Abonnez-vous au Figaro

Tous les conseils en Immobilier

Manuel Valls : le logement est une priorité du gouvernement

Manuel Valls : le logement est une priorité du gouvernement

C’est à l’occasion du 68e congrès de la Fnaim que le Premier ministre a présenté les principales orientations de la politique du logement.

Normandie : une embellie en bord de mer

Normandie : une embellie en bord de mer

Si les Parisiens affectionnaient l’idée d’avoir une résidence secondaire en Normandie, depuis quelques années, ils sont devenus très frileux. Pourtant, on y trouve de bonnes a" aires…

L’Ouest Lyonnais : une offre immobilière neuve à plein

L’Ouest Lyonnais : une offre immobilière neuve à plein

Pratiquement toute la place immobilière lyonnaise a un programme en cours sur les Côteaux de l’Ouest, un marché recherché durant ces dernières années. Les Espaces Immobiliers, Cogedim, Constructa, Les Nouveaux Constructeurs et Nexity ont, par exemple, leurs bureaux de vente sur les lieux. En raison du caractère résidentiel du territoire, le prix moyen s’élève, dans les cimes lyonnaises, à 3 738 euros/m2. Les communes les plus généreuses sont Craponne, Francheville et surtout Tassin la Demi-Lune ; à elles trois, elles totalisent une cinquantaine de projets, principalement sous forme de secondes tranches ou de fins de programmes. Le haut de gamme est représenté par l’Écrin, 21 appartements de SLC Pitance situés dans le meilleur quartier d’Ecully, chemin du Randin. Le projet donne sur un parc et démarre par le 2-pièces de 50 m2 à 235 000 euros. Cette catégorie de bien au-dessus de la mêlée s’écoule très lentement, mais finit toujours par rencontrer son petit cercle d’acquéreurs exigeants. Dans l’ensemble, l’Ouest maintient son volant de clientèle, mais ne le dépasse guère. Selon le Cecim, l’observatoire immobilier, le même pourcentage de réservations se poursuit depuis 2005, de l’ordre de 2 % sur le Nord-Ouest et de 9 % sur le Sud-Ouest. Les mises en vente, en progression l’an dernier, représentaient 15 % de l’agglomération.

Paysager avant de construire

Paysager avant de construire

Plus jeune d'un an que Marne-la-Vallée, Sénart accueille 110 000 habitants sur un territoire grand comme Paris et le Bois de Boulogne (en comparaison Paris compte deux millions de Parisiens). Marylin Huteau, directrice marketing et communication de l'Epa Sénart, évoque avec conviction la qualité paysagère des lieux : "Avant de construire des logements et des équipements,l'Epa a créé de véritables paysages sur ce plateau briard plat à l'origine", se plait-elle à rappeler. "Depuis le début, nous avons planté 200 000 arbres, soit l'équivalent de 200 ha qui sont venus compléter les trois forêts naturelles sénartaises.Rien que l'an dernier,10 000 arbres ont été plantés ! Avant de construire le centre urbain du Carré, nous avions mis en place 3 000 tilleuls et deux énormes canaux qui peuvent rivaliser avec Versailles puisque l'un mesure 700 m et l'autre un kilomètre. Nous avons aussi édifié 70 plans d'eau, ce qui justifie le nombre impressionnant d'associations de pêcheurs de Sénart. Sans oublier les 180 km de liaison douce tracés sur le secteur…". Pour ce qui est de l'activité économique, Sénart n'a pas la locomotive Disney derrière elle pour attirer des entreprises aussi rapidement que Marne-la-Vallée. Le taux d'emplois par actif n'est que de 0,64 (alors qu'il atteint 2 sur Marne-la-Vallée), mais l'objectif est de le hisser à 0,8. Du côté des équipements, Sénart ne fait pas dans la dentelle : le centre commercial de Lieusaint, Le Carré, attire 14 millions de visiteurs, le cinéma 1,2 million de spectateurs et le bowling, le plus grand d'Ile-de-France, a ouvert 36 pistes. Un retail park s'est implanté en novembre et un village des marques viendra le rejoindre en 2009/2010. A la rentrée 2008, ce sera au tour de la cité du meuble et de la maison baptisée "Maisonément" d'accueillir pour la première fois le public dans le prolongement du centre commercial de Bois- Sénart. D'autres équipements sont programmés : halle de sports, mur d'escalade et résidences hôtelières de bon niveau dont manque l'Est francilien. Reste dans les cartons, le projet du plus grand aquarium d'Ile-de-France sur Le Carré.

