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Pour en bénéficier, vous devez être salarié d'une entreprise de 20 salariés et plus et être primo accédant, c'est-à-dire acheter pour la première fois. Seule exception à la règle : lorsque vous déménagez dans le cadre d'une mutation professionnelle. Ces conditions respectées, vous pouvez financer l'achat d'un logement neuf. Vous pouvez également acquérir un logement ancien avec ou sans travaux (sous certaines conditions). Pour obtenir un prêt, il suffit d'en faire la demande à votre employeur (ou au comité d'entreprise) ou encore auprès du collecteur auquel l'entreprise verse sa participation. Sachez toutefois que l'obtention du prêt n'est pas systématique. Elle est laissée à la libre appréciation de l'employeur. Vous devez remplir un formulaire de demande et votre dossier sera ensuite instruit au vu des pièces que vous aurez fournies. "Une fois les documents transmis, il faut une huitaine de jours pour obtenir l'offre de prêt, indique Jean-Pierre Joho d'Astria, un des leaders du marché qui regroupe depuis peu l'Ocil et l'Apec, ensuite la procédure est la même que pour un crédit classique, l'emprunteur doit respecter le délai de dix jours avant d'accepter l'offre comme le veut la loi Scrivener". L'emprunt ne peut être inférieur à certains planchers, pas plus qu'il ne peut dépasser les plafonds définis. Le maximum est fixé à 17 600 € en région parisienne (entre 14 400 et 11 200 € ailleurs). Pour un couple, chacun des membres peut faire une demande mais les deux prêts cumulés ne pourront excéder les plafonds fixés. Quant au taux consenti, il s'élève à 1,5 % (hors assurance), sur 5 à 15 ans. "Chez Astria, l'assurance coûte 2 € par mois pour 10 000 € empruntés, précise Jean-Pierre Joho, cela représente 0,24 % du capital prêté.Comparé aux tarifs des banques qui tournent autour de 0,36 à 0,38 %, nous sommes très compétitifs". Les fonds sont généralement versés au notaire, au promoteur ou au constructeur au moment de la vente définitive.
L'aire d'influence du marché montpelliérain se situe jusqu'à une quarantaine de kilomètres. Autour de Montpellier, Pragma est présent à Castelnau-le-Lez avec la deuxième tranche de L'Etoile, sur la ligne du tramway, avec une livraison au 4e trimestre 2008. Le promoteur, qui ressent "le besoin d'élargir le spectre de son offre", s'éloigne encore plus de Montpellier pour implanter une opération à Balaruc-les- Bains, avec Bleu de Thau, 50 logements avec vue sur l'étang de Thau, à un prix moyen de 3 200 €/m2 habitable. Il lance également une opération en centre-ville de Mauguio, avec 25 logements en résidence principale, à environ 3 000 €/m2, puis à Marsillargues, sur le site de l'ancienne cave coopérative, à un prix compris entre 2 700 et 2 800 €/m2. Dans le périmètre de l'agglomération, aux portes de Montpellier, Bouwfonds Marignan commercialise Les Capitelles, des appartements de 2 à 4-pièces, sur le Domaine de Fondespierre, en lisière du golf international de Fontcaude, en hauteur de colline. Le 3-pièces, de 61 à 71 m2, est commercialisé entre 184 000 et 258 000 €, avec une livraison prévue fin 2007. A Lattes, au coeur de la cité lacustre de Port- Ariane, Roxim propose la dernière opération à s'intégrer sur le port avec une seconde tranche de Résidence Domitia où le 2-pièces de 40 m2 est proposé à partir de 155 000 € et le 3-pièces de 67 à 70 m2 est vendu à partir de 209 000 €. Comme conclut Xavier Longin : "Pour l'instant rien ne permet de s'inquiéter de l'évolution du marché immobilier local à court terme."
