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Un marché à taille adaptée

Un marché à taille adaptée

Karine Gaillard, la directrice commerciale de Bouygues Immobilier à Montpellier, confirme cette tendance : "La question de l'évolution de la conjoncture des marchés immobiliers est abordée au niveau national mais nous ne nous la posons pas dans les mêmes termes à Montpellier. Ici, nous ne notons aucun ralentissement de nos ventes." Ce constat est partagé chez Kaufman & Broad Languedoc-Roussillon : "Nous nous développons depuis 2003 à Montpellier mais aussi sur le reste de la région et nous ne notons aucune baisse du rythme de vente, dit Anne Hamelin, sa directrice commerciale. Le marché est réellement dynamique." Un chiffre confirme cette observation : selon Stratis Conseil, les rythmes de vente oscillent depuis un an entre 10 et 12 %. "Nous ne notons pas de baisse des rythmes de commercialisation car il n'y a pas en réalité de sur-offre à Montpellier", souligne Xavier Longin. Pas de sur-offre et une croissance démographique qui ne se dément pas.

La Savoie offre des opportunités

La Savoie offre des opportunités

Savoie et Haute-Savoie concentrent l’essentiel de l'offre. Les Trois Vallées figurent au rang des destinations les plus prisées. En premier lieu Courchevel et Méribel. De son côté, La Plagne est à suivre de près.

Paris, 4ème ville où investir en 2012

Paris, 4ème ville où investir en 2012

Certes, en investissant dans la capitale, vous ne risquez pas de vous tromper. Mais les prix élevés ne permettent pas d’espérer des rendements performants. Il faut donc tabler sur la valorisation de votre patrimoine.

François Drouin Président du directoire du Crédit Foncier de France

François Drouin Président du directoire du Crédit Foncier de France

"De mal nécessaire, le crédit immobilier est devenu une réelle opportunité pour réaliser son projet." Indicateur Bertrand :Quel bilan tirez-vous de l'année 2006 et quelles sont, selon vous, les perspectives d'évolution du marché immobilier ? François Drouin : Le marché immobilier d'habitation en 2006 a poursuivi la décélération déjà observable en 2005. Plusieurs signes en témoignent : le nombre de cessions reste inscrit à un haut niveau mais progresse moins (autour de 3 %) ; le niveau des stocks de logements s'accroît dans l'ancien et dans le neuf ; la hausse générale des prix ralentit. Constatée localement, elle résulte d'un quasi-plafonnement des valeurs les plus hautes et du resserrement par le bas de l'échelle des prix. Mais le point majeur reste sans doute la persistance d'une demande qui ne faiblit pas. Les ménages parviennent à faire face à la hausse des prix par des emprunts à taux faibles et durées longues, par des aides familiales ou l'acquisition de superficies moindres dans des quartiers moins recherchés. Je note par ailleurs que les prêts aidés tels que le prêt à 0 % constituent des réponses intéressantes pour les ménages à revenus modestes. I. B. :Quel regard portez-vous sur la mise en place des dispositifs Robien recentré et Borloo neuf ("populaire") ? F. D. : Tout d'abord, le marché de l'investissement locatif reste très actif. En effet, le contexte économique et financier lui est aujourd'hui favorable, avec des niveaux de taux d'intérêt encore bas, une fiscalité attractive et une pénurie avérée de l'offre locative dans certaines régions. Les clients qui réalisent un investissement locatif poursuivent simultanément plusieurs objectifs : constituer/valoriser/ transmettre un patrimoine ; se créer des revenus complémentaires ; préparer leur retraite, tout cela