Bien optimiser les espaces de vie

Bien optimiser les espaces de vie

En vingt ans, nos modes de vie ont radicalement changé. Les acteurs de la construction l'ont bien compris, et proposent des logements de mieux en mieux adaptés à nos nouveaux besoins.

Des opportunités dans des résidences neuves côté mer et côté campagne

Des opportunités dans des résidences neuves côté mer et côté campagne

Côté mer, on trouve Icade Capri. Le promoteur affiche Sur Le Quai. En face du bassin de Morny, à quelques pas des commerces de la rue Désiré-Le-Hoc et de la gare, la résidence va décliner tous les volumes, du studio au 5-pièces (156 m2 de 783 000 à 814 000 e). Des balcons, on observera la vie sur Trouville, le Deauville Yatching Club et son port de plaisance. La place de Morny ne sera pas loin non plus de la future réalisation d'Eiffage. Son Carré Hoche est en chantier dans une impasse de la rue Eugène-Colas. "Ses appartements seront spacieux et fonctionnels", assure le promoteur. Il n'en reste que très peu sur le marché, en 2 et 3-pièces. Si les courses, ventes de yearlings et matchs de polo vous semblent au moins aussi attractifs que le sable de la Manche, l'autre secteur à examiner se situe à Mont Casiny. Dans le quartier des hippodromes, Sefri-Cime devrait livrer à la fin de l'année prochaine Les Hameaux du Coteau, une quarantaine d'appartements du 2 au 4-pièces et 12 maisons de 3 à 5-pièces, pour attirer la clientèle la plus large possible. L'architecte a joué la carte de l'authenticité en puisant dans les références locales. En petites surfaces, on commence autour de 200 000 e et de 461 800 e en individuel. Les Terrasses du Mont-Casiny (Vinci Immobilier) proposent enfin des 4-pièces duplex. Les prestations sont celles de l'immobilier haut de gamme. On démarre à 216 000 e pour un appartement d'1-pièce de 43 m2. De l'autre côté du pont, avec une adresse légèrement moins cotée dans les imaginaires, mais une atmosphère quasi identique, Vinci s'affiche aussi à Trouville-sur-Mer. Face au parc du Manoir, sur le versant sud-ouest de la Touques et proche du centre-ville, "la demeure s'intègre dans un parc arboré en relation harmonieuse avec le manoir qu'elle jouxte", explique le commercialisateur.

Des maisons adaptées à tous

Des maisons adaptées à tous

Les 6 modèles, du 5-pièces de 93 m2 au 6-pièces de 131 m2, sont équipés d’un garage intégré. Le souci du détail se décline également à l’intérieur, les escaliers, qui permettent de rejoindre l’étage, sont en bois exotique. Certains modèles bénéficient également de combles aménageables, permettant de créer une pièce de vie supplémentaire et de faire évoluer la maison en fonction des besoins de la famille. Des lieux de vie adaptés à tous : c’est l’une des innovations proposées par le constructeur. Quel que soit le modèle ou la gamme, toutes les habitations sont adaptées aux personnes à mobilité réduite. Les plans ont été minutieusement pensés avec de larges couloirs, des escaliers aux pentes douces et des chambres particulièrement spacieuses pour permettre à chacun de circuler librement.

A la pointe du progrès

A la pointe du progrès

En complément de plans correspondants parfaitement à vos choix, votre maison neuve vous offrira les dernières nouveautés en matière d'économies d'énergie, matériaux performants et normes.