La loi Scellier repêche des communes du Languedoc-Roussillon
Même à un niveau élevé de prix, le 8e arrondissement fait l'objet de lancements d'opérations : Kaufman & Broad, très présent sur plus de la moitié des arrondissements, lance 112 Prado, 42 logements du 2 au 4-pièces, pour une livraison au 1er trimestre 2009. Pour Park Saint-Anne, du même promoteur, où le 3-pièces de 57 m2 en rez-de-chaussée est commercialisé 260 000 €, la livraison des 94 logements est prévue pour le 2e trimestre 2009. C'est également dans le 8e, rue Roumanille, que Bouygues Immobilier lance une opération commercialisée entre 3 700 et 3 800 €/m2 habitable. Dans ce secteur, dont la Zac du Rouet dopera l'offre de 14 programmes immobiliers, Les Nouveaux Constructeurs proposent Cantini Parc, face au parc du 26e Centenaire, 57 logements livrables entre fin 2008 et début 2009. Dans les 10e, 11e et 12e arrondissements, Les Nouveaux Constructeurs débutent la commercialisation de Coteaux Saint-Julien tandis que Bouygues Immobilier lance Villa Amandine, aux alentours de 3 300 €/m2. C'est dans ce périmètre que Closerie Toscane, de Kaufman & Broad, propose une mixité collectifs-maisons individuelles en résidence principale, pour une livraison au 4e trimestre 2008. Du 13e au 15e, l'offre est confortée par de nouvelles opérations. Dans le 13e, quartier Chalusset, Promogim commercialise Le Clos Jardin, 101 logements collectifs et 3 maisons, livrés en septembre 2008, à moins de 3 000 €/m2 . Toujours dans cet arrondissement, Bouwfonds Marignan présente Colline Manon et Valon Florette, 41 appartements sur les hauteurs de Marseille, avec des 3-pièces à partir de 194 100 €. C'est dans cet arrondissement que Nexity livrera au 3e trimestre 2008, Paradisio, plusieurs petits bâtiments de 2 étages, sur un parc de 3 ha, avec le 3-pièces de 60,3 m2, au 1er étage, à 211 300 €. Dans le 14e, Urbat réalise sur Sainte-Marthe, Côté Mer, 22 villas et 48 appartements répartis sur un terrain de 1,5 ha. Les Nouveaux Constructeurs proposent à flanc de colline avec vue mer, dans le 15e arrondissement, Les Aygalades, au prix moyen de 2 650 €/m2 habitable. La plupart des opérateurs développent leur activité en dehors de Marseille. "Pour répondre à la demande d'actifs locaux marseillais, nous construisons de plus en plus loin, parfois même au-delà du département", constate Jacques Fèvre, directeur du développement foncier de Geoxia Immobilier, spécialisé dans la réalisation de maisons groupées. Outre 4 maisons réalisées dans le 14e, à Sainte-Marthe, la société conçoit aussi, 6 maisons de ville à Trets, à 40 mn de Marseille, à partir de 220 000 e et 9 demeures à Vauvenargues, face au château de Pablo Picasso, à 14 km au nord-est d'Aix-en-Provence.
Bernard Vorms - Directeur général de l’Anil
Indicateur Bertrand : Quand beaucoup agitent le spectre d’une crise, votre discours est relativement tempéré.Quels indicateurs permettent de comprendre la situation actuelle et d’anticiper l’avenir ? Bernard Vorms : L’immobilier est une activité cyclique. Après des années de progression ininterrompue de l’activité et de hausse des prix, un ralentissement devait fatalement se produire, ne fût-ce qu’en raison de la diminution de la demande solvable. La seule question était de savoir quand, et à quelle ampleur. La hausse des taux et la crise des subprimes ne sont pas les causes uniques du ralentissement, mais ses éléments déclencheurs. Bien que modérée, la hausse des taux contribue à réduire la solvabilité des candidats à l’achat ; la crise des subprimes provoque des difficultés de refinancement pour les établissements de crédit. Certes, on peut être surpris d’entendre parler de crise à la fois lorsque les prix s’élèvent de façon rapide et lorsqu’ils baissent de façon prétendument inattendue. I. B. : Faut-il craindre un krach ? B. V. : Je ne connais pas d’avis véritablement autorisé sur cette question. J’observe seulement que la volatilité des prix et les variations du volume de constructions, voire de transactions, ont été, par le passé, plus faibles dans l’Hexagone que dans les pays anglo-saxons. Cela