Tous les conseils en Immobilier
Plus accessibles, les biens neufs du 94 se sont vendus à 4 453€/m2 de moyenne, mais les ventes n'ont guère dépassé 200 lots et les mises en vente ont été tout aussi modestes. “Après deux années de
Investissement locatif - Quelle évolution ?
“L e mécanisme d’incitation fiscale à l’investissement locatif, le Robien/ Borloo, a prouvé son efficacité : 300 000 logements ont été construits depuis 2003. C’est le seul patrimoine que les Français peuvent se constituer à crédit, et un mécanisme qui rapporte plus d’argent à l’État qu’il ne lui en coûte, car la TVA collectée est supérieure à l’économie d’impôt financée. Il y aura néanmoins une baisse sensible entre 2007 et 2008, puisqu’on va passer de 63000 logements mis en chantier à 40 000 environ. Il faut donc faire évoluer ce mécanisme. Tous les opérateurs responsables sont d’accord pour le geler temporairement, sur les quelques zones saturées. Il faut également rétablir l’équité du dispositif : les contribuables les plus imposés en profitent plus que ceux dont le taux marginal d’imposition est de 14 %. Un mécanisme de crédit d’impôt où l’avantage fiscal serait le même quelle que soit la situation de l’investisseur, à l’image de ce qui a été fait pour l’accession à la propriété, permettrait de relancer le dispositif.”
Paris, le nouveau " quartier Latin ".
Autour de la bibliothèque François-Mitterrand, dans le XIIIe arrondissement, se développe la ZAC Paris Rive Gauche. Ce « Quartier latin » nouvelle tendance accueille, entre autres, l’université Paris VII-Diderot et l’Ecole supérieure d’architecture- Paris-Val de Seine.
Les maisons de ville du groupe IGC, constructeur de maisons individuelles et leader dans le Sud-Ouest, répondent aux nouveaux comportements urbains. Décryptage.
Comme l'attestent les statistiques produites par Stratis Conseil, une bonne part des grandes surfaces sont vendues dans l'agglomération. A Tassin la demi-lune, Financière Rive Gauche propose encore deux 5-pièces de 129 et 134 m2 en duplex, à 428 110 et 447 324 €. Au Nord, Nexity George V réalise des 5-pièces de 111 m2 en duplex à 479 000 €. Le même promoteur lance un nouveau programme, cette fois-ci à l'ouest, à Saint-Didierau- Mont-D'or, une commune très convoitée, avec deux 6-pièces- duplex de 118 et 134 m2, vendus à 430 000 et 470 000 €.
L’AVIS DE JEAN-FRANÇOIS GABILLA - Président de la Fédération des promoteurs-constructeurs de France
“Il m’est difficile de faire un tour de France des villes porteuses en terme d’investissement locatif pour la simple et bonne raison que toutes les agglomérations recèlent, à un moment ou un autre, de bonnes opportunités. Il n’y a pas de mauvais endroits définitifs. Tout dépend de la politique et de l’attractivité de chaque collectivité locale.
Antoine Desbarrières, Directeur de Qualitel et président de Cerqual
Indicateur Bertrand : Quelle est votre activité en matière de certification pour les logements ? Antoine Desbarrières : Nous avons enregistré une forte croissance des demandes, puisque nous passons à plus de 100 000 logements engagés dans une démarche de certification, toutes marques confondues, contre moins de 40 000 en 2002. Nous avons constaté que les demandes de certification augmentaient plus vite que la construction, pour plusieurs raisons. D'abord l'incitation des pouvoirs publics à tous les niveaux, en particulier au niveau local, où ils peuvent d'autant mieux mettre en avant leurs exigences qualitatives qu'ils sont propriétaires des terrains. Certaines collectivités, avec lesquelles nous signons des conventions, peuvent inciter financièrement à la construction de bâtiments basse consommation. Rennes Métropole par exemple, ne finance que les logements sociaux qui obtiennent la certification. De plus les professionnels veulent montrer que leurs réalisations vont dans le sens d'une préoccupation générale pour le développement durable. La certification a été élaborée par le législateur dans ce but, avec des critères de qualité consensuels. I. B. :…Et les professionnels de la promotion immobilière répondent présents… A.D. : Tout à fait, c'est ce qu'exprime l'engagement de majors de la profession, comme Vinci Immobilier, Meunier Habitat ou, plus récemment, Bouygues Immobilier qui engage l'ensemble de sa production sous la marque Habitat & Environnement. I.B. :L'abondance de marques ne nuit-elle pas à la visibilité de la certification pour le consommateur ? A. D. : C'est une vraie question et les associations de consommateurs qui siègent dans nos instances relaient la nécessité de simplifier le message. Mais pour que le particulier puisse avoir l'opportunité d'acheter ou de louer un logement certifié, il faut qu'il y ait une offre suffisamment importante. En amont, il faut donc que le maître d'ouvrage ait eu envie de s'engager dans une certification. En développant