• Le Figaro.fr
  • Actu
  • Le Scan Politique
  • International
  • Économie
  • Bourse
  • Décideurs
  • Le Scan Éco
  • Sport 24
  • Le Scan Sport
  • Culture
  • Lifestyle
  • Madame
  • Figaro Store
  • FigaroTV
  • TVMag
  • Santé
  • Étudiant
  • Figarochic.cn
  • Histoire
  • Nautisme
  • Golf
  • Figaroscope
  • Voyage
  • Enchères
  • Vin
  • Jardin
  • Météo consult
  • Annuaire santé avec PagesJaunes
  • Le particulier
  • Cadremploi
  • La chaîne météo
  • Keljob
  • Kelformation
  • Ticketac
  • Cplussur

Tous les conseils en Immobilier

Franck Hammoutène

Franck Hammoutène

Auteur primé de l’extension de l’hôtel de ville de Marseille, l’architecte Franck Hammoutène ne craint pas de s’attaquer à l’exercice difficile de l’habitat. Une personnalité éclectique.

Développement durable - Quelle approche ?

Développement durable - Quelle approche ?

“Sefri-Cime a toujours eu, depuis sa création, une approche très qualitative sur tous ses projets. Nous considérons donc les nouvelles exigences environnementales avec beaucoup de sensibilité, mais nous sommes très attentifs à y apporter une réponse globale, consolidée et arbitrée entre toutes les attentes du marché. Cette question recouvre tout à la fois : des aspects techniques au regard, notamment, de la réglementation thermique dont la définition ne nous semble pas toujours maîtrisée en ce qui concerne la filière du bâtiment, des concepteurs aux constructeurs, des considérations esthétiques et sociétales qui nous conduisent à attacher une grande importance au cadre de vie familial, à l’architecture ainsi qu’à la qualité de l’environnement paysager de nos différentes réalisations. Notre approche consiste ainsi à concevoir des logements qui puissent répondre à toutes les attentes d’un marché si légitimement exigeant.”

Salon - Maison 100 % écolo

Salon - Maison 100 % écolo

Pour connaître toutes les dernières tendances de l’habitat écolo, cap sur le salon Bâtir écologique, à Paris. Ce rendezvous s’est rapidement imposé, pour la sélection pointue de ses exposants et ses conférences top niveau. Dès lors, pas étonnant que les organisateurs veillent à conserver le faible impact environnemental du salon par le choix d’une logistique sobre (éclairage basse consommation, restauration biologique, limitation des articles jetables...). De quoi donner des idées aux visiteurs ! Salon Bâtir écologique, du 28 au 30 novembre. Grande halle de la Villette, 211, avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris Tél. : 01 45 55 71 50 www.batirecologique.com

Miser sur le médical et les résidences d’affaires

Miser sur le médical et les résidences d’affaires

Quant à identifier les secteurs les plus opportuns en ce moment et pour les années à venir, les spécialistes penchent plutôt pour le médical, ainsi que les résidences d’affaires. “Les résidences pour personnes âgées constituent une opportunité de marché énorme. Il manque à ce jour à peu près 175 résidences médicalisées par an pendant trente ans pour combler les besoins. En passant par un bon opérateur, le propriétaire s’assure une bonne rentabilité”, s’enthousiasme Évelyne Desserey, gérante de Xenyt, société de conseil en gestion de patrimoine. “Les résidences d’affaires placées en coeur de ville, les résidences médicalisées accompagnant le vieillissement de la population et certaines résidences de tourisme restent des valeurs porteuses, renchérit Michèle Lambert. Pour les résidences étudiantes, je suis un peu moins convaincue : de nombreux étudiants préfèrent la colocation.” Même si la résidence avec services se prête plutôt à l’investissement de long terme, afin de bénéficier des avantages fiscaux et de se constituer un complément de revenus, on peut se trouver dans l’obligation de revendre son bien. “En cas de revente, il faut trouver un nouvel acquéreur qui a les mêmes objectifs de rentabilité et conservera les mêmes avantages, notamment pour la TVA et la fiscalité, et, dans la mesure du possible, ne pas retransmettre le bien dans l’immobilier traditionnel”, conseille Sébastien le Goascoz. La situation peut toutefois se présenter : si un gestionnaire est défaillant et que l’immeuble n’intéresse pas une nouvelle société, il faut se poser la question de savoir si l’appartement pourra être reloué dans le circuit traditionnel. “Même si les résidences avec services sont des placements plutôt sécurisés, cela reste de l’immobilier, donc les mêmes règles de base s’appliquent, rappelle Sébastien le Goascoz. Ainsi, l’appartement en résidence d’affaires, en plein coeur de Paris,pourra facilement se relouer, tandis que pour le lot situé à 50 kilomètres d’un centre-ville, dans une zone d’activités, cela semble plus compliqué.”Dans les résidences avec services, ce sont la qualité et l’emplacement qui continuent à faire la différence.