Bordeaux et périphérie : l'offre s'élargit

Bordeaux et périphérie : l'offre s'élargit

Le marché de Bordeaux dépasse largement le cadre de la ville et de sa communauté urbaine. Si les prix progressent sensiblement, l'élargissement de l'offre et des produits destinés aux primo-accédants devrait satisfaire les acheteurs.

Les prix des logements collectifs neufs

Les prix des logements collectifs neufs

I.B. : Quels sont les prix appliqués en général sur le marché des logements collectifs neufs ?

Les côtes du Morbihan, 830 km pour l'immobilier neuf

Les côtes du Morbihan, 830 km pour l'immobilier neuf

Séduisant pour les retraités avec sa réelle douceur de vivre, entre mer et campagne, et ses équipements publics et hospitaliers de grande qualité, le Morbihan est également attractif pour les vacanciers avec plus de 830 km de côtes et au moins 9 000 anneaux pour accueillir des bateaux de plaisance dans ses ports. Après La Baule et Saint-Malo, son golfe est le site le plus recherché de la région. Sa ville-centre, Vannes, ancienne résidence des Ducs de Bretagne, est devenue l’épicentre d’une aire urbaine toujours en augmentation. Avec des paysages, une histoire et des publics différents selon les sites, le département parvient à développer encore son offre en produits neufs et de qualité.