des marques adaptées, avec des référentiels spécifiques, nous avons convaincu plus de professionnels de s'engager. Pour le grand public, cela engendre une difficulté à s'y retrouver. C'est une préoccupation majeure pour nous et dès lors que nous pourrons le faire, nous simplifierons les choses. Aujourd'hui, il est encore trop tôt, car nous avons des demandes spécifiques de la part des promoteurs, des maîtres d'ouvrages. Par contre, pour répondre aux attentes du public, nous allons lancer une grande campagne de communication, dans le cadre d'une politique générale de sensibilisation et d'action pédagogique sur la qualité du logement. Cette campagne va couvrir toutes les marques de qualité. Elle s'appuiera sur les grands médias audiovisuels et sur Internet. Vous la découvrirez cet automne, au moment des salons immobiliers. I. B. : L'offre des industriels et la mise en oeuvre de nouveaux matériaux plus performants suit-elle l'exigence de qualité ? A. D. : Pour élaborer nos référentiels, nous travaillons en collaboration étroite avec les experts issus du monde de l'industrie et les centres techniques comme le CSTB. Les industriels siègent également dans nos instances. On peut dire que l'offre de produits suit bien les évolutions réglementaires et celles de nos certifications. Certains sujets restent difficiles, comme l'acoustique, d'autant que la mise en oeuvre, étant donné la pénurie de main d'oeuvre qualifiée, est problématique. L'un des points difficiles reste la qualité de l'air dans les logements et les problématiques liées au choix des matériaux. On commence à avoir, sur les aspects environnementaux, un certain nombre de directives. Par contre, sur les aspects sanitaires, les choses sont beaucoup moins claires. Il y a encore des disparités fortes sur les appréciations qui peuvent être faites quant aux émissions de composés organiques volatiles des différents produits. Du coup, les industriels sont pour l'heure très prudents dans ce domaine, malgré leur volonté d'avancer. I. B. : Quelles sont les grandes évolutions actuelles des différentes marques ? A.D. : Globalement, l'ensemble des marques de qualité continue d'évoluer en allant plus loin sur la qualité environnementale. Lorsque cette dimension existe déjà, comme pour la marque Habitat & Environnement, nous allons intégrer de nouvelles dimensions comme celle du confort visuel. On va aussi plus loin sur l'énergie, en intégrant des niveaux de performances supérieures, avec les énergies renouvelables, les bâtiments basse consommation avec Effinergie. Et nous allons intégrer cette dimension environnementale aux marques qui ne la présentaient pas, avec par exemple un niveau Qualité Environnementale pour la marque NF Logement. Nous travaillons aussi sur la qualité de l'air dans les logements, en avançant aussi vite que possible dans un domaine difficile. L'évolution réglementaire sur l'accessibilité et la loi handicap nous entraîne également à travailler sur l'accessibilité et l'habitabilité des logements. Nous mettons l'accent sur la prise en compte du vieillissement de la population, avec des exigences sur la conception des logements, certains équipements dans les salles de bain, mais aussi la conception des menuiseries.
De nouveaux logements en accession à Pignan, près de Montpellier
La Zac de la Bornière, à Pignan, est achevée. Au programme : des logements mais aussi un complexe sportif, des commerces et un secteur dédié à l'agriculture.
Pour que votre habitation soit "technocompatible", il faut que son pré-câblage soit standardisé, exactement comme le câblage informatique standardisé qui équipe les entreprises et permet de mettre leurs ordinateurs en réseau. Aujourd'hui, les professionnels ont développé des systèmes obéissant à des normes standard. De l'avis de tous, c'est une étape importante qui permet de démocratiser l'habitat technologique. "A partir du moment où on trouve facilement des systèmes complets de A à Z et produits quasiment en série, l'habitat technologique est appelé à se démocratiser" juge Marc-Antoine Micaelli, de la société Domoconsulting, qui commercialise et installe des systèmes domotiques. Pour que les différents systèmes installés s'avèrent compatibles, il faut qu'ils parlent le même langage. Là encore, des protocoles standard commencent à se mettre en place Avec la généralisation des outils informatiques et d'internet, la domotique entre dans la maison. Confort, énergie, gestion simplifiée : la domotique, c'est l'habitat intelligent. Mai 2007 47 A C T U A L I T É S et différentes marques concurrentes se mettent d'accord pour utiliser un même protocole, afin de pouvoir construire des installations cohérentes, quel que soit le fournisseur de matériel. L'avantage pour vous consommateur est de pouvoir construire des systèmes ouverts, qui pourront évoluer en restant compatibles.
