Tous les conseils en Immobilier
Immobilier neuf : La reconquête de l'Est Lyonnais
Les villes qui montent en puissance se situent comme Villeurbanne sur le passage du T3 Lea, mis en service en décembre. Vaulxen- Velin bénéficie d'une offre diversifiée de maisons et de collectifs sur ses trois principaux pôles de développement, à savoir le vieux village, le centre-ville et la côte. Au coeur du village, face à l'église, la SIER propose notamment des maisons de ville. Egalement dans le village, Villes et Villages Création commercialise un petit collectif à l'architecture attractive. Le promoteur a l'oeil : il est aussi architecte ! Decines, où deux stations de tram sont sorties de terre, s'apprête à donner un sérieux coup de collier pour son développement immobilier. Dans le centreville, au sein de la Zac de la Fraternité, ont été désignés en février les promoteurs qui réaliseront 280 logements. La mairie projette de construire sur le quartier une galerie commerciale d'une quinzaine de boutiques et 3 000 m2 de moyennes surfaces. "Il ne se passe pas une semaine sans qu'un promoteur nous contacte, remarque la responsable du développement urbain. Il y a 10 ans, l'offre se résumait à quelques maisons anciennes.De nos jours, les plus grands groupes immobiliers s'intéressent à Décines."
Boulogne, Saint-Denis, Meaux, des villes à suivre
Qu'elles se situent aux portes de Paris ou au large de la capitale, ces trois grandes villes franciliennes ont en commun de développer de nouveaux programmes immobiliers. Visite guidée de communes en pleine évolution.
Le Salon de l'Immobilier Languedoc-Roussillon
Vitrine de l'immobilier régional, cette 20e édition est un rendez-vous très attendu à Montpellier. Alternant les conseils pratiques (plans de financement, actes notariés, incitations fiscales) et la présentation de grands programmes d'urbanisme régionaux, le Salon de l'Immobilier du Languedoc-Roussillon répond à une attente et un besoin réel d'informations. Durant 3 jours, du vendredi 16 au dimanche 18 mars, les visiteurs du salon pourront trouver une réponse à leurs interrogations liées au domaine de l'habitat et de l'immobilier au sens large. Sur place : promoteurs, constructeurs de maisons individuelles, lotisseurs, architectes, notaires, avocats… Tout au long des stands des professionnels, chacun pourra découvrir un panorama complet de services. Ce 20e salon sera marqué par deux événements : d'une part, cette manifestation occupera deux étages entiers du Palais des congrès et verra son nombre d'exposants augmenter d'environ 60 enseignes, et d'autre part, par la mise en place à l'échelon national du trophée Les Pyramides d'Or, distinction qui sera attribuée dans un premier temps à un constructeur local, en fonction de nombreux critères retenus concernant la réalisation d'un programme immobilier. Le gagnant régional pourra participer, dans un second temps, à la distinction nationale. Un espace bar/restauration sera rattaché à la manifestation. L'année dernière, ce salon avait accueilli plus de 5 000 visiteurs. Salon de l'immobilier du Languedoc-Roussillon Vendredi 16, samedi 17 et dimanche 18 mars 2007 au Palais des congrès de Montpellier.
Nous allons prochainement mettre aux normes notre ascenseur.Quels avantages fiscaux nous sont offerts ? (Président de conseil syndical, Paris 11e)
L’accession sociale avec Grand Lyon Habitat
L’office public HLM multiplie les opérations d’accession à la propriété. La dernière en date a été commercialisée en une seule journée.