Rennes et Saint-Malo : l'offre de logements neufs

Rennes et Saint-Malo : l'offre de logements neufs

Avec de solides atouts, Rennes, la capitale et Saint-Malo la balnéaire, sont relativement protégées du coup de frein immobilier. Si l'offre nouvelle est limitée, des prix plus raisonnables font leur apparition. Début juillet, les habitants des 37 communes de l'agglomération rennaise étaient invités à débattre une dernière fois des prochaines priorités de l'axe est-ouest. C'est un des grands projets de Rennes Métropole. Il permet aux bus de circuler rapidement entre la place de Bretagne et Cesson-Sévigné depuis 2000. Il a déjà converti 37 000 voyageurs. Aujourd'hui, une deuxième tranche est en préparation. Les bus de toutes les lignes majeures pourront bientôt aller aussi vite qu'un tramway. L'agglomération a accueilli près de 50 000 personnes en plus entre les deux derniers recensements. Les trois quarts se sont installés dans les communes périphériques, dans le sud en particulier. En plus des bus en site propre, la collectivité a intensifié le trafic TER (+11 % entre 2004 et 2005 dans le périurbain rennais), le réseau Star (+70 %) et les lignes régulières du réseau Illenoo (+60 %). La question des transports est un des dossiers à suivre de près pour un bon investissement immobilier. 45 000 nouveaux habitants sont encore attendus sur le territoire d'ici 2012. Avec la crise, ils ont les moyens de se montrer plus exigeants : la proximité des transports, des accès et des infrastructures sera la meilleure façon de les attirer et de valoriser son bien. La Bretagne , touchée par le coup de frein Le programme local de l'habitat prévoit 4 500 logements par an. Il les organise dans un objectif d'économie d'espaces, avec des immeubles un peu plus hauts, des lotissements un peu plus denses…Près des transports et des services de proximité. Pour privilégier de nouvelles formes urbaines, il exige 50 % minimum de logements collectifs ou semi collectifs, 20 % maximum de lots libres de plus de 350 m2et 30 % de petits lots (moins de 350 m2). Pour l'heure, l'offre n'est pas très importante. La Bretagne fait partie des régions assez touchées par le coup de frein sur l'immobilier enregistré depuis le quatrième trimestre 2008. Ici, les ventes ont chuté de plus de 30 %. Les promoteurs ont préféré jouer la prudence : plus de 60 % de mises en vente en moins sur un an au premier trimestre 2009. Les programmes à l'affiche sont en fin de commer cialisation. Pour les acheteurs, c'est l'opportunité de découvrir, sur site, son futur logement. À 200 mètres de la gare TGV et du métro, Icade Immobilier a démarré les travaux de la Résidence le Patio. “Dans un îlot calme, à quelques pas des commerces et des services, cette résidence de grand standing se décline du studio au 5-pièces, explique le service marketing. La grande majorité des appartements possèdent une loggia ou une terrasse ensoleillées, ouvertes sur un patio”. Dans le nouveau quartier de l'Arsenal, Nexity Appolonia propose des appartements vraiment innovants avec une pièce en plus qui se fait loggia, terrasse ou patio, des “appartements-maisons” et des villas familiales. Ils se déclinent des studios au 4-pièces- duplex. On trouve par exemple un 3-pièces de 58 m2 à 172 649 €ou un 5-pièces de 101 m2 à 268 200 €. Les acquéreurs peuvent éventuellement profiter de la TVA à 5,5 % sous certaines conditions s'ils achètent leur résidence principale dans ce programme. Il se trouve dans l'éco-quartier de la Courrouze, un projet phare de la métropole. Sur 120 hectares de friches militaires sur les communes de Rennes et de Saint-Jacques-de-la-Lande, 4 000 à 5 000 logements y émergeront d'ici 15 à 20 ans. Cela va représenter 4 à 5 % du nombre de logements de Rennes. D'autres projets émergent néanmoins ailleurs sur la ville. Près de la clinique Saint-Laurent, le groupe Arc a livré les Jardins de Lavaux sur l'avenue du Général-Patton. Quatre appartements de 85 à 88 m2 sont à vendre à partir de 239 000 €. Entourés de 1 200 m2 de jardins, ils sont disponibles immédiatement. Sur le boulevard de Sévigné, le même promoteur commercialise Coeur Sévigné, 78 logements de 20 à 41 m2. Tout juste lancé, le programme relève de “la haute couture urbaine entre l'hypercentre et le parc du Thabor, avec des espaces adaptés à la vie étudiante du studio au T1 bis et une localisation permettant d'accéder à tous les attraits du centre-ville de Rennes à pied”. Les studios de 20 à 34 m2 démarrent à 89 000€. Les 2-pièces de 39 à 41 m2 sont affichés à partir de 205 000 €. 2 700 logements pour la Zac des Rives du Blosne L'offre est légèrement supérieure en périphérie. Depuis quelques années, on la trouve essentiellement Cesson-Sévigné, Saint-Jacques-de-la-Lande, Saint-Grégoire et Chantepie. La petite commune résidentielle accueille un des grands projets du moment, la Zac des Rives du Blosne. Le groupe Arc réalise là une résidence “qualité environnementale” proche du centre en transports en commun. Baptisée Hélios 1, elle dispose encore de quelques petites surfaces. On y trouve aussi des logements familiaux dont quelques 5-pièces, de 89 à 108 m2 à partir de 291 000€. La Zac s'étend sur 76 hectares, dont 24 de parcs naturels. En tout, 2 700 logements y verront le jour, 2 200 appartements, 260 logements intermédiaires et 240 maisons dont 100 individuelles groupées. Le reste étant composé de terrains constructibles. 5 000 m2 de services seront par ailleurs installés, ainsi que 25 600 m2pour des activités économiques le long de la RD 463. Les Rives du Blosne accueille en ce moment un deuxième chantier, signé Bouwfonds Marignan. On peut y investir sur quelques surfaces de 2 à 5-pièces. À titre d'exemple, les 4-pièces de 87 à 99 m2 sont vendus de 205 000 à 253 000€. Châteaugiron en pointe En revenant sur Saint-Jacques-de-la-Lande, on trouve le groupe Arc. Il commercialise dans le quartier de la Morinais une petite résidence de trois étages, composée essentiellement de 2 et 3-pièces pour des investisseurs en loi Scellier. Juste à l'entrée de Pacé, sur Vezin-le-Coquet, une petite résidence de 19 appartements du 1-pièce bis au 4-pièces est réalisée par Bouygues Immobiler sur le 6 boulevard du domaine de la Josserie. Tous comprennent d'un beau balcon et d'un garage en sous-sol. Fin 2010 sur Betton, 57 appartements seront livrés dans les Hauts du Trégor par Bouwfonds-Marignan. Le Lauréat de la pyramide d'Or 2009 et du prix EDF Bleu Ciel développement durable promet ici de beaux volumes judicieusement orientés pour garantir le maximum de luminosité. Des 2-pièces y sont encore à vendre, de 42 à 53 m2. Châteaugiron est une commune de près de 6 000 habitants à 16 km au sudestde Rennes. Autour de son château médiéval et d'un centre bourg qui a conservé quelques maisons à colombages, les infrastructures ont été mises au goût du jour, avec des infrastructures “scolaires” de la garderie au collège, une école de musique, des équipements sportifs, une piscine, un cinéma et une médiathèque. Elle développe actuellement une Zac à la Perdriotais. Bouygues Immobilier achève ici Beau Matin, une résidence à taille humaine. Composée de cinq petits bâtiments à taille humaine, elle s'intègre à l'environnement pavillonnaire. Les derniers 3-pièces entre 63 et 67 m2 se vendent entre 155 000 et 177 200 €. Nexity George V affiche en même temps la Magdeleine, 28 appartements du studio au 3-pièces, avec des balcons et terrasses à partir de 119 500 €. À Noyal-Châtillon-sur-Seiche, Promo-Ouest Immobilier livrera mi-2010 la résidence du domaine du Petit-Malais rue Aimé-Césaire. À la Rheu, dans le proche ouest rennais, Bouygues Immobilier termine une résidence de 14 logements à 2 700 €/m2 en moyenne en plein bourg : la Noe. Le dernier 4-pièces, de 90 m2 au premier étage de ce petit immeuble est affichée 245 000€. À Domagné, Nexity George V propose de nombreux 2 et 3-pièces bien exposée à partir de 89 000 € sur la Pommeraie. À Laillé, il dispose de 1, 2 et 3-pièces sur L'Arbre d'Or. Acquis en loi Scellier, ils peuvent ouvrir à “une réduction d'impôts correspondant à 25 % du montant hors taxe de l'achat de votre appartement répartie sur neuf ans, soit jusqu'à 75 000 € de réduction”, rappelle le promoteur.