dans un contexte fiscal favorable. Le choix du régime optimisant l'opération dépend évidemment des objectifs de l'investisseur : il doit avant tout être guidé par le marché local et donc les besoins. Par exemple, pour Paris intra-muros, le prix marché reste élevé et le régime Robien recentré peut être le dispositif adéquat. A l'inverse, les communes de première couronne dans des villes populaires sont attractives en investissement Borloo où les plafonds propres à ce régime pénalisent peu l'investisseur. D'autres objectifs peuvent également guider l'investisseur dans ses choix. S'il souhaite par exemple louer à un ascendant ou un descendant, il choisira le Robien recentré qui lui offre cette possibilité à la différence du Borloo. I. B. : Votre dernière enquête menée avec Paris Dauphine souligne l'impact de mutations sociologiques profondes qui influent sur la demande de logement. Quels sont les grands enseignements à en tirer ? F. D. : Le marché du logement en France a été marqué entre la Libération et les années 80 par trois chocs : la reconstruction, l'urbanisation et le développement des flux migratoires. Après cette période de construction très active, on pensait que tout était rentré dans l'ordre avec une production annuelle de 300 000 logements par an. Or, l'étude fait apparaître un véritable choc sociologique qui bouleverse la demande de logement, sous l'influence conjuguée de plusieurs changements sociologiques déterminants : l'éclatement de la cellule familiale, l'allongement de la durée de vie, les nouveaux flux migratoires et la part croissante du montant des investissements étrangers en France. Toutes ces causes structurelles viennent se cumuler et ont permis aux auteurs de l'étude d'estimer le besoin de construction de logements à 500 000 par an. I. B. : Quelles sont les évolutions majeures en matière de crédit immobilier en France ? F. D. : Le marché du crédit immobilier a fait l'objet de profondes transformations ces dernières années. Les taux favorables du crédit immobilier ont soutenu l'appétence confirmée des Français pour la propriété. Manifestation la plus visible de cet engouement : le taux de propriétaires est passé à 57 % contre 35 % après-guerre. Le recours au crédit immobilier est désormais bien installé dans les mentalités et ne fait plus peur. De mal nécessaire, il est devenu une réelle opportunité pour réaliser son projet immobilier, qui reste pour beaucoup de ménages LE projet d'une vie. Le profil des clients aussi a évolué. Les 55/65 ans veulent devenir propriétaires sans pour autant voir leur budget diminuer (culture, loisirs…). Les primo-accédants, eux, sont souvent moins jeunes (30 ans) du fait de la hausse des prix de l'immobilier et de leur situation professionnelle parfois précaire (CDD, intérim…). Dans le même temps, ils sont plus nombreux à acquérir un bien immobilier, préférant le remboursement d'une échéance de prêt immobilier au paiement d'un loyer généralement d'égal montant. Pour faire face à la diffusion à grande échelle du crédit immobilier, les banques ont développé leur offre de financement avec des formules de prêts adaptées aux besoins des différents types de clientèles : lissage des mensualités, allongement des durées, mixage des profils et des tarifications, services packagés. Les solutions de prêts à taux révisable, dont le Crédit Foncier a d'ailleurs été le précurseur, ont connu une forte croissance avec des montages sécurisés sur des durées de plus en plus longues. Elles ont aussi permis d'abaisser les mensualités de remboursement et donc d'augmenter la capacité d'emprunt.

