Tous les conseils en Immobilier
Les prix moyens du m2 habitable des logements collectifs neufs réservés (hors parking) dans la Communauté d'Agglomération de Clermont-Ferrand par la fédération des promoteurs immobiliers.
Une inauguration et de grands projets pour Alila
La résidence City Zen, à Saint-Priest, préfi gure la réalisation par le promoteur lyonnais d’un millier de logements en 2014.
Les institutionnels de l'immobilier et du logement
Dans cette catégorie, il y a bien sûr l’État qui fixe les politiques publiques en matière de logement, d’aménagement et de développement des territoires, et son bras armé : le ministère de l’Égalité du Territoire et du Logement.
Qualité, confort et sécurité sont les premiers avantages mis en avant par les acquéreurs qui se prononcent en faveur de l'immobilier neuf. Ils prennent également en compte les grandes évolutions actuelles
TVA à 5,5 % : Les opérations d’accession à la propriété réalisées dans le cadre du Passfoncier peuvent bénéficier du taux réduit de TVA à 5,5 %. Seules les opérations engagées entre le 1er janvier 2008 et le 31 décembre 2009 sont concernées. Le Pass-foncier permet, grâce à l’intervention du 1 % Logement, de financer la construction d’une maison tout en différant (dans la limite de 25 ans) l’achat du terrain dans le cadre d’un bail à construction.
Nantes s'étend aussi le long des axes routiers. L'est accueille ainsi, à Bottière-Chénaie et Saint-Joseph de Porterie, plusieurs opérations qui représentent près de 3 000 logements. Desservi par deux stations de tramway, le premier profite d'une friche maraîchère de 35 hectares et livrera d'ici 2012, 1 500 logements, dont 25 % en locatif social et 30 % en moyenne gamme. Dans le même esprit, Saint-Joseph prévoit la sortie de 1 400 logements, d'une surface moyenne de 90 m2 pour accueillir 3 500 personnes sur plusieurs années. Des rénovations sont enfin engagées aux Dervallières, au Breil- Malville, au Clos-Toreau et au Bout-des- Landes. Et demain ? "Le périphérique nantais est plus grand que le parisien et la zone intra-muros est dix fois moins habitée : il y a donc du terrain à ouvrir à la construction", observait récemment Bertrand Mours, le président de la chambre régionale de la FPC Pays de la Loire dans nos pages.
Montpellier : un marché du logement neuf hyperactif
Une fois n'est pas coutume, ce n'est pas du côté de Port-Marianne que s'est portée toute l'attention en matière d'urbanisme mais du côté du site de l'École d'Application de l'Infanterie (EAI) de Montpellier, qui va connaître une véritable reconversion, entre l'avenue de Toulouse et le nouveau stade de rugby. En effet, le site militaire fermera ses portes à l'été 2010 dans le cadre de la réforme de la carte militaire. D'une superficie totale de 38 ha, le site se compose d'une caserne et d'un parc d'environ 26 ha, à proximité immédiate du coeur de ville. En vue de définir un programme d'aménagement, le choix s'est porté sur le lancement d'un “appel à idées” dont on devrait connaître les premiers résultats en fin d'année. Du côté de Port-Marianne, ce sont les équipements publics qui sont en train de structurer cette nouvelle part de Montpellier. En premier lieu, le futur Hôtel de ville, imaginé par l'architecte Jean Nouvel, constituera un véritable quartier. Bâti sur la rive droite du Lez, le quartier de la Zac de l'Hôtel de Ville s'étend sur quelque 9 ha. Il sera pourvu de quelque 200 logements, plus de 10 000 m2 d'activités, hôtel, bureaux et commerces, d'un bâtiment de 25 000 m2 pour l'Hôtel de ville, d'une place publique de 6 000 m2, d'un parc paysager de plus de 4 ha, et d'un parking public souterrain de 700 places ! Grande originalité : une centrale photovoltaïque de production d'électricité sera installée sur le toit de la nouvelle Mairie qui sera ouverte au public en 2011.