Top Duo : Devenez « le chef d’orchestre » de votre propre maison

Top Duo : Devenez « le chef d’orchestre » de votre propre maison

La marque, qui appartient au AST Groupe, propose une formule inédite : une maison dont vous managez vous-même la construction à partir du gros œuvre. Une garantie d’économie.

La campagne aux portes de la ville

La campagne aux portes de la ville

La périphérie ouest de Lyon cultive l'image de la campagne a votre porte. Le PLU adopté sur le territoire du Grand Lyon prévoit notamment de développer la ville en respectant de son environnement naturel, notamment par la préservation des perspectives visuelles sur les Monts d'Or et les Monts du Lyonnais. La commune de La Tour-de-Salvagny en est un exemple frappant. Golf, hippodrome, casino, vieux bourg typique, que d'arguments pour convaincre des ménages aisés de venir s'y installer. Pour autant, la municipalité ne manque pas d'ambition et lance un projet de refonte de son centre-ville et l'aménagement du site dit du Contal. Sur une superficie de 8 hectares, elle va proposer une nouvelle zone d'habitat mixte, intégrant des bâtiments de haute qualité environnementale, destinée à des jeunes ménages qui veulent se maintenir ou venir s'installer à La Tour-de-Salvagny. Plus de 20 000 m2 vont être proposés dans ce quartier, dont 30 % de logements sociaux. D'autres communes telles que Craponne ou Dardilly ne veulent pas céder aux sirènes de l'urbanisation et entendent rester des lieux de transition entre ville et campagne.