Zoom sur Les SEM (Sociétés d'économie mixte)

Zoom sur Les SEM (Sociétés d'économie mixte)

Aujourd'hui, 1 130 Sociétés d'économie mixte (SEM) sont en activité en France. Elles interviennent dans une quarantaine de domaines d'activité et principalement dans l'aménagement, le logement, le tourisme, les transports et l'énergie. Elles représentent près de 9 % des 16 000 entreprises publiques locales dénombrées au plan européen. Elles emploient 65 500 salariés. Le montant de leur capitalisation s'élève à 2,65 milliards d'euros, détenus à 65 % par les collectivités locales. Le volume de leurs investissements est estimé à 11 milliards d'euros. Elles ont réalisé en 2005 un chiffre d'affaires de 13,8 milliards d'euros. www.fedsem.fr

Hervé Manet - Président de Marignan

Hervé Manet - Président de Marignan

Indicateur Bertrand : Le dernier Congrès de la Fédération des Promoteurs Constructeurs avait pour sujet central "Environnement et construction". Est-ce une thématique qui a toute sa place chez Marignan ? Hervé Manet : Marignan est très attaché au respect de l'environnement. Notre actionnaire Bouwfonds est un atout essentiel dans ce domaine puisqu'il exerce, depuis de nombreuses années, son activité dans le cadre du développement durable. Il est donc une référence et un soutien précieux pour Marignan. De plus, il y a quelques années, nous avons créé notre charte Haute Qualité Environnementale car la plupart des concours que nous remportons sont basés sur ces critères. Reste à convaincre le client, qui ne comprend pas toujours, que le surcoût généré par ces aspects environnementaux est une future économie de sa charge d'exploitation. I.B. : Quels sont vos axes de développement en Ile-de-France et vos programmes les plus emblématiques ? H.M. : Marignan aura mis en commercialisation cette année en Ile-de-France environ 800 logements dont 75 % en grande couronne et 25 % pour la première couronne. Dans les Yvelines, nous venons de terminer Carrières-sur-Seine et St-Cyr-L'Ecole, des opérations d'envergure qui représentent plus de 350 logements. Dans le Val d'Oise, à Vauréal, nous avons conçu un projet de création urbaine, où nous reconstituons un cœur de ville et développons 200 logements avec la commercialisation d'un deuxième bâtiment. En première couronne, nous poursuivons nos activités à Meudon, Levallois, Asnières, Colombes, Le Plessis-Robinson, et sommes en pleine phase de développement à Saint-Denis, Nanterre... I.B. : Rareté du foncier oblige, Paris n'a plus de terrain disponible et les communes résidentielles sont urbanisées quasiment définitivement, quelle est votre stratégie ? H.M. : A chaque fois que la population se déplace, il faut recréer un environnement en démontrant aux élus notre capacité à faire venir une clientèle nouvelle. Comme à Colombes, Marignan a su attirer une autre clientèle qui a permis à la ville de s'ouvrir à une nouvelle forme d'urbanisation et d'accession à la propriété. Le même phénomène se produira demain dans toutes ces villes du Val d'Oise ou de la Seineet- Marne dont les marchés sont très actifs. C'est pour cette raison que nous sommes depuis longtemps partenaires d'EpaMarne et de Val d'Europe. Illustration notable, l'ouverture réussie de Courtaline, à Magny-le-Hongre, qui comporte 77 maisons et qui est un vif succès commercial. Six mois après le lancement d'une première tranche de 44 maisons, nous lançons la seconde, composée de 33 maisons, de 120 à 189 m2 habitables. Nous avons démontré tout notre savoir-faire sur le marché haut de gamme ainsi que notre capacité à développer des concepts originaux s'inspirant, comme à Magnyle- Hongre, d'une tradition architecturale briarde. I.B. : Quel regard portez-vous sur l'évolution du marché ? H.M. : Avec l'allongement de la durée des crédits, les banques continuent à soutenir l'immobilier par des taux d'intérêts très bas. C'est donc à nous de concevoir des produits qui ne dépassent pas la limite de solvabilité du client. Nous observons également depuis plus d'un an l'intérêt des investisseurs pour la région Ile-de-France grâce au dispositif Robien parfaitement en phase avec le marché. Je remarque de plus en plus, dans le comportement de nos investisseurs, que le complément de ressources pour la retraite qu'apporte un bien immobilier, s'ajoute à l'avantage fiscal immédiat. I.B. : Qu'est ce qui a changé dans l'évolution des produits ? H.M. : L'organisation du logement en règle générale n'a pas réellement évolué. Nous pouvons malgré tout noter que certaines pièces, plus que d'autres, reflètent aujourd'hui les différents styles de vie de nos clients : la cuisine par exemple, elle est souvent plus grande qu'autrefois pour être à nouveau un vrai lieu de rencontre de la famille, ou au contraire, pour certains, elle n'est qu'un lieu fonctionnel et devient dans ce cas une cuisine à l'américaine ; le séjour reste la pièce de réception par excellence, la demande est donc vers de belles surfaces lumineuses, les chambres sont quant à elles légèrement plus grandes pour recevoir, le cas échéant l'informatique. En ce qui concerne plus particulièrement la résidence en elle-même, les systèmes de sécurité sont aujourd'hui nettement plus renforcés avec le plus souvent portier électronique, digicode, interphone... L'écoute, qui est l'une des valeurs de Marignan, nous permet de mieux connaître nos clients et d'adapter nos produits à l'évolution de leurs attentes. I.B. : Et sur l'évolution de votre métier ? H.M. : Le métier de promoteur doit rester un métier de proximité ; proximité avec les clients, les élus locaux, les acteurs économiques... c'est pour cela qu'aujourd'hui nous avons renforcé notre maillage national avec dix directions régionales et neuf agences locales. L'évolution chez Marignan est dans l'accompagnement du Groupe aux projets d'aménagement urbains initiés par les collectivités locales soit en relation directes avec elles, soit aux côtés d'aménageurs publics ou privés. C'est cette notion de partenariat qui est aujourd'hui un élément essentiel de la culture de Marignan.