Cergy-Pontoise, la populaire

Cergy-Pontoise, la populaire

L’agglomération de Cergy-Pontoise pourrait être comparée à une salade aux champignons avec beaucoup de verdure. Les champignons, ce sont 12 villes poussées très vite pour absorber l’essor démographique francilien, construisant 3 000 logements par an durant les dix premières années de la vie de l’agglomération. Côté verdure, des pelouses courent sur le quart du territoire, les forêts et le Vexin sont à proximité, une base nautique de 250 hectares longe l’Oise. Populaire, Cergy- Pontoise accueille 42 % de logements sociaux, mais aussi 20 000 étudiants et 90 000 actifs. La SNCF, le RER A sillonnant Cergy et le RER C arrivant à Pontoise, desservent le territoire. La Défense est à une demi-heure, mais la fréquence des rames est à améliorer. Cette “ville nouvelle”, née d’une utopie en 1969, a été rendue à la vie civile en 2003. Depuis lors, la communauté d’agglomération gère son destin. L’ancien : baisse des prix. Entre février et mai, selon les notaires, les prix des appartements anciens ont baissé (de - 0,2 % à - 1,4 %) dans tous les départements franciliens, à l’exception de Paris. Certains secteurs de Cergy- Pontoise ont reculé plus franchement sur un an, de mars à mars : - 3,3 % à Cergy, - 11,6 % à Pontoise. “L’acquéreur a repris la main en proposant son offre au vendeur”, justifie Alain Desseroy, responsable de l’agence Guy Hoquet de Pontoise. Les tarifs ressortent entre 2 300 et 2 600 euros/m2, bien inférieurs à la moyenne régionale de 4 600 euros. Et la hiérarchie entre les catégories de biens est forte : “Même à Cergy Saint- Christophe,ne vous fiez pas aux apparences, explique l’agent immobilier. Des studios tout simples côtoient de très beaux duplex donnant sur les étangs de Cergy.” À Pontoise, le centre-ville, assez petit, est très prisé, surtout par les jeunes cadres moyens. Un pavillon de moins de 100 m2 change de mains entre 280 000 et 320 000 euros et une belle meulière pour 330 000 euros, mais elle dépasse rarement 80m2 avec des salons de peu d’ampleur, sans rapport avec le goût actuel. D’autres quartiers sont recherchés, comme le bourg ancien Cergy-Village, les bords de l’Oise et les Hauts-de-Cergy. En revanche, un 100 m2 de Marcouville, à Pontoise, ne coûte guère plus de 150 000 euros en raison de sa proximité avec des HLM.

