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Tous les conseils en Immobilier

Chauffage et environnement

Chauffage et environnement

Un chauffage performant, c’est la clé d’un logement moins gourmand en énergie. Les spécialistes du secteur planchent déjà sur le sujet. Sélection des initiatives les plus prometteuses.

Prêt Parcours Résidentiel - Un nouveau prêt à 0% pour Paris

Prêt Parcours Résidentiel - Un nouveau prêt à 0% pour Paris

Courant septembre, la Mairie de Paris a annoncé la mise en place, pour le début de l’année prochaine – vraisemblablement au mois de février – d’un nouveau prêt à 0 %, baptisé Prêt Parcours Résidentiel. Contrairement au Prêt Paris logement (également à taux zéro) que la Mairie propose déjà depuis 2004, le Prêt Parcours Résidentiel s’adresse aux locataires HLM qui souhaitent devenir propriétaire d’un logement dans le privé. Une démarche qui est donc différente de celle prônée par le Conseil général des Hauts-de-Seine puisqu’il ne s’agit pas de céder le parc de logements sociaux de Paris, mais d’encourager les locataires HLM à accéder à la propriété dans le secteur privé et de permettre ainsi à Bertrand Delanoë d’atteindre, dès 2014, la proportion de 20 % de logements sociaux dont la ville a tant besoin. “La vente simultanée d’une partie des logements sociaux actuels aurait pour conséquence de réduire le parc social à Paris, ce qui serait contradictoire avec cet engagement et constituerait une aberration au regard des besoins de logements à loyers accessibles qui ne peuvent être satisfaits actuellement”, explique-t-on à la mairie. Pour pouvoir bénéficier de ce prêt, il faudra que l’acquéreur soit locataire dans le parc HLM et qu’il s’engage à libérer son logement pour en acheter un dans le secteur libre. Ses ressources ne devront pas dépasser certains plafonds (entre 3 003 et 7 890 euros par mois, selon la composition de la famille). Quant au montant du prêt, il variera de 27 500 euros pour un célibataire à 80 000 euros pour une famille de cinq personnes et plus.

Montpellier : le marché immobilier neuf opte pour la stabilité

Montpellier : le marché immobilier neuf opte pour la stabilité

Tant dans le secteur neuf que dans celui de la revente, l’agglomération montpelliéraine confirme sa place régionale et son attrait auprès des acquéreurs.

Réactions aux initiatives pour le logement en région PACA

Réactions aux initiatives pour le logement en région PACA

Indicateur Bertrand :Comment réagissezvous aux différentes initiatives dites de “mobilisation pour le logement”, lancées par Nicolas Sarkozy ?

TROIS QUESTIONS À PHILIPPE DE LONGEVIALLE Adjoint à l’urbanisme à Grenoble

TROIS QUESTIONS À PHILIPPE DE LONGEVIALLE Adjoint à l’urbanisme à Grenoble

“Nous allons créer 4 000 logements près du Polygone scientifique”

Grenoble : la vogue des écoquartiers

Grenoble : la vogue des écoquartiers

La capitale des Alpes a posé sa candidature aux jeux Olympiques de 2018. En attendant d’édifier des podiums, elle construit des écoquartiers tendance comme celui de Bonne, dont les bureaux à énergie positive ont été couronnés à la biennale du développement durable de la ville. Sur ce morceau de ville de 8 hectares, près de la ligne de tramway, sortiront du sol 850 logements à 50 kW/m2/an, un centre commercial de 15 000 m2, des résidences à thème (pour seniors ou étudiants), trois cinémas, un hôtel et une école. Les premiers habitants entrent dans les lieux, mais, fin septembre, les promoteurs avaient encore quelques disponibilités pour amateurs tardifs : lofts de plus de 100 m2 dans un bâtiment restauré de la caserne du site (Villes et Villages, 3 100 €le m2, livraison immédiate), appartements signés Jean-Paul Viguier (pour Nexity, 4-pièces duplex témoin en appoint). Sont également présents, Safilaf avec des lots au prix maîtrisé de 3 700 €le m2, Icade et Novalim. Ailleurs aussi, la programmation a de l’ampleur : 350 logements dans le quartier tendance et culturel Bouchayer- Viallet (dont le Patio de Bouygues Immobilier), 200 sur l’ancienne ganterie Perrin (Central Park de Meunier Rhône-Alpes, appartements à 92 kW/m2/an, façades à bardage bois pratiquement inédites à Grenoble), commercialisations de résidences Bernard Teillaud, Cogedim, Nexity, etc. La moitié de la production de l’agglomération se localise sur la ville-centre, au rythme de 700 à 800 logements par an. Intra-muros, les valeurs neuves affichent une moyenne dans les 3 700 € le m2 comparable à celle de Lyon, une fourchette basse de 2 500 €en accession sociale et une haute de 4 500 €. L’ancien cotait 2 480 € le m2, fin mai, selon la base de données Notaires de France. L’investisseur doit savoir qu’en 2007, la hausse des loyers a été quasi inexistante. Les 60 000 étudiants, plus nombreux qu’à Lyon, sont très demandeurs de petits logements. Toutefois, comme le souligne une étude du Crédit Foncier de France, “ils se tournent de plus en plus vers la colocation”. Un 90 m2, récent et bien situé, avec tennis et piscine, se loue très cher, 1 250 à 1 400 € par mois.