L'AVIS DE JEAN-PAUL BALCOU Président du San de Val d'Europe,maire de Magny-le-Hongre
Indicateur Bertrand : Quel est le bilan de l'évolution de Val d'Europe ?
Bretagne : le règne de l’authenticité
La région Bretagne conserve ses frontières d’origine et devient l’une des plus petites régions françaises. Ce qui ne l’empêche pas d’avoir de très bons indicateurs et d’offrir de belles opportunités immobilières à ceux qui souhaitent investir.
IdF : Des valeurs limites en Ile-de-France
Restons encore un brin sur les indicateurs. En Ile-de-France, sur les marchés du neuf, le prix moyen au mètre carré tutoyait les sommets français à la fin du 1er semestre : 4 128 e, dont 7 855 e à Paris, 4 220 e en petite couronne et 3 491 e en grande couronne (chiffres Dreif /Enquête de commercialisation des logements neufs). Fin septembre, 40 000 chantiers avaient été lancés (sur 430 000 à l'échelon national), ce qui est peu pour une région comptant pas moins de 11,5 millions d'habitants. Une grande partie des ménages ne peut pas s'offrir le bien espéré. "Les Franciliens ont la capacité d'achat la plus faible de France, de l'ordre de 40 m2 et en régression de 3 % sur un an, alors qu'elle est de 100 m2 en Auvergne", remarque le Crédit Foncier. En moyenne, un célibataire ne peut guère s'offrir à Paris qu'un studio de 20 m2 et une famille avec 2 enfants, un 3-pièces de 67 m2 à 30 km de la capitale.
La maison reste l'habitat idéal d'une grande majorité de Français. Et ce sont de jeunes ménages avec enfants, aux revenus moyens, voire modestes, qui se lancent dans l'aventure. Où en est ce marché aujourd'hui ?
Grand Paris Express, le réseau de demain
Le Grand Paris s’appuie sur le Grand Paris Express, un super-métro qui reliera les grands pôles économiques de la région. D’ici à quinze ans, deux millions d’usagers emprunteront ce nouveau réseau chaque jour.
Les prix de l'immobilier neuf dans la Communauté d'Agglomération de Rouen au 2e trimestre 2012
Les prix moyens du m2 habitable des logements collectifs neufs réservés (hors parking) dans la Communauté d'Agglomération de Rouen par la fédération des promoteurs immobiliers.
Bordeaux : faute de densité, le marché s'éloigne
La Communauté Urbaine de Bordeaux rencontre un réel succès, mais la densité des opérations d'habitat n'est pas suffisante. Face à une demande accrue de logements, les opérateurs s'éloignent des zones urbaines traditionnelles. Les principaux promoteurs de la place nous apportent leurs analyses.
Une réforme attendue depuis longtemps
L’ordonnance du 23 mars 2006 modifie, en effet, le régime des sûretés. D’une part, en allongeant la durée maximale de l’inscription. Le texte prévoit que pour un prêt immobilier dont la durée est déterminée, cette durée ne peut excéder celle du prêt, prolongée d’un an (au lieu de deux ans précédemment) sans jamais pouvoir dépasser 50 ans au lieu de 35 ans auparavant. Jusqu’à maintenant, l’inscription prenait fin deux ans après le terme du prêt. Autrement dit, même si vous aviez remboursé la totalité de votre prêt à son échéance et que vous vouliez vendre à ce moment là, vous ne pouviez le faire qu’en faisant procéder à une mainlevée. La nouvelle mesure vaut aussi bien pour le privilège que pour l’hypothèque. A l’ordre du jour également, l’assouplissement des formalités de mainlevée. Toutefois, cette dernière mesure ne concerne que l’hypothèque conventionnelle pour laquelle l’autorisation de l’emprunteur est toujours requise (ce qui n’est pas le cas du privilège dont l’inscription ne nécessite pas votre accord). Jusqu’à la réforme, la mainlevée d’hypothèque passait obligatoirement par la rédaction d’un acte devant notaire qui permettait ensuite au conservateur des hypothèques de procéder à la radiation de l’inscription. Désormais, le conservateur pourra agir sur simple présentation d’un certificat attestant que la banque a donné son accord à cette radiation. Ce certificat continuera de nécessiter l’intervention d’un notaire mais n’aura plus la lourdeur d’un acte de mainlevée. D’autant que le conservateur se cantonnera à valider la forme de l’acte et non plus le fond comme précédemment. Cette mesure vise à assouplir la formalité et à la rendre moins onéreuse. D’ailleurs, les honoraires du notaire viennent d’être revus à la baisse. Le tout récent décret (n° 2006-558 du 16 mai dernier, modifiant le décret n° 78-262 du 8 mars 1978) vient de publier les nouveaux barèmes (voir encadré). Un barème abaissé de quasiment 50 %.