Des chambres modulables

Des chambres modulables

Ne faire que dormir dans une chambre d’ado ? C’est complètement dépassé ! Aujourd’hui, les jeunes aménagent cet espace comme un mini studio, au coeur même de la maison, qu’ils équipent dernier cri : télé, chaîne hi-fi, console de jeux, ordinateur... Si on y dort toujours, la chambre est aussi devenue un espace de travail, de détente, de récréation et de convivialité, où les enfants peuvent recevoir leur amis. Sans oublier les “grands enfants”, qui sont de plus en plus nombreux à quitter de plus en plus tard le nid familial. Ce vrai phénomène de société, popularisé par le film Tanguy, s’explique non seulement par l’allongement des études, mais aussi par les difficultés pour trouver un emploi et un logement à un prix acceptable. Le neuf a intégré cette nouvelle donne. Ainsi, on voit de plus en plus des chambres donnant directement sur l’entrée. Cela offre à ces jeunes adultes une certaines autonomie, en les tenant un peu à l’écart du reste du logement, comme s’ils avaient leur propre studio. La salle de bains, elle aussi, fortement évolué. Hier exclusivement vouée à l’hygiène, elle est aujourd’hui devenue une pièce qu’on n’hésite plus à montrer, véritable temple du bien-être. Cet espace, jusqu’ici délaissé, a débridé la créativité des designers. Oublié, le (désuet) lavabo sur colonne ; place aux nouveaux plans vasques, audacieux et design. Avec une multitude de formes et des matériaux novateurs, la baignoire s’expose également. On installe un fauteuil, voire un petit canapé ou une chaise longue, on privilégie les lumières tamisées… chromathérapie, cabines d’hydromassage, jacuzzi, et même vélo d’appartement font de la salle de bains un véritable “salon de bains”, où l’on est invité à se délasser et, pourquoi pas, à faire un peu de sport. Avec pour seul objectif, la recherche du plaisir. Pourtant, cette pièce reste majoritairement de petite taille, environ 4 m2. Les designers doivent donc sans arrêt rechercher des solutions pour optimiser l’aménagement de cet espace. Plus de lumière, plus de confort, plus de détente et d’énergie : joli programme !

Les aides des collectivités

Les aides des collectivités

Pour accompagner les acquéreurs dans leur démarche d’accession, les villes et les départements ont donc mis en place des aides ou des subventions à destination de leurs administrés. Des aides qui peuvent prendre la forme d’un prêt à 0 % local (à Paris, Arras, Annecy, Nantes Métropole, Orléans, Toulouse, Caen, Amiens, La Rochelle, dans les Hauts-de-Seine…), d’un prêt à faible taux (à Châteauroux, par exemple), d’une subvention (à Vannes, Dunkerque, Marseille…) ou d’un soutien à la construction de programmes (à Montpellier, Angers…). Quant au montant de l’aide, celui-ci est très variable selon les secteurs. L’aide peut doubler le prêt à 0 % de l’État ou bien se contenter d’un montant beaucoup plus modeste. Attention : il faut savoir que les communes et les départements soumettent leurs aides et subventions à des conditions plus draconiennes encore que celles nécessaires à l’obtention du prêt à 0 % classique ou du prêt à 0 % majoré. Les collectivités privilégient, en effet, les primo-accédants à revenus souvent très modestes. Quoi qu’il en soit, à vous de vous renseigner sur le dispositif de prêt éventuellement mis en place par votre ville ou votre département. En consultant le site Internet de l’Anil (www.anil.org) ou en vous renseignant auprès de l’Adil de votre département (l’Anil fournit les coordonnées des antennes Adil), vous pouvez également compléter votre information sur toutes les aides disponibles et qui permettent d’accéder à un prêt à 0 % majoré.

Les enjeux de l'immobilier neuf à grenoble, saint-etienne et valence

Les enjeux de l'immobilier neuf à grenoble, saint-etienne et valence

Quartiers durables, berges requalifiées, centres-ville rénovés... d’importants aménagements s’annoncent dans la périphérie lyonnaise. La capitale des Gaules fait des émules.

La Normandie, entre mer et campagne

La Normandie, entre mer et campagne

Sans échapper au ralentissement général, les programmes normands répondent à la demande haut de gamme et participent aux restructurations des grandes villes de la région. Enquête.

