TVA réduite à 5 % pour les logements sociaux, limitation des recours abusifs contre les permis de construire... le président de la République a annoncé une vingtaine de mesures pour aider le secteur de la construction et du bâtiment.
Accession : le 3A mode d'emploi
Les ménages à revenus modestes du Grand Lyon peuvent bénéficier d’une " accession à prix abordable " grâce au 3A, un dispositif à deux niveaux concernant l’achat d’un appartement neuf.
Surprenant dans sa conception, cet appartement de 4-pièces séduit avant tout par sa large terrasse rectangulaire. Cet espace extérieur de 48,91 m2 prend place sous le toit. Equipée d’une pergola, cette terrasse est à la fois protégée et ouverte sur les montagnes avoisinantes. Elle offre une véritable pièce de vie supplémentaire. Une longue entrée de 12,48 m2 permet d’accéder à la pièce principale : un élégant séjour de 38,59 m2 à la double exposition qui s'ouvre largement sur la terrasse. En retrait, dans un angle, la cuisine ouverte sur la pièce à vivre bénéficie d’un accès direct à la terrasse : une configuration idéale pour les déjeuners en famille à la belle saison. Les 3 chambres de 9,29 m2, 10,76 m2 et 13,48 m2 sont harmonieusement réparties et permettent de préserver l’intimité de chacun. La salle de bains de 6,23 m2, équipée d’un meuble bas, d’une vasque incorporée et d’un radiateur sèche-serviettes est recouverte de faïence toute hauteur. Cet appartement vous offrira un bien-être au quotidien, grâce notamment au chauffage par radiateurs à fluide thermodynamique programmables individuellement. A noter la présence de très belles menuiseries mixtes, l’extérieur est en aluminium et l’intérieur en bois.
Tout emprunteur n'entrant pas dans les critères d'âge et de santé évoqués précédemment n'avait pas toujours la possibilité de bénéficier d'un contrat groupe et devait, pour obtenir son crédit, se tourner vers des contrats individuels dont les primes étaient tout à fait dissuasives. Ce marché des seniors au pouvoir d'achat non négligeable, les compagnies d'assurances comme les établissements de crédit l'ont pris en compte et ont réfléchi à de nouveaux contrats permettant aux emprunteurs sortant du cadre classique d'être tout de même assurés dans des conditions acceptables et donc de pouvoir emprunter pour un achat immobilier. Souvent baptisés seniors, ces contrats ne couvrent que le décès, généralement jusqu'au 80e anniversaire, voire 85e pour certains.
3 QUESTIONS À JACQUES TOUCHEFEU Directeur général de l’Epa ORSA
Indicateur Bertrand : Pouvez-vous nous rappeler la nature de l'OIN ORSA ?