Actualité
3 QUESTIONS À Alain Todini, PDG de Credixia
Il est fort probable que les taux diminuent encore
A Rennes, le siège du Crédit Agricole est remplacé par du logement
VIDEO. Ce vaste programme, lancé à l’initiative du Crédit Agricole d’Ille et Vilaine, permettra de construire 357 appartements sur l’ancien site d’une des caisses régionales du groupe. Une opération ambitieuse, qui ne fait pas l’unanimité.
Dans cet environnement séduisant, la ville de Caen regroupe un tiers des habitants et des emplois de la région. A l'intersection entre le bassin parisien et l'arc atlantique, la ville s'affirme aujourd'hui en tant que métropole régionale. C'est pour racheter son mariage avec Mathilde de France, sa cousine au 5e degré, que Guillaume - le futur "conquérant" - et son épouse firent édifier l'Abbaye aux Dames et l'Abbaye aux Hommes qui sont à la base, avec le château ducal, de l'organisation urbaine de Caen. Malgré les importantes destructions subies pendant la Seconde guerre mondiale, les trois monuments sont toujours les points de repères de la ville actuelle et font partie du patrimoine historique de la région.
Une production de logements neufs soutenue
Ce n'est pas tout : en effet, le Chèque Premier logement s'appuie également sur un partenariat avec les promoteurs et opérateurs de logements dans le secteur neuf.
3 QUESTIONS À ANNE HIDALGO, 1er adjointe au maire de Paris, présidente de la Sempariseine
“30 000 logements sociaux financés depuis 2001”
Des plafonds de loyers et de ressources à respecter
Dans tous les cas, bénéficier de la réduction d’impôt Pinel suppose de prendre en compte les plafonds de ressources de vos locataires.
Michel Laugier : « Favoriser les primoaccédants »
Président (UMP) de la Casqy (Communauté d’agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines).
Enfin, l’attrait fiscal n’est pas négligeable non plus. En ayant signé un bail commercial, vous vous inscrivez de fait dans la catégorie des loueurs en meublé. Si vous percevez plus de 23 000 e de loyers par an (ce qui correspond à un investissement de l’ordre de 500 000 e dans l’immobilier) et que vous êtes inscrit au registre du commerce, vous êtes loueur en meublé professionnel (LMP). Sinon, vous passez en catégorie loueur en meublé non professionnel (LMNP). Outre la récupération de la TVA (19,6 %), ce statut vous permet chaque année pendant la durée du prêt de déduire de vos bénéfices industriels et commerciaux (BIC) - donc de vos loyers - l’amortissement du bien. Ce qui peut représenter jusqu’à 60 % du montant de l’opération. Autre avantage de louer en meublé : après cinq ans de détention, les plus-values réalisées à la vente du bien sont exonérées d’impôts. À la fin du remboursement du prêt, vous empocherez donc les loyers (souvent à une date très proche du départ en retraite). De quoi mettre du beurre dans les épinards lors de votre départ en retraite.
La cote des petits constructeurs de maisons
En dépit d’un ralentissement de l’activité, le secteur de la maison individuelle limite l’érosion des ventes dans un contexte économique difficile.
Maisons Performances de Maisons France Confort
Plus rapide à construire et plus économe, cette nouvelle gamme doit faciliter l’accession à la propriété, tout en offrant des performances à la fois économiques et écologiques.
Prix des loyers : revus et corrigés
Le gouvernement a décidé de reconduire le dispositif d’encadrement des loyers déjà mis en place l’an dernier en lui apportant des aménagements. Explications.
Le câblage clé en main
Construction : le neuf à nouveau dans le vert
Le nombre de logements autorisés et mis en chantier a nettement augmenté cet été. Une embellie encourageante.
La décélération de la hausse des prix qui se confirme en 2006 ne signifie pas pour autant baisse des prix : ceux-ci continuent à augmenter, même si la progression est plus douce et que plusieurs acteurs du marché pronostiquent un "atterrissage en douceur". Dans de nombreuses régions, les primo-accédants connaissent toujours autant de difficultés à se loger. Les délais d'écoulement moyens des logements sont d'ailleurs, d'après les constatations de la Fédération des Promoteurs- Constructeurs (FPC) un peu plus longs au 1er trimestre 2006, culminant à 5 mois contre 4 il y a un an pour les appartements. Ces difficultés n'entament pas la belle santé du marché du neuf, puisque selon les chiffres donnés par la FPC pour le 1er trimestre 2006, 32 765 logements ont été vendus, ce qui représente une progression de 8,9 % par rapport au 1er trimestre 2005.
La ville organise deux fois par an une visite pour ses nouveaux habitants. Au programme : les équipements (médiathèque, salons du Moulin Brûlé, centre aquatique ...), haltes au parc du Vert, château de Réghat et École Vétérinaire. En comptant les discours et les petits fours, il faut compter une matinée mais en famille, en voiture ou en train, il ne vous suffira que de quelques petites heures. Et plus, si affinités ...
Alors, lorsque cette maison se prolonge sur un golf, sorte d'immense jardin entretenu impeccablement, dont le calme n'est troublé que par l'apparition de quelques petits véhicules silencieux transportant les golfeurs, on atteint l'idéal. Car habiter au bord d'un golf est le plus souvent synonyme de maison : "Le quartier du golf est très résidentiel, tranquille et pavillonnaire. Il n'était pas question d'entourer un tel espace d'immeubles développés en hauteur", explique-t-on à la mairie de Bussy Saint-Georges. Le golf 18 trous de la ville s'étend sur 50 hectares et son extension est en cours de réalisation. Elle permettra l'édification d'un parcours d'entraînement et d'initiation de neuf trous et celle d'un nouveau parcours de dimension internationale, de 18 trous. "C'est le quartier résidentiel le plus recherché de Bussy" estime un agent immobilier de la ville. "Certains clients viennent régulièrement nous consulter pour savoir si des maisons sont à vendre dans le quartier. Ils recherchent la perle rare : les maisons dont les fenêtres s'ouvrent directement sur une partie du parcours" ajoute-t-il. Les 219 logements qui entourent le golf de Bussy sont donc des maisons, et plutôt haut de gamme.