Seine-Maritime : du neuf côté ville et côté campagne

Seine-Maritime : du neuf côté ville et côté campagne

Rouen concentre une part importante de la production en Seine-Maritime. En bord de Seine, près de la place Saint-Marc, on peut opter pour un studio avec un budget de 116 500 euros au Cap Seine, affiché par Palm Promotion boulevard Gambetta. Le programme comprend de beaux volumes, avec des 4-pièces jusqu’à 144 m2. Les grandes surfaces sont aussi à l’ordre du jour du 50 Avenue de Caen. Ce dernier, construit par les Nouveaux Propriétaires au pied du métro et près du centre commercial Saint-Sever, dispose de plusieurs 4-pièces à partir de 108 m2 et des 5-pièces à partir de 104 m2 (269 000 euros). Proche de Rouen et accueillant le plus gros du pôle universitaire de la communauté urbaine, Mont-Saint-Aignan se renouvelle aussi : pour les familles entre autres, Nexity George V vient d’y lancer les Florilèges, un programme d’exception dans un parc arboré entre ville et forêt, bénéficiant de prestations hautement qualitatives.

L’AVIS DE PATRICK LEMERCIER Directeur des expertises du Crédit Foncier

L’AVIS DE PATRICK LEMERCIER Directeur des expertises du Crédit Foncier

Patrick Lemercier : La Normandie avait été épargnée par la crise immobilière de 1991 ; elle avait certes subi un sérieux ralentissement du nombre de transactions, mais avait réussi à contenir la baisse des prix. La flambée avait été limitée aux jolies villes en extrémité de région parisienne, comme Vernon, et à certaines communes cotées, situées en bord de mer. Nous sommes aujourd’hui face à un phénomène d’une tout autre ampleur. La hausse a été générale, diffuse et forte, en particulier dans les secteurs les plus abordables. Le ralentissement concerne maintenant l’ensemble du marché, y compris la construction pavillonnaire depuis trois ou quatre mois, avec une fragilisation particulière pour les produits défiscalisés. Face à ce retournement et à la chute du nombre de transactions, certains parlent de blocage. Dans le neuf, on s’oriente sans doute vers un tassement des prix, ou du moins, vers une plus grande diversité de l’offre. On ne peut pas comparer une maison standard en périphérie, dont la revalorisation sera problématique, et un appartement en bord de mer au Havre, qui est structurellement cher mais possède une valeur sûre à long terme. L’immobilier dépend fortement de l’évolution de l’environnement économique et financier. On dispose aujourd’hui d’éléments positifs : les stocks sont faibles, et le marché locatif reste relativement équilibré. On peut aussi noter que des initiatives existent en Normandie pour répondre aux problèmes de la désolvabilisation de la demande : on trouvera bientôt quelques maisons à 120 000 ou 130 000 euros au Havre. Le mécanisme de la TVA à 5,5 %, en périmètre de Honfleur, permet aussi d’afficher des programmes entre 1 800 et 1 900 €/m2 à Rouen. Des solutions existent pour produire de l’immobilier à moindre coût, sous réserve de foncier maîtrisé.