tenait à la taille du secteur locatif, à un taux d’endettement assez faible, mais surtout à l’importance de l’intervention de l’État dans ce secteur. À l’avenir, la baisse relative du poids des interventions publiques pourrait augmenter la volatilité des marchés. I. B. : Des nouvelles mesures d’accession au logement et à la propriété sont entrées en application (nouveau prêt à 0 %, Pass-foncier,etc).Peuvent-elles changer la donne ? B. V. : Aujourd’hui, la puissance publique est-elle en mesure d’éviter des à-coups trop brutaux ? La collectivité est-elle condamnée à intervenir, qu’il s’agisse d’aider les ménages à faire face à la hausse des prix ou d’éviter une baisse des prix ? Il ne s’agirait pas, comme le font les États-Unis ou l’Espagne, de venir au secours d’accédants menacés d’expulsion, mais de jouer un rôle contra-cyclique. La construction locative sociale a longtemps joué ce rôle, mais aujourd’hui, il ne suffit pas de programmer des logements HLM pour réussir à les réaliser ; encore faut-il convaincre les collectivités locales d’en accepter sur leurs territoires. L’accession sociale a également joué ce rôle, dans le cadre du prêt à taux zéro ou 1 % logement. Mais le pouvoir solvabilisateur des aides est considérablement réduit : dans le segment du neuf, la part moyenne de l’aide actuarielle (équivalent de l’aide publique, si elle était versée en une fois lors du lancement de l’opération) véhiculée par le prêt à 0 % dans le montant des opérations est passée de 10 % en 1996 à 4 % en 2006. Le nouveau dispositif mis en place avec le 1 % logement, le Pass-foncier, est très puissant, mais en attendant son extension au collectif, il reste limité à la maison individuelle et donc, aux zones les moins tendues. Avant le retournement, tout le monde s’accordait sur un objectif prioritaire : lever les freins à la construction pour juguler la hausse des prix, et pour introduire un peu de mixité sociale sur les marchés tendus. I. B. : Quels sont les publics les plus à risques face à ce retournement du marché ? B. V. : Les ménages contraints de revendre leur logement, sans intention ou possibilité de rachat immédiat. Ou ceux qui doivent recourir à un créditrelais. Aujourd’hui, les “bons clients” des banques, qui disposent d’un apport personnel, arrivent à obtenir des prêts dont le taux n’est pas très élevé par rapport à ceux des emprunts d’État. Mais la compétition s’atténue, et l’offre se fait plus hésitante quand il s’agit de primo accédants modestes qui doivent emprunter la totalité du prix de leur opération. Quant aux bons clients candidats à l’achat, ils savent qu’ils peuvent prendre leur temps. La perspective d’une baisse des prix, fût-elle erronée, n’est pas un facteur qui incite à des décisions rapides ; de fait, les délais de commercialisation s’allongent, et ces phénomènes sont cumulatifs. Un autre élément à prendre en compte tient à la diversité des marchés du logement : la baisse la plus forte concerne les marchés les moins tendus. À l’inverse de ce qui s’est passé lors de l’éclatement de la bulle immobilière en 1990, qui n’avait concerné que les zones les plus chères, Paris et la Côte d’Azur. La hausse des prix de ces dix dernières années englobe tous les marchés et tous les pays développés, sauf l’Allemagne et le Japon. Dans les zones les moins coûteuses, les ajustements de prix vont peut-être conduire à ce que le rapport entre prix des logements et revenus des ménages, qui s’était considérablement accru, redevienne plus supportable. Dans ces marchés, les aides publiques en matière d’accession peuvent avoir pour effet de lisser le niveau d’activité afin de préserver l’emploi et l’appareil de production, mais leur objectif premier n’est pas d’empêcher des ajustements de prix souhaitables. I. B. : Un conseil pour ceux qui s’apprêtent à investir ? B. V. : Avant d’acheter, il faut étudier l’emplacement du logement et se renseigner sur la demande locative. Il est aussi prudent d’enquêter sur le niveau réel des loyers de biens similaires du secteur. À Paris ou dans des zones tendues, on prend peu de risques mais dans certains secteurs, les loyers réels sont inférieurs aux loyers plafonds. Un investissement immobilier n’est pas dématérialisé. *Agence nationale d’information sur le logement