Hervé Manet - Président de Marignan
Indicateur Bertrand : Le dernier Congrès de la Fédération des Promoteurs Constructeurs avait pour sujet central "Environnement et construction". Est-ce une thématique qui a toute sa place chez Marignan ? Hervé Manet : Marignan est très attaché au respect de l'environnement. Notre actionnaire Bouwfonds est un atout essentiel dans ce domaine puisqu'il exerce, depuis de nombreuses années, son activité dans le cadre du développement durable. Il est donc une référence et un soutien précieux pour Marignan. De plus, il y a quelques années, nous avons créé notre charte Haute Qualité Environnementale car la plupart des concours que nous remportons sont basés sur ces critères. Reste à convaincre le client, qui ne comprend pas toujours, que le surcoût généré par ces aspects environnementaux est une future économie de sa charge d'exploitation. I.B. : Quels sont vos axes de développement en Ile-de-France et vos programmes les plus emblématiques ? H.M. : Marignan aura mis en commercialisation cette année en Ile-de-France environ 800 logements dont 75 % en grande couronne et 25 % pour la première couronne. Dans les Yvelines, nous venons de terminer Carrières-sur-Seine et St-Cyr-L'Ecole, des opérations d'envergure qui représentent plus de 350 logements. Dans le Val d'Oise, à Vauréal, nous avons conçu un projet de création urbaine, où nous reconstituons un cœur de ville et développons 200 logements avec la commercialisation d'un deuxième bâtiment. En première couronne, nous poursuivons nos activités à Meudon, Levallois, Asnières, Colombes, Le Plessis-Robinson, et sommes en pleine phase de développement à Saint-Denis, Nanterre... I.B. : Rareté du foncier oblige, Paris n'a plus de terrain disponible et les communes résidentielles sont urbanisées quasiment définitivement, quelle est votre stratégie ? H.M. : A chaque fois que la population se déplace, il faut recréer un environnement en démontrant aux élus notre capacité à faire venir une clientèle nouvelle. Comme à Colombes, Marignan a su attirer une autre clientèle qui a permis à la ville de s'ouvrir à une nouvelle forme d'urbanisation et d'accession à la propriété. Le même phénomène se produira demain dans toutes ces villes du Val d'Oise ou de la Seineet- Marne dont les marchés sont très actifs. C'est pour cette raison que nous sommes depuis longtemps partenaires d'EpaMarne et de Val d'Europe. Illustration notable, l'ouverture réussie de Courtaline, à Magny-le-Hongre, qui comporte 77 maisons et qui est un vif succès commercial. Six mois après le lancement d'une première tranche de 44 maisons, nous lançons la seconde, composée de 33 maisons, de 120 à 189 m2 habitables. Nous avons démontré tout notre savoir-faire sur le marché haut de gamme ainsi que notre capacité à développer des concepts originaux s'inspirant, comme à Magnyle- Hongre, d'une tradition architecturale briarde. I.B. : Quel regard portez-vous sur l'évolution du marché ? H.M. : Avec l'allongement de la durée des crédits, les banques continuent à soutenir l'immobilier par des taux d'intérêts très bas. C'est donc à nous de concevoir des produits qui ne dépassent pas la limite de solvabilité du client. Nous observons également depuis plus d'un an l'intérêt des investisseurs pour la région Ile-de-France grâce au dispositif Robien parfaitement en phase avec le marché. Je remarque de plus en plus, dans le comportement de nos investisseurs, que le complément de ressources pour la retraite qu'apporte un bien immobilier, s'ajoute à l'avantage fiscal immédiat. I.B. : Qu'est ce qui a changé dans l'évolution des produits ? H.M. : L'organisation du logement en règle générale n'a pas réellement évolué. Nous pouvons malgré tout noter que certaines pièces, plus que d'autres, reflètent aujourd'hui les différents styles de vie de nos clients : la cuisine par exemple, elle est souvent plus grande qu'autrefois pour être à nouveau un vrai lieu de rencontre de la famille, ou au contraire, pour certains, elle n'est qu'un lieu fonctionnel et devient dans ce cas une cuisine à l'américaine ; le séjour reste la pièce de réception par excellence, la demande est donc vers de belles surfaces lumineuses, les chambres sont quant à elles légèrement plus grandes pour recevoir, le cas échéant l'informatique. En ce qui concerne plus particulièrement la résidence en elle-même, les systèmes de sécurité sont aujourd'hui nettement plus renforcés avec le plus souvent portier électronique, digicode, interphone... L'écoute, qui est l'une des valeurs de Marignan, nous permet de mieux connaître nos clients et d'adapter nos produits à l'évolution de leurs attentes. I.B. : Et sur l'évolution de votre métier ? H.M. : Le métier de promoteur doit rester un métier de proximité ; proximité avec les clients, les élus locaux, les acteurs économiques... c'est pour cela qu'aujourd'hui nous avons renforcé notre maillage national avec dix directions régionales et neuf agences locales. L'évolution chez Marignan est dans l'accompagnement du Groupe aux projets d'aménagement urbains initiés par les collectivités locales soit en relation directes avec elles, soit aux côtés d'aménageurs publics ou privés. C'est cette notion de partenariat qui est aujourd'hui un élément essentiel de la culture de Marignan.