Les bons plans du prêt à 0 %

Les bons plans du prêt à 0 %

À l’heure où les banques resserrent les boulons du crédit immobilier et où les taux grimpent à vive allure, vous avez plus que jamais intérêt à profiter des aides de l’État. Le prêt à 0% en fait partie.

Saint-Étienne ou la douceur de vivre

Saint-Étienne ou la douceur de vivre

Le projet de maison de l’emploi de Rudy Ricciotti redémarre après six mois d’interruption. La cité des affaires de Manuelle Gautrand verra le jour. Celle du design se termine, et le Zénith ouvre bientôt. “Le choix de grandes signatures architecturales avait été fait. Il n’est pas question d’arrêter les projets financés, mais les autres seront recadrés, explique Florent Pigeon, le nouvel adjoint à l’urbanisme et au logement. Nous lancerons aussi des aménagements lourds, aux objectifs différents”, poursuitil en insistant sur le futur et nécessaire développement des liaisons douces, transports en commun comme pistes cyclables. À 500 mètres de la gare, la Zac des Joyaux, dont l’aménagement débute, sera “durable”. Sur la friche de la manufacture d’armes de la Plaine Achille, un campus sera construit au milieu d’équipements culturels et sportifs, et d’entreprises high-tech. Pour le logement, la mairie recherche un meilleur équilibre entre les petites et les grandes superficies : “La ville-centre perd des habitants au profit de la périphérie et de ses maisons individuelles, reprend l’élu. Nous voulons stabiliser le navire en réorientant la production vers les grands appartements de standing, même s’ils sont plus difficiles à vendre actuellement.Près de la gare, nous avons besoin de grands logements pour les ménages de cadres de deux actifs, dont l’un travaille à Lyon.” Environ 1 000 logements ont été produits l’an dernier, dont 200 sociaux. Les volumes ont baissé cette année, mais l’immobilier demeure l’un des plus compétitifs des grandes agglomérations de Rhône-Alpes. Dans le neuf, on trouve des studios à 40 000 €(Spirit Grand Sud), prix rare dans l’Hexagone. Les opérateurs présents sont Piera, Nexity, Les Espaces Immobiliers, Acropole Immobilier… L’ancien se négocie environ 1 400 € le m2. Les loyers demeurent assez bas, compte tenu de la forte proportion de locatif médiocre, ainsi que de logements sociaux.

Construisons demain

Construisons demain

Imaginée par les magazines Ecologik et Architectures à vivre, la maison Construisons demain, présentée sur différents salons en 2008, intègre des solutions architecturales, environnementales et techniques de demain. Mais ce n’est pas un projet de science-fiction ; chacun peut l’adapter à ses besoins. Pour le chauffage, Construisons demain utilise une chaudière à condensation avec planchers radiants, couplée à des capteurs solaires pour l’eau chaude sanitaire. Mais sa solution la plus innovante est le “tableau de bord énergétique”, qui permet à l’usager de prendre conscience de sa consommation d’énergie par poste (veille, éclairage, chauffage...). Quel meilleur moyen pour faire des économies d’énergie que d’avoir toujours un oeil sur ses consommations et ses (éventuels) excès ? Chargé d’études à Observ’Er, l’observatoire des énergies renouvelables, Frédéric Tuillé évoque les trois principales options pour ceux qui veulent chauffer leur logement en ayant recours aux énergies renouvelables. “D’abord, il y a les systèmes solaires combinés (chauffage + eau chaude sanitaire). Ensuite, le bois énergie. À choisir selon ses besoins : un simple poêle peut suffire, en système d’appoint, à moins de faire appel à une chaudière fonctionnant avec des granulés. Il y a, enfin, les pompes à chaleur. Depuis 2005, le crédit d’impôts mis en place sur ces installations a boosté les ventes. Les énergies renouvelables ont connu une forte croissance, du fait de ces mesures. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : le nombre de panneaux solaires thermiques est multiplié par deux chaque année en moyenne. On est passé de moins de 50 000 m2 installés en 2001 à plus de 320 000 m2 en 2007. Les crédits d’impôts ont été un véritable accélérateur. C’est pareil pour la filière bois. Et ça continue à progresser. Ces applications ont prouvé leur efficacité, ce qui est rassurant pour le grand public, qui n’hésite plus à opter pour les énergies renouvelables. Il y a dix ans à peine, seuls les militants faisaient cette démarche. Depuis, il y a eu la montée des préoccupations environnementales, mais pas seulement. Les aides financières combinées aux tensions sur le prix des énergies fossiles ont conduit un plus grand nombre de personnes à choisir les énergies renouvelables.”