TENDANCE À L'ALLONGEMENT DES DURÉES

TENDANCE À L'ALLONGEMENT DES DURÉES

Cela dit, compte-tenu des marges de manœuvre étroites des banquiers, les taux ont toutes les chances de remonter dans les prochains mois. Mieux vaut donc ne pas trop attendre. D'ailleurs, si vous empruntez maintenant, vous disposez d'une capacité d'emprunt de 17 % supérieure à celle que vous auriez eue si vous aviez contracté un crédit en 2000. Selon les spécialistes, un point de taux en moins se traduit par 8 % de capacité d'emprunt supplémentaire. Reste que la chute spectaculaire du coût du crédit a contribué à la hausse des prix des logements. Résultat, même avec des niveaux historiquement bas, les conditions de crédit ne suffisent plus à rendre solvables les catégories d'emprunteurs les plus modestes. Mais les banquiers, qui ont de l'imagination, ont trouvé la parade : l'allongement des durées d'emprunt. Et la formule remporte un vif succès. Si, en 2002, 58 % des prêts étaient consentis sur quinze ans ou moins, en 2005, ils ne représentent plus que 32 % de la production des banques. Dans le même temps, les crédits sur vingt-cinq ans qui étaient marginaux en 2002 (2 % seulement), accusent une forte progression. On peut même dire que l'envolée de la production est spectaculaire : de 16 % début 2005, elle bondit à 25 % aujourd'hui. Preuve que la solvabilité des ménages est mise à rude épreuve. En revanche, les prêts sur 30 ans ne semblent pas faire recette pour le moment. "Nous ne proposons pas de prêt sur 30 ans, annonce-t-on à la Caisse d'Epargne Ile-de-France, un tel prêt peut avoir des conséquences lourdes pour l'emprunteur". Il n'empêche que beaucoup de banques disposent de la formule. Certaines vont même plus loin. A l'image de l'UCB qui n'hésite pas à proposer un prêt sur... 35 ans ! "Aux Etats-Unis, 95 % des prêts sont sur 30 ans, affirme Christophe Crémer, mais ils ont un avantage sur les formules françaises, ils ne prévoient pas de pénalités en cas de remboursement anticipé. Des pénalités de remboursement anticipé qui peuvent atteindre 3 % du capital restant dû". Or, la majorité des prêts de longue durée sont remboursés par anticipation, généralement parce que les emprunteurs changent de logement pour avoir plus grand. De fait, pour les banquiers, il ne faut pas se focaliser sur des prêts qui, de toute façon, n'ont pas vocation à être remboursés sur de très longues durées. Selon eux, la durée de vie moyenne d'un crédit ne dépasse pas 8 ans.

Sérénité pour l’avenir

Sérénité pour l’avenir

Dans ce contexte, le marché immobilier du neuf reste serein. “La demande est toujours soutenue, et les fondamentaux du marché sont redevenus incontournables, estime Anaïs Pigeon. Les investisseurs pensent en termes de loyers et de revente, tandis que les acquéreurs,en règle générale,sont plus sensibles à la qualité du produit,comme par exemple à l’intégration de la problématique du développement durable, sans tomber cependant dans l’excès.Et le ralentissement des rythmes de commercialisation, observé au cours des derniers mois,n’est que le résultat d’un assainissement du marché qui, à mon sens, n’a rien d’inquiétant.” C’est aussi ce que constate Vincent Marsicano, qui confirme l’étalement de l’offre : “Bien que l’on observe un effritement de la rentabilité des logements pour les investisseurs, en adaptant les opérations, la clientèle répond toujours présente, à l’instar d’une résidence pour étudiants réalisée à Castelnau- le-Lez où sont venus des primo-investisseurs. De façon plus générale, le marché du logement neuf dépasse largement le cadre montpelliérain et les communes reliées par des moyens de transport en commun,comme le tram,ont une cote élevée.Cependant, c’est aussi le cas de communes proches de Montpellier, comme La Grande Motte.Mais au final, c’est la capitale régionale qui fournit cette impulsion à un territoire qui dépasse le cadre de l’agglomération”.

Différé d’amortissement et report d’échéance

Différé d’amortissement et report d’échéance

Vous envisagez d'acheter un logement neuf ? De faire construire ou encore d'acquérir de l'ancien avec travaux ? Continuer à payer votre loyer, tout en remboursant votre emprunt. Ce qui peut vite devenir insupportable pour votre budget. Dans un tel cas, la banque peut vous proposer un différé d'amortissement. Au lieu de rembourser l'échéance de votre prêt en totalité, vous ne remboursez que les intérêts et la prime d'assurance, ce qui vous permet de ne pas trop vous serrer la ceinture durant le laps de temps qui vous sépare de l'emménagement dans votre nouveau logement. Certaines banques proposent cette souplesse qui peut parfois s'étaler sur un ou deux ans, voire plus. Ainsi, à l'UCB, ce différé qui peut être total (y compris les intérêts), s'étale sur 36 mois maximum. Mais faut-il le préciser, il a un coût supplémentaire par rapport à un crédit amortissable dès le départ. Si vous ne souhaitez pas utiliser cette souplesse, sachez que la plupart des banques propo sent le report des mensualités en cas de besoin. C'est par exemple le cas chez LCL. Ainsi, à partir de la 3e année de votre crédit, vous pouvez reporter jusqu'à neuf mensualités sur toute la durée de votre crédit. A l'UCB, vous disposez de cinq "jockers". Autrement dit, sur toute la durée de votre prêt, vous avez la possibilité de reporter cinq mensualités sans avoir à les motiver.