La Côte d’Azur veut loger ses actifs
Dès que l'on aborde la Côte d'Azur, le niveau des prix est tel qu'il se passe parfois de commentaires. De 2 500 e/m2 dans le neuf en 2000, le prix moyen était de 5 100 e/m2 en 2006. Pour l'année dernière, moins de 400 logements avaient été réalisés à moins de 3 000 e. Au 1er trimestre 2007, le marché immobilier confirme la tendance de 2006. Les ventes ont progressé de 11 % en année glissante et les prix, malgré une hausse de 9 %, marquent relativement le pas au regard des augmentations à deux chiffres d'il y a encore peu. C'est donc une réelle mobilisation qui a été mise en oeuvre via L'Engagement départemental pour le Logement lors des premières assises du logement pour actifs des Alpes-Maritimes, avec le soutien de la préfecture, le conseil général et la CCI de Nice-Côte d'Azur. Président de l'Observatoire immobilier de la Côte d'Azur, Jean-Marie Ebel pose le cadre de cet enjeu pour les actifs : "L'absence de logements à des prix inférieurs ou égaux à 3 000 z/m2 pose clairement la problématique du logement pour actifs qui traverse une pénurie. Pourtant, nous avons progressé grâce à un travail de pédagogie auprès des collectivités. Cette politique se traduit par deux outils : les appels à projets lancés par les col- lectivités comme le XVe Corps à Nice, le projet TDF à Antibes ou encore le projet Méridia. Les collectivités ont pris conscience que les appels à projet étaient compatibles avec des prix de sortie adaptés. Ces projets permettent d'intégrer du logement en PLS, mais aussi de l'accession à la propriété. Au niveau des PLU et des Scot, nous observons la mise en place d'une véritable traduction d'une politique foncière avec des emplacements réservés, dans certaines proportions, de logements pour actifs."Pour autant, la situation reste complexe et tendue : "Nous avons enregistré un déficit de 1 500 logements par an pendant dix ans. Il est impératif de poursuivre pour offrir le plus de logements possibles aux actifs". Pendant ce temps, l'offre de logements neufs se poursuit. Le groupe Franco-Hollandaise propose Le Madrid à Cannes, une opération de 28 logements et cinq villas dans le secteur de la Basse-Californie, pour une clientèle de seniors. Avec un prix moyen de 7 500 e/m2, cette opération, livrable au 1er semestre 2009, dénote une architecture assez moderne. A Cannes-la-Bocca, Real Immo Invest commercialise le Domaine des Gardes, 19 maisons jumelées (maison de 3-pièces avec jardin : 310 000 e), livrables fin 2007. Le même professionnel propose également deux programmes en résidence de tourisme, à Mandelieu et Cagnes-sur-Mer, livrables respectivement en 2008 et début 2009. Présent à Antibes, Cagnes-sur-Mer mais aussi Juan-les-Pins ou Nice, Sagec présente une offre diversifiée. Par exemple, il lance sur le Mont-Boron, à Nice, Le Parc Blanche de Castille, livrable au 3e trimestre 2008, avec une vue surplombant la baie des Anges. Et à Grasse, il réalise Les Jardins de Toscane, livrable au 4e trimestre 2008. A Cannes, Bouygues Immobilier et Cogedim implantent au centre de la commune la résidence Bristol Park, livrable au 4e trimestre 2008, conçue avec des lignes contemporaines. Bouygues Immobilier est aussi très présent à Nice. Quant à Bouwfonds Marignan, il a choisi Saint-Laurent-du-Var pour réaliser Les Opalines, proche du centre et des pôles d'activités économiques, livrable au 4e trimestre 2008. L'effort de maîtrise du foncier avec, entre autres, la mobilisation de l'Etablissement Public Foncier Régional avec lequel des collectivités ont déjà signé une convention et la présence d'une offre de logements neufs toujours diversifiée géographiquement démontrent la capacité d'adaptation des Alpes-Maritimes.
Les prix moyens du m2 habitable des logements collectifs neufs réservés (hors parking) dans la Communauté d'Agglomération de Nîmes Métropole par la fédération des promoteurs immobiliers.