Le tiers des projets dans l’habitat

Le tiers des projets dans l’habitat

Une vingtaine de collaborateurs consacrent 30 % de leurs activités à l’habitat, en ce moment sur des projets à Lyon, en face de l’Ile Seguin, bientôt à Bordeaux et au sein d’Euroméditerranée. “C’est une gymnastique précise, dans laquelle chaque mètre carré doit être utile et agréable, insiste l’architecte. Désormais, les collectivités locales désignent de plus en plus souvent le binôme architecte-promoteur sur concours. Les impératifs du promoteur passent ainsi à l’aune de l’intérêt public et ceux de l’architecte, à l’aune du réalisme de l’investisseur privé. C’est un bien.” En mai, Franck Hammoutène a été élu président de l’Académie d’architecture, qui contribue à conserver et diffuser les oeuvres architecturales. “Sans être militant, je suis animé de convictions, avoue-t-il. L’architecte inscrit dans la pierre des projets qui dureront vingt ans, voire davantage. Rien qu’entre la conception et la livraison, dix ans s’écoulent. C’est un métier à la fois concret et d’anticipation”. Et là, le hasard n’imprime pas sa marque.

Promotion immobilière : une offre bien répartie

Promotion immobilière : une offre bien répartie

Qu’il s’agisse du projet du Nouveau Saint- Roch, de celui de la Restanque, de la poursuite de Port-Marianne, du lancement du projet Campus regroupant l’ensemble des universités ou de l’extension des lignes de tramway, le dynamisme de Montpellier est impulsé par un volontarisme de la ville depuis maintenant trois décennies. C’est dans ce contexte que les promoteurs implantent leurs opérations. Dans Montpellier centre, Dominium commercialise Grand Air, une opération sise 10, rue Chaptal, dans un véritable îlot de verdure au coeur d’un quartier desservi par tous les commerces. La résidence de 63 logements privilégie l’espace et les volumes, ainsi que les économies d’énergie, et elle devrait être livrée au cours du premier trimestre 2010. Dans le centre, Urbat lance Le Voltaire, à seulement 5 minutes de la gare et de la place de la Comédie. Dans le secteur ouest, sur la Zac Ovalie, Kaufman & Broad commercialise le Sequoia, rue de Bugarel. À proximité du centre-ville, cette résidence est constituée de 83 appartements et maisons de ville (du 2 au 5-pièces duplex), ouverts sur un parc arboré. Toujours dans ce quartier de la Zac Ovalie, signe d’ouverture de Montpellier vers l’ouest, Roxim commercialise la Résidence, articulée autour d’un jardin central. Résolument contemporain, le programme bénéficie d’une production d’eau chaude sanitaire par gaz et panneaux solaires. À noter qu’en première ligne du Lez, à l’est de Montpellier, Roxim signe Résidence Murano, du 2 au 4-pièces avec maisons sur le toit… face à la future mairie.

L’AVIS DE MAÎTRE FRANÇOIS GRANIER, Délégué de l’Observatoire du marché immobilier des notaires

L’AVIS DE MAÎTRE FRANÇOIS GRANIER, Délégué de l’Observatoire du marché immobilier des notaires

Indicateur Bertrand : Quelle est la situation du marché immobilier local de la transaction ?