Entrepreneur responsable, mais pas coupable

Entrepreneur responsable, mais pas coupable

Une fois installés dans notre maison à peine construite, nous avons constaté de nombreux dégâts, qui ont donné lieu à une expertise concluant à de mauvaises soudures. Notre entrepreneur s’exonère de toute responsabilité, mettant en cause celle d’un sous-traitant, qui refuse tout contact avec nous.Que faire ? (Anne et Pierre L., Clermont-Ferrand, 63)

Le prêt à 0% majoré

Le prêt à 0% majoré

La loi ENL du 13 juillet 2006 a instauré un prêt à 0 % majoré, qui s’adresse aux acquéreurs modestes achetant leur logement dans le neuf. Ce qui signifie qu’outre les conditions énumérées ci-dessus, vous ne devez pas dépasser certains plafonds de ressources, plus draconiens qu’avec un prêt à 0 % classique. Toujours pour une couple avec deux enfants habitant la région parisienne, ce plafond ne peut dépasser 55 093 en 2008 (contre 56 875 euros pour le prêt à 0 % classique). Une autre condition doit être respectée : vous devez bénéficier d’une subvention ou d’un prêt aidé de votre ville ou de votre département (voir ci-dessous). Ces conditions réunies, vous pouvez obtenir une majoration de 10 000 à 15 000 euros, selon votre région et la composition de votre famille. Le remboursement s’effectue de la même manière qu’avec un prêt à 0 % classique, à ceci près que vous disposez de plus de temps pour rembourser. Si vos revenus se situent par exemple entre 23 689 et 31 588 euros, vos remboursements s’étaleront sur 12 ans (contre 8 ans pour un prêt à 0 % classique). À ce niveau de ressources, vous ne serez cependant pas éligible au différé d’amortissement. Pour y prétendre, il faudrait que vos revenus ne dépassent pas 23 688 euros, auquel cas le différé pourrait se situer entre 15 et 18 ans.

Un architecte à tout faire

Un architecte à tout faire

Nous souhaitons faire construire une maison dont les plans seront conçus par un architecte. Pouvons-nous lui confier également la construction et la surveillance du chantier ? (Anne et Laurent D.,Brive-la-Gaillarde, 19)

Dommages-ouvrage : garantie 10 ans

Dommages-ouvrage : garantie 10 ans

Sur quelle période s’étend la garantie applicable à l’assurance dommages-ouvrage ? (Eric F.,Douarnenez, 29)

TROIS QUESTIONS À SÉBASTIEN LE GOASCOZ - Responsable produits au Comptoir Immobilier

TROIS QUESTIONS À SÉBASTIEN LE GOASCOZ - Responsable produits au Comptoir Immobilier

“Au moment d’investir, il faut vérifier la solidité financière du gestionnaire”

Les conditions d’octroi

Les conditions d’octroi

Créé en 1995, le prêt à 0 % vous est ouvert avant tout si vous êtes primo-accédant. Autrement dit, si vous n’avez pas été propriétaire de votre logement depuis au moins deux ans (au moment de l’offre de prêt). Cette condition tombe si vous êtes invalide (carte d’invalidité de 2e ou 3e catégorie), si vous bénéficiez d’une allocation adulte handicapé ou d’éducation spéciale, ou encore si vous avez été victime d’une catastrophe vous obligeant à changer de logement. Le prêt à 0 % finance exclusivement la résidence principale. Autre condition : vous devez respecter des plafonds de ressources (on additionne les revenus de tous les membres de la famille). Par exemple, si vous êtes un couple avec deux enfants, vos revenus ne doivent pas dépasser 56 875 euros en région parisienne, sur la Côte d’Azur et l’agglomération genevoise. Dans les autres régions, ils sont ramenés à 40 488 euros. Attention : si votre demande intervient entre janvier et mai, ce sont les revenus de l’avant-dernière année d’imposition que vous devez prendre en compte. Car au-delà, il s’agit des revenus de l’année passée. Concrètement, si vous effectuez votre demande en octobre ou novembre 2008, vous devrez tenir compte de vos revenus de l’année dernière. Quels types de logement pouvez-vous financer ? C’est simple, l’acquisition d’un logement neuf, mais aussi l’achat d’un logement ancien avec ou sans travaux, la transformation en logement d’un local à l’origine non habitable et même la location- accession (sauf si vous obtenez, par ailleurs, un prêt PSLA). Quant au montant du prêt, il dépend de l’opération projetée et de son lieu d’implantation, ainsi que de la composition du foyer. Dans le neuf, ce montant varie de 11 000 à 32 500 euros et dans l’ancien, de 8 250 à 29 250 euros. À titre d’exemple, si vous être un couple avec deux enfants habitant en région parisienne, le prêt sera de 27 500 euros dans le neuf et de 24 750 euros dans l’ancien. Enfin, concernant les conditions de remboursement, sachez que plus vos revenus sont modestes, moins vous remboursez vite. S’ils sont inférieurs à 15 801 euros, vous ne remboursez rien pendant 18 ans, puis vous avez quatre ans pour payer le prêt à 0 %. Entre 15 801 et 19 750 euros, vous bénéficiez également d’un différé de 18 ans, mais il ne porte que sur 75 % du montant du prêt, le reste doit être remboursé dès l’acquisition. Et si vos revenus se situent entre 19 751 et 23 688 euros, le différé n’est plus que de 15 ans et il ne concerne plus que 50 % du prêt à 0 %.