Jean-Louis Borloo - Ministre de l’Ecologie,du Développement et de l’Aménagement durable
Indicateur Bertrand : Comment concilier aujourd’hui construction, respect de l’environnement et développement durable ? Jean-Louis Borloo : Avec le Grenelle de l’Environnement, nous voulons prouver, concrètement, dans les faits, que dans chaque secteur économique, une autre croissance est possible. Le développement durable, c’est faire en sorte de concilier la protection de l’environnement, le développement économique, la cohésion sociale et, aussi, la qualité architecturale et urbaine. Dans l’agriculture, dans les transports et, bien entendu, dans la construction, nous avons les technologies pour le faire et souvent il s’agit d’une question d’organisation et de volonté politique. De plus, je suis convaincu que le développement durable est une chance pour l’économie. Les secteurs et les entreprises qui prendront le virage du développement durable disposeront d’un avantage compétitif essentiel, d’une vraie “prime de compétitivité”. Car ne nous y trompons pas : la croissance de demain est là, les parts de marché de demain, elles aussi, sont là. I.B. : Quelles sont les orientations souhaitées pour les nouvelles constructions ? Qu’estce qui va changer concrètement pour les logements privés ? J.-L.B. : C’est un sujet sur lequel il y a un vrai consensus. Le bâtiment est de loin le secteur le plus consommateur d’énergie en France. Il représente également des émissions nationales de CO2. Ce secteur constitue une des clefs qui permettra de respecter nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre à l’horizon 2050 (une division par quatre). Le Grenelle de l’Environnement marque une vraie rupture en matière de construction : il y aura bien un avant et un après Grenelle. C’est pourquoi, en 2010, tous les bâtiments et équipements publics seront construits en basse consommation (50 kWh/m2/an) ou bien seront à énergie passive ou positive. Les énergies renouvelables les plus performantes y seront systématiquement intégrées. Pour les logements privés, nous avons prévu un plan d’action en trois étapes. En 2010, il est prévu un passage anticipé à la réglementation très haute performance énergétique (THPE) avec un tiers de constructions en basse consommation ou à énergie passive ou positive. En 2012, l’idée est que l’on puisse véritablement généraliser les logements neufs à basse consommation (50 kWh/m2/an) pour qu’en 2020, toutes les nouvelles constructions soient à énergie passive ou positive. Nous engageons une vraie rupture thermique avec à la clef, des dizaines de milliers de créations d’emplois et surtout, plus de bienêtre et de pouvoir d’achat pour des millions de Français. Bien sûr, il y a des mises au point à faire et il faut que les maîtres d’ouvrage, les maîtres d’oeuvre, les entreprises s’approprient les nouvelles techniques et soient capables de se coordonner pour les mettre en place. Mais il y a urgence planétaire et face à la montée du prix de l’énergie, les charges des occupants doivent être les plus faibles possibles. I. B. : Quelles sont les priorités pour le parc existant et le logement social ? J.-L. B. : Nous allons lancer un chantier sans précédent de rénovation thermique des bâtiments existants. Pourquoi ? Actuellement, il faut savoir qu’un logement consomme en moyenne 240 kW/h/m2 et par an. Or, les technologies pour atteindre les 80 kW/h/m2 existent. En clair, nous jetons l’argent et le CO2 par la fenêtre ! L’objectif est de parvenir à rénover environ 400 000 logements par an. Cela nécessite de mobiliser tous les acteurs de la filière. Cela implique également de lever un certain nombre d’obstacles : amélioration des outils de diagnostic, lancement d’un grand plan de recrutement et de formation, création de nouvelles incitations. Nous avons prévu un programme spécifique pour accélérer la mise à niveau de l’ensemble du parc de logement social à commencer par les 800 000 logements les plus dégradés. Mais s’il y a une chose dont je veux persuader tous les Français c’est que l’investissement de départ est généralement amorti en quelques années grâce à la réduction de la facture énergétique. En clair, le durable, c’est rentable ! I. B. : Comment vont s’organiser les prochaines étapes du Grenelle de l’Environnement en matière d’habitat ? J.-L. B. : Après la phase d’élaboration, nous entrons maintenant dans celle de l’exécution. Le Grenelle de l’Environnement a suscité une formidable attente que nous n’avons pas le droit de décevoir. Je suis pour ma part un homme de résultats. Je souhaite donc que sur chaque secteur, sur chaque programme, on dispose d’indicateurs clairs, quantifiables et précis. Je veux que l’on puisse dire à tout moment où on en est et quels sont les progrès à accomplir. Sur le bâtiment, nous allons rapidement mettre en place des comités opérationnels qui traduiront en normes et en règlements les propositions décidées dans le cadre du Grenelle. Ils seront présidés par des personnalités faisant autorité, accompagnés de représentants de la profession. A terme, nous espérons pouvoir proposer au Parlement une grande loi “Grenelle” au printemps 2008. Cette année sera véritablement l’année du passage à l’acte.