Malgré de nombreux lancements d'opérations fin 2005 dans la cité phocéenne, la tendance se confirme : la moitié des mises en vente est située hors de Marseille. "Sur 5 000 mises en vente, 50 % l'est sur le reste du département, constate Philippe Roux. A l'extérieur de Marseille, notamment à Salon, Martigues, autour de l'étang de Berre, des opérations sont lancées grâce à de nouveaux fonciers disponibles". Certains promoteurs ont été "précurseurs" dans cet élargissement du marché, comme le rappelle Christelle Soul, directrice adjointe des ventes de Nexity Groupe George V Provence : "En limite des Bouches-du-Rhône et du Var, nous finissons de commercialiser Le Hameau de la Sainte-Beaume,opération sise sur le village du plan d'Aups, sur la face nord de la Sainte-Baume.Dans ce hameau, nos acheteurs sont en partie des primoaccédants qui viennent d'Aubagne et de Marseille". A seulement 30 minutes de Marseille, le secteur d'Aubagne est l'objet d'un développement de projets : Nexity y est présent, tout comme Meunier Méditerranée qui réalise à La Penne-sur-Huveaune. "A Aubagne ou Salon-de-Provence, nous ne construisons pas les mêmes résidences qu'à Marseille, souligne Arnaud Cadoux, directeur régional des ventes chez Promogim. Nous répondons en effet à une clientèle qui souhaite profiter des espaces disponibles, avec la construction de petits collectifs et de maisons individuelles". Comment évoluent les prix dans ces communes qui deviennent de vrais centres d'intérêt ? Dans l'existant, Aubagne a enregistré une progression de 20 % de ses prix en 2005, à 2 300 €/m2 habitable en moyenne. A Salon, les prix ont crû de 20 % et même de 23 % à Martigues, soit une hausse comparable, en pourcentage, à ce qui a été constaté à Marseille. "Le marché d'Aubagne a suivi la hausse générale, constate Fabrice Halimi, directeur du Groupe A et Associés. Ceci dit, dans le neuf, la commune maîtrise ses prix de fonciers et permet de juguler la hausse constatée par ailleurs.En 2007,nous y lancerons un programme de quinze maisons de ville". Les principaux opérateurs s'intéressent désormais au reste du département, à l'instar de Bouygues Immobilier qui lancera une nouvelle opération à Salon au printemps 2006. Comme le souligne Jean-Louis Boularan, directeur régional d'Eiffage Méditerranée, "des communes comme Salon ou Aubagne présentent l'intérêt de répondre à une demande de logements d'actifs marseillais. Par contre, les prix de ce marché extérieur à Marseille ne sont pas assez hiérarchisés et compte-tenu des frais de transports, j'estime que certains sont même trop élevés".
Les prix de l'immobilier neuf dans l'Agglomération de Marseille au 2e trimestre 2012
Les prix moyens du m2 habitable des logements collectifs neufs réservés (hors parking) dans l'Agglomération de Marseille par la fédération des promoteurs immobiliers.