Massy, la pratique

Massy, la pratique

Comme beaucoup de ses consoeurs de grande couronne, Massy a d’abord été un village. Dans les années 60, s’est additionné le grand ensemble Massy-Antony, construit pour les rapatriés d’Algérie. La gare a suivi à partir de 1990, transformée petit à petit en noeud multimodal RER/TGV, le point fort de la ville. L’envolée immobilière des dernières années a favorisé la construction du quartier neuf Vilmorin, près de la gare. De l’autre côté des voies, s’amorce maintenant Atlantis, dans le même moule. Avec 22 000 emplois, dont 85 % tertiaires (Alstom, Areva, Bull…), Massy est l’un des pôles économiques du Nord-Essonne. Les deux opérations d’intérêt national qui l’encadrent, sur le plateau de Saclay et à Orly et Rungis, conforteraient ce positionnement. Le parc de logements sociaux demeure important (38 %).

La soif d’espace

La soif d’espace

Inlassablement, la demande revient, à chaque enquête sur le logement : le besoin de plus d’espace est toujours d’actualité. En vingt ans, la surface moyenne par habitant est pourtant passée de 31 à 37 m2. Mais c’est encore insuffisant, puisqu’une demande d’espace supplémentaire continue à se faire entendre. C’est l’une des raisons du succès de la maison individuelle, le type de bien qui offre le plus d’espace. Mais avec un pouvoir d’achat en berne et un prix au mètre carré qui continue de tutoyer les sommets, l’objectif est bien d’optimiser chacune des pièces du logement, pour perdre le moins de surface possible. Dans ce domaine, le neuf a quelques longueurs d’avance sur l’ancien. On garantit aujourd’hui, dans 50 m2, un niveau de confort équivalent, voire supérieur à ce que pouvait offrir une surface plus grande il y a quelques années. “L’amélioration a d’abord été structurelle, affirme Gwenaelle Zunino, architecte urbaniste à l’Institut d’aménagement et d’urbanisme d’Ile-de-France. Les nouvelles techniques de construction ont augmenté la portée entre les travées.” Autrement dit, la distance entre les pièces maîtresses de la construction (piliers, colonnes, etc.) est aujourd’hui plus importante que par le passé. Concrètement, cela signifie moins de murs porteurs. “Ainsi, on perd moins de place, ce qui agrandit automatiquement la surface utilisable des pièces. Explication : avant, les planchers étaient en bois, aujourd’hui, ils sont en béton. Une plus grande solidité, qui permet plus de liberté dans l’organisation du logement”, détaille Gwenaelle Zunino. Aujourd’hui, il est toujours possible de demander des adaptations au constructeur, pour obtenir du sur-mesure. Le garage, par exemple, peut être transformé en atelier de bricolage ou en salle de jeux. Le premier pas pour un logement au plus près de ses envies. L’un des principaux atouts du neuf, c’est sa meilleure adaptation de l’espace aux besoins individuels de ses occupants. Autre point fort, le décloisonnement, qui supprime les couloirs, ouvre l’espace, facilite le mouvement, et l’utilisation de plus en plus fréquente de portes coulissantes, plutôt que battantes. Les premières sont légèrement plus chères à installer... mais prennent moins de place. Encore plus efficace, l’abandon, fréquent dans les petites surfaces (studio, 2, voire 3-pièces, de l’entrée et des couloirs. Enfin, pour “remédier” à notre tendance à accumuler de plus en plus de choses, les astuces gain de place se multiplient. Le rangement ? Une clé de l’aménagement intérieur, un véritable luxe à ne pas négliger sous peine de se laisser déborder. Les solutions sont de plus en plus souvent intégrées dans les logements neufs. Prévues en amont, avant de poser la première pierre, elles coûtent forcément moins cher qu’en réhabilitation. À titre d’exemple, les meubles-cloisons, qui font office de séparation entre les pièces, se multiplient. Une manière de marquer la frontière entre deux espaces de vie, sans devoir recourir à un mur.