Point d’architecte dans la famille Mangin! Juste des représentants de la fonction publique, dont une mère qui a collaboré aux débuts de la fondation Maeght à Saint-Paul de Vence. “Cela m’a donné une sensibilité pour l’art contemporain”, constate l’architecte qui a démarré sa carrière auprès d’Henri Ciriani, luimême architecte et ardent défenseur des formes contemporaines. L’agence Seura, dans laquelle David Mangin est associé, compte une vingtaine de collaborateurs. Le plus clair de son temps se passe sur la commande publique : projets urbains, réflexions sur l’espace public, bureaux et logements. En cours dans les têtes chercheuses de l’agence: un concours sur des friches ferroviaires à Bruxelles, une usine de nickel dans le centre de Nouméa avec une problématique de développement durable, de l’habitat… À son actif : des logements dans l’écoquartier du Raquet à Douai, d’autres sur la Zac Montsouris, l’hôtel artisanal Brûlon-Citeaux et de l’habitat à Paris, la reconversion d’appartements haussmanniens en petits lots… Défendant “une ville passante” contre les logiques d’enfermement, l’urbaniste a revisité les Halles pour limiter la circulation au profit du piéton. À Marseille, la porte d’Aix, traversée par l’A7, est sur la sellette. Mantes, Sihanoukville, Bordeaux, Rennes, Angers et d’autres encore ont été repensées en mode durable. David Mangin se défoule en enseignant à l’École d’architecture de Marne-la-Vallée et aux Ponts et Chaussées. “Cela entretient le cerveau ”, assure-til. Dans le cadre du Grand Paris, il fait partie du groupe Descartes, dont Yves Lion, grand prix de l’urbanisme 2007, est mandataire. Pour définir sa ville idéale, l’urbaniste réfléchit un instant, puis il se lance : “J’aime les villes tranchées en termes de déplacements,comme Venise où l’on ne se déplace qu’à pied ou en bateau, Los Angeles, en voiture et Tokyo, en métro. Cela crée des différences”.
Au moment d'acheter, il faut penser à la revente Indicateur Bertrand : Comment assurer au maximum son investissement dans deux studios ou une grande surface ? Gilles Tocchetto : Tout d'abord, l'investisseur doit s'impliquer au maximum dans son placement. Cela commence par l'achat, où il faut s'assurer que le promoteur vend ses biens au prix du marché, et non pas à un montant gonflé par les avantages fiscaux qui sont liés au dispositif Scellier, par exemple. Pour cela, il est préférable de choisir un appartement situé dans un immeuble qui mixe des biens destinés à la résidence principale et à la location. De plus, ce type d'immeuble sera mieux géré sur le long terme, grâce à la présence de propriétaires habitants. Attention aussi, pour l'investisseur qui achète dans le cadre Scellier, à ne pas acquérir son bien n'importe où. Si la zone C a bien disparu sur le papier, la plupart des communes ont été remontées en B2 ou B1. Là encore, le mieux est de se rendre sur place pour s'assurer soi-même de l'environnement immédiat, la proximité des commerces, services et transports, et de mener son enquête sur le dynamisme économique et démographique de la ville. Studio ou 3-pièces ont chacun leur avantage en terme d'investissement locatif. La rentabilité locative du studio est plus élevée, mais le turnover, plusimportant. Le 3-pièces est plus cher à l'achat et offre une rentabilité moindre, mais attire des locataires, généralement des familles, qui restent plus longtemps dans les murs. Chaque aspect de la gestion locative doit être réfléchi, par exemple la revalorisation des loyers. Si l'indice IRL est le même, les communes évoluent différemment en termes de prix de loyers. En fonction de la demande, il peut être plus intéressant de ne pas aller au plafond, pour garder un bon locataire. Enfin, il faut penser à la revente : si on remet son bien sur le marché à la fin de la période d'avantages fiscaux de neuf ans, on risque de se retrouver en face d'autres propriétaires, qui mettront leur biens en vente au même moment. Mieux vaut donc investir sur le long terme.