Les ventes de logements neufs toujours au top en Île-de-France

Les ventes de logements neufs toujours au top en Île-de-France

CARTE INTERACTIVE. Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis, Paris… tous les départements de la région enregistrent des records de transactions pour le second trimestre 2016, malgré une évolution des prix du neuf contrastée.

Habitat neuf : Le dynamisme de la périphérie Lyonnaise

Habitat neuf : Le dynamisme de la périphérie Lyonnaise

L'agglomération rassemble 57 communes aux profils différents, du bébé Polémieux (un village de 600 habitants) jusqu'à la géante Villeurbanne (une ville de 130 000 personnes).

La cote des petits constructeurs de maisons

La cote des petits constructeurs de maisons

En dépit d’un ralentissement de l’activité, le secteur de la maison individuelle limite l’érosion des ventes dans un contexte économique difficile.

Opération d'aménagement pilotée par la Sem 92

Opération d'aménagement pilotée par la Sem 92

Au terme d'une consultation, et selon le communiqué de la Sem 92 : "le Conseil municipal de la ville de Massy vient de confier à la Sem 92 une concession pour l'aménagement de la Zac Bourgogne/Languedoc (4,8 ha), dans le quartier Massy Opéra.Après acquisition et démolition de deux petits centres commerciaux devenus obsolètes, la Sem 92 mettra en œuvre un projet urbain autour d'un pôle de quartier et de services comprenant un nouveau centre commercial, une résidence pour personnes âgées, la restructuration de la maison de quartier et la réalisation d'un foyer restaurant, des logements en accession, une crèche et une recomposition de l'ensemble des espaces publics. Le contrat est signé pour une durée de 10 ans." La Sem 92 était déjà présente dans ce quartier du Grand Ensemble Massy Antony conçu dans les années 60, à proximité immédiate du quartier du Noyer Doré d'Antony, dont la Sem 92 conduit, pour le compte de la ville d'Antony, le renouvellement urbain dans le cadre d'une convention avec l'Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine.

A Nancy, l’immobilier neuf sourit

A Nancy, l’immobilier neuf sourit

Nancy connaît actuellement un cercle vertueux. Le marché des appartements neufs dans l'agglomération nancéienne s'est en effet montré particulièrement dynamique en ce début 2007 par rapport au début 2006 : les nouvelles mises en vente ont quadruplé, les ventes ont augmenté de 90 %, les prix ont grimpé de 15 % pour atteindre en moyenne 2 700 e/m2 neuf. Enfin, le délai de vente moyen d'un bien neuf est descendu à 6 mois au 1er trimestre 2007 contre 8 en fin d'année dernière."L'image de la Lorraine est en train de changer, se réjouit le maire de la ville, André Rossinot. Nous nous rapprochons à la fois de Paris,désormais à 1h30,mais aussi de toute l'Europe". Plusieurs autres facteurs expliquent cet engouement : "On assiste à un phénomène nouveau qui consiste, pour un couple de jeunes retraités, à vendre la maison qui servait de résidence principale souvent en périphérie de Nancy, ou plus loin, pour acquérir un logement neuf présentant toutes les qualités requises pour la vieillesse qui s'annonce, indique maître Véronique Marchal, notaire. Par ailleurs, le prix de l'ancien a beaucoup augmenté ces quatre dernières années. Enfin, l'arrivée du TGV a certainement joué car 34 % des acheteurs d'appartements neufs (au 31/12/2006) ne sont pas de la région". En outre, avec l'arrivée du TGV Est, l'ensemble du quartier de la gare a été repensé pour accueillir les sept millions de voyageurs attendus chaque année : le quartier "Nancy Grand Coeur" (voir entretien) est une zone de 15 ha située de part et d'autre des voies ferrées, qui a entièrement été remodelée.

Bernard Vorms

Bernard Vorms

La ville sera forcément hétérogène

3 QUESTIONS À Christian Favier, Président du conseil général du Val-de-Marne et de l'Epa Orly Run

3 QUESTIONS À Christian Favier, Président du conseil général du Val-de-Marne et de l'Epa Orly Run

“L'objectif est de doubler le nombre de logements chauffés par la géothermie”

Les ventes de logements neufs doublent en Île-de-France

Les ventes de logements neufs doublent en Île-de-France

CARTE INTERACTIVE. Selon l’agence départementale d’information sur le logement (Adil75), les transactions progressent de 114 % en 1 an. Une augmentation qui touche l’ensemble de la région, sauf la capitale.