Logez vous dans le neuf : Un marché façon " Baltard " en centre-ville d'Antony
Le marché du centre-ville ouvre traditionnellement ses étals aux habitants trois fois par semaine, les mardis, jeudis et dimanches. Celui-ci est actuellement en reconstruction. La nouvelle halle, en bois, verre et inox étamé s'inspire des halles Baltard, avec une nef centrale et deux pentes de toiture, dans un style contemporain. Elle devrait être achevée avant la fin de l'année.
Patrimoine : Sur les traces de Jean-Jacques Rousseau
A l’occasion du tricentenaire de la naissance de Jean-Jacques Rousseau, la Région Rhône-Alpes a lancé l’opération « Rousseau en Rhône-Alpes 2012 ».
De grands projets dans l’Essonne
Après une année 2014 en demie-teinte, le marché du neuf reprend des couleurs dans le département en 2015, boosté par les aménagements liés à la mise en place du Grand Paris.
Les prix de l'immobilier neuf dans la Communauté Urbaine de Strasbourg au 4e trimestre 2012
Les prix moyens du m2 habitable des logements collectifs neufs réservés (hors parking) dans la Communauté Urbaine de Strasbourg par la fédération des promoteurs immobiliers.
Les garanties de l'immobilier neuf
Difficile de se projeter dans son futur appartement ou sa future maison...encore à l'état d'un simple plan. Pourtant, acheter dans le neuf présente de nombreuses garanties.
De l'art de mieux communiquer sur l'écoperformance
Pour la cinquième année et en partenariat avec l’Ademe, Novethic, centre de recherche sur l’Investissement socialement responsable et la responsabilité sociale des entreprises, publie le baromètre 2012 du reporting sur l’écoperformance des bâtiments.
“Le manque de foncier caractérise le Sud-Ouest"
Marché immobilier neuf Provence-Côte d'Azur au beau fixe
Des Bouches-du-Rhône aux Alpes-Maritimes, les marchés immobiliers ne répondent pas aux mêmes contraintes mais connaissent, chacun, un rythme qui démontre l'attrait pour cette région.
Immobilier neuf : les ventes progressent, les prix résistent
Selon une récente étude, les ventes de logements neufs repartent à la hausse. Un redressement dû, non pas à une baisse des prix sur ce secteur, mais plutôt aux mesures de relance annoncées à l’automne dernier, par le Premier ministre.
Avec Caluire et Cuire, on ne se situe pas vraiment en périphérie mais plutôt dans la sphère qui comprend en outre Villeurbanne au sens immobilier du terme, c'est-à-dire au sens d'une homogénéité de marché. C'est ici que Cogedim-Ric a lancé son nouveau programme Clos Bel Air, sur les hauteurs de la commune, avec une livraison prévue pour le 4e trimestre 2007. Nexity Groupe George V y commercialise le Gaïa, à 3 600 €/m2, mais les travaux sont en cours. Le promoteur est plutôt axé sur le lancement, depuis juin, de Up, dans le quartier Saint-Clair, toujours à Caluire, d'une résidence de 83 logements, du 2 au 5-pièces, à des prix où les accédants en résidence principale jeunes peuvent encore espérer acheter, entre 2 600 et 3 400 €/m2. Les types de logements sont originaux, entre studios, atelier d'artiste (duplex avec double hauteur) et des appartements villas sur le toit. Les bâtiments, de neuf niveaux, sont livrables au cours du 4e trimestre 2007. La tendance à l'expansion du marché immobilier en périphérie lyonnaise se confirme. "C'est vrai que nous nous sommes éloignés un peu en fonction de la pression des prix, admet Nicolas Elie, directeur commercial régional de Marignan Habitat, sous forme de conclusion. La recherche des primo-accédants nous a conduit à voir ce qui se passait dans ces communes éloignées de Lyon. Mais il ne faut pas se faire d'illusions : même dans les villes à l'est de Lyon, en première couronne, les prix sont très élevés, avec l'arrivée du tramway. Au-delà, il reste des communes où seuls vont des promoteurs locaux. Mais, peu à peu, l'ensemble des opérateurs s'y intéresse".