Vente annulée : les conditions de restitution du dépôt de garantie
J’ai réservé un logement vendu sur plan, avec achèvement prévu fin 2009. Aujourd’hui, je suis convoquée chez le notaire pour signer l’acte de vente, mais le prix est supérieur à celui annoncé. Puis-je renoncer à cet achat ? (Laurence V., Draguignan, 83)
Le Salon de L’immobilier Midi-Pyrénées se tiendra du 21 au 23 mars au Parc des Expositions - Hall 6.
En dehors du prêt relais jumelé, il existe désormais, des formules globales. Dans ce cas, le financement de l'opération achat revente est appréhendé dans sa globalité. La banque vous proposera alors un prêt à long ou à très long terme, dont une partie (équivalent au prix du bien à vendre) sera remboursable par anticipation sans pénalités au moment de la vente. Ces formules qui sont plus souvent proposées par des banques spécialisées offrent toutes sortes de souplesses. Elles vous permettent notamment d'emprunter à 100 %, voire 110 % (y compris les frais de notaire), d'intégrer différents modes de remboursement. "L'avantage de notre prêt relais, c'est qu'il permet d'intégrer les crédits en cours, les frais de notaire, les frais de déménagement, explique Jean-Pierre Bourgeois de l'UCB, et notre prêt peut aller de 5 à 40 ans". Chez cette banque, une fois la vente du bien réalisée, le remboursement partiel s'effectue sans frais jusqu'à 140 % du montant initialement prévu. Côté mensualité, vous pouvez choisir entre une diminution de l'échéance ou le maintien du montant prévu au départ. Mais dans ce cas, la durée de votre prêt diminuera. Même approche au Crédit Foncier qui, avec "Foncier Intégral", prend en compte votre projet dans sa globalité. Vous disposez immédiatement de l'apport personnel que constitue le produit de la vente à venir sur la base de 80 à 90 % après expertise. "Les crédits en cours sont intégrés au financement, de telle sorte que l'acquéreur n'a qu'un seul remboursement sur la base d'une mensualité globale et constante adaptée à son budget, explique Christiane Jalon. Le prêt peut être à taux fixe, révisable, sur une durée de 6 à 30 ans. Par rapport à un prêt relais jumelé, le prêt global a un autre avantage. Outre sa simplicité, il est aussi moins onéreux. Vous n'aurez pas à débourser les frais de dossier pour deux prêts puisqu'il n'y a qu'un seul montage. Sachez toutefois qu'un certain nombre de banques font un geste commercial et ne facturent qu'une seule fois ces frais. Même chose pour les frais d'hypothèque uniquement pris sur le bien acheté. Ce qui n'est pas automatique pour le prêt relais jumelé. Il peut, en effet, arriver qu'une garantie complémentaire sur le bien à vendre soit exigée. Auquel cas, faites attention aux frais de mainlevée d'hypothèque, formalité qui sera nécessaire dès la vente de votre bien. Une promesse d'hypothèque peut très bien faire l'affaire. Elle évite les frais de mainlevée.
Un label " bâtiments biosourcés "
De plus en plus utilisés, les matériaux dits " biosourcés ", comme le chanvre, la fibre de bois, la laine de mouton, la paille ou encore le liège qui ont désormais leur label spécifique.
Remboursement anticipé de prêt
J'ai la possibilité de rembourser par anticipation une grosse partie de mes prêts mais la banque veut m'imposer de rembourser le prêt à taux zéro en priorité. Est-ce légal ? (Émeric W., Fréjus, 83)
Rhône-Alpes: du neuf aux sommets
Dans les départements de l’Isère, de la Savoie et de la Haute-Savoie, de nombreuses opérations captent l’air du temps, en alliant diversité de l’offre et développement durable.
Les bons plans de Menton à Perpignan
Sur ce territoire très recherché des bords de la Méditerranée, le marché du logement neuf demeure résolument attractif avec une offre géographiquement diversifiée. Enquête immobilière plein soleil.
Lille, du neuf et de belles ambitions
Malgré une production légèrement en retrait, Lille et sa métropole poursuivent le renouvellement urbain, avec des opportunités au pied des quartiers d’affaires ou en bordure de campagne.