Rapprocher modernité et patrimoine
La coexistence des époques demeure un sujet majeur dans l'oeuvre de Viguier. Selon lui, "ce rapport n'est intéressant que s'il existe un état de tension entre une valeur patrimoniale et une architecture véritablement moderne, sans concession à un quelconque contextualisme menant au pastiche". Où aimerait vivre ce grand voyageur ? Les villes américaines l'enthousiasment car "ce sont des univers inachevés qui soulèvent le désir de faire, par opposition à Paris où il est difficile de construire en ce moment". Mais sa vie actuelle lui convient : une succession de séjours dans plusieurs villes et une base à Paris, "où je me sens bien", confesse-t-il.
Au sud de la rue de la Convention, les prix de l'immobilier sont un peu moins élevés, mais se rapprochent de plus en plus de la moyenne de l'arrondissement. L'ancien y tourne maintenant autour de 5 000 €/m2, avec des pointes à 6 000 €/m2 au plus près du parc Georges Brassens. Construit en lieu et place des anciens abattoirs de Vaugirard, celui-ci est le plus récent : créé en 1991, original et charmant, il intègre les vestiges pittoresques des abattoirs et des aménagements particuliers, comme un jardin des senteurs, un potager, une vigne, et même un rucher pédagogique. Avec son marché aux livres, qui réunit tous les week-ends les amateurs de bouquins, ses petites terrasses de café, il a "boosté les ventes", pour reprendre l'expression d'un agent immobilier. Les constructions récentes ont également apporté un nouveau souffle au quartier. C'est dans cette partie du 15e que se concentrent les nouveaux programmes.
Les prix de l'immobilier neuf dans l'Agglomération Urbaine de Toulouse au 1er trimestre 2012
Les prix moyens du m2 habitable des logements collectifs neufs réservés (hors parking) dans l'Agglomération Urbaine de Toulouse par la fédération des promoteurs immobiliers.
Isère : un patrimoine au sommet
Entre Alpes du Nord et Alpes du Sud, l’Isère, dotée de superbes massifs et de beaux domaines skiables, affiche des prix très divers selon les emplacements.
Le marché immobilier neuf d'Orléans
Tranquillement mais sûrement, la métropole orléanaise poursuit ses embellissements. Son marché immobilier séduit les investisseurs, mais a-t-il la capacité de satisfaire les accédants-résidents ?
Philippe Guenot, chef de projet Z’R à la Fédération Française des constructeurs
Philippe Guenot répond à Explorimmoneuf sur le projet de maison Zen et responsable, baptisée Z'R.
Libre à vous de préférer la vie hors mariage. Mais sachez que pour le Code civil, la vie hors mariage ne confère pratiquement aucun droit. Pour le Code civil (art. 515-8), le concubinage se caractérise par une “union de fait, caractérisée par une vie commune présentant un caractère de stabilité et de continuité entre deux personnes de sexe différents ou de même sexe, qui vivent en couple”. L’achat d’un logement commun se fait selon trois formes juridiques : l’indivision, la SCI ou encore la tontine, la première étant la plus courante.
Toulon, 5ème ex æquo au classement de l'investissement
Ex æquo avec Lyon, la ville offre un marché locatif attractif et se tourne vers l’avenir : Technopole de la Mer, axes des gares et pôle universitaire.
Des villes passent à l’offensive
De la taille de la Guadeloupe, l'Essonne n'est pas un grand département à proprement parler, mais il dispose de belles réserves foncières. La commune la plus riche en terrains du Val d'Orge, Brétigny, mène la danse au rythme de 150 logements neufs par an. À côté du lycée Jean-Pierre Timbaud, dans la Zac Collenot, Bouygues Immobilier attaque la réalisation de 200 logements sur les 450 du quartier. Notons qu'un projet de Kaufman & Broad démarre sur la place Chevrier et qu'il n'est pas trop tard pour réserver les appartements du Vendôme dont les travaux sont en cours. L'année se jouera dans le secteur du Mesnil, où les permis de construire de cinq îlots de 90 logements viennent d'être déposés. Le morceau de choix demeure l'éco-Zac Clause-Bois Badeau de 1 650 logements : la Ville vient de signer avec Atemi, premier opérateur des lieux, une convention de prix maîtrisés abaissant les tarifs de 20 % pour 25 % des 200 lots et portant le prix de vente à 3 000 e/m2. Une opportunité en Ile-de- France, où le prix moyen effleure 4 000 e/m2.