Tous les conseils en Immobilier
Vivre ou investir près du lac d’Annecy
Ville-écrin entre lac et massif du Semnoz, Annecy possède bien des atouts. Les valeurs immobilières sont contrastées, comprises entre 3 300 et plus de 7 000 e/m2.
"Mieux faire connaître la qualité de nos formations"
Le marché neuf francilien n’a pas fait de merveilles en 2012. D’après l’observatoire de la Fédération des promoteurs immobiliers, les ventes se sont repliées de 19 % et les mises en ventes de 6 %.
Immobilier neuf : quand Paris se met à la mode new-yorkaise
Le programme immobilier Allure, inspiré des buildings de Manhattan, propose des logements haut-de-gamme domotisés avec espaces partagés à destination des habitants.
La Porte romaine de Norman Foster à Nîmes
Vingt ans après la réalisation de Carré d’Art, l’architecte Norman Foster revient à Nîmes pour signer la résidence La Porte romaine, place des Carmes.
Les prix de l'immobilier dans la Communauté Urbaine de Brest au 2e trimestre 2012
Les prix moyens du m2 habitable des logements collectifs neufs réservés (hors parking) dans la Communauté Urbaine de Brest par la fédération des promoteurs immobiliers.
Rhône-Alpes : les appartements neufs bientôt livrés
Dernières passes d'armes avant l'arrivée d'une nouvelle génération de logements, des opérations livrées ou habitables dans six mois réservent de belles opportunités. Eclairage sur les affaires à saisir.
Quand Marseille fait du logement vert connecté…
La cité phocéenne verra bientôt naître sur ses terres son premier éco-quartier connecté. Un programme immobilier colossal de 58 000 m²... à petits prix. Découverte.
Les prix de l'immobilier neuf dans l'Agglomération urbaine de Lyon au 1er trimestre 2013
Les prix moyens du m2 habitable des logements collectifs neufs réservés (hors parking) dans l'Agglomération urbaine de Lyon par la fédération des promoteurs immobiliers.
IdF : L'AVIS DE CLAUDE CAGOL Président de la FPC* Ile-de-France
Indicateur Bertrand : L'an dernier, on a souvent évoqué la "baisse de la hausse des prix". Pensez-vous que ce sera encore d'actualité en 2007 ?
L’envol de Saint-Exupéry-Montaudran
Étendue sur 106 hectares, cette zone vise le développement d’un quartier mixte, d’habitat, d’équipements, de services et d’activités tertiaires. Le projet devrait accueillir 3 000 habitants, 200 000 m2 de bureaux et services, 43000 m2 d’activités et commerces et 16000m2 d’équipements publics. À 4 kilomètres du Capitole et à 8 minutes en métro, la Zac dévoile quatre quartiers : la colline de Thégra, secteur mixant bureaux et 436 logements ; le campus tertiaire de la Garrigue ; la zone d’activités Montredonla- Tuilerie ainsi que le quartier Vidailhan, à mi-chemin entre métro et centre-ville de Balma, qui comptera 842 logements. On trouve entre autres Sogeprom, Cogedim ou Pitch Promotion sur le volet tertiaire. Cette Zac publique avec concession privée occupe un emplacement de choix, dans un site chargé d’histoire, à 3 kilomètres du centre historique de Toulouse. Cet espace accueillera l’Aérospace Campus, un parc à thème sur l’Aéropostale, et le projet immobilier résidentiel de Kaufman & Broad – qui gère entièrement ce volet de la Zac. Ce projet panache logements collectifs (accession à la propriété et location), équipements publics (crèche, école), commerces de proximité et édifices classés ou conservés. Les transports en commun desserviront ou seront très proches du site. Le projet résidentiel comprend huit programmes d’environ 90 logements, du studio au 5-pièces avec terrasse, balcon et parking en sous-sol. La première tranche, avec la résidence Saint-Exupéry, compte 92 logements commercialisés dès 2 950 euros le m2. Ils seront livrés au 2e semestre 2009. La deuxième tranche, baptisée résidence Louis-Bréguet, comptera 87 logements, également à partir de 2 950 euros le m2. La clôture du programme est prévue pour 2011-2012. Originalité : le chauffage des logements est produit par une centrale de production fonctionnant grâce à des granulés de bois issus de la filière locale.
Le devoir de contrôle du chantier par l’architecte
Suite à un incendie, la cage d’escalier de l’immeuble a dû être refaite. Le travail a été bâclé mais l’entreprise n’existe plus alors que tout a été payé par le syndic. Pouvons-nous nous retourner contre l’architecte qui a supervisé le chantier ? (Suzanne G., Paris 19e)
Forte demande pour les résidences
“La demande en logements étudiants est élevée et non satisfaite par le secteur public” constate le bureau des élèves de la faculté de Jussieu. En effet, plus de la moitié des 2 millions 250 mille étudiants ne vivent plus chez leurs parents. Ce ne sont pas les 150 000 chambres gérées par le Crous qui peuvent répondre aux besoins ! Dans ce contexte, les résidences offertes par le secteur privé remportent un franc succès et leur construction s'accélère : 8 000 nouveaux logements en 2005, 10 000 en 2006 et 12 000 prévues pour l'an prochain. Autre signe de prospérité pour ce secteur : de plus en plus de grands noms de la promotion “classique” s'y engagent, comme Eiffage, Icade par l'intermédiaire de sa filiale Eurostudiomes, Financière Rive Gauche, Nexity ou encore Kaufman & Broad, Promogim ou Bouwfonds Marignan. “L'investissement en résidence étudiante obéit à une seule règle : choisir un bon emplacement, près des campus ou, dans les grandes villes comme Paris ou Lyon, près des transports en commun” estime le gérant d'une de ces résidences en banlieue parisienne, tout près du campus de Marne-la-Vallée.
Chef de projet chez Be Citizen, société de conseil en développement durable, Fabien Lasserre poursuit plusieurs objectifs : réduire les consommations d’énergie et de carbone, améliorer la santé des habitants, respecter la biodiversité et limiter la consommation des ressources, en mettant l’accent sur le recyclage, par exemple. Il le confirme, la réflexion doit commencer bien avant la pose de la première pierre : “Il faut penser soigneusement à l’implantation d’un bâtiment sur une parcelle,privilégier une construction bioclimatique.” Étape suivante, l’isolation de toute les façades du bâtiment : les murs (par l’extérieur pour éviter les ponts thermiques), mais aussi la toiture, les fondations, etc. Le double, voire triple, vitrage se généralise. La ventilation double flux gagne, elle aussi, du terrain. “C’est le principe de la maison passive. Ça avance en France, même si nous sommes en retard par rapport à nos voisins, regrette Fabien Lasserre. Mais en 2012,BBC Effinergie (mention attribuée aux logements neufs justifiant d’une consommation énergétique inférieure à 50 kWhep/m2/an) sera la norme. Tout le monde sera alors modèle !”De son côté, le Prebat (Programme de recherche et d’expérimentation sur l’énergie dans le bâtiment) développe des solutions encore plus performantes. “Pour diviser le coût du photovoltaïque par dix,nous travaillons par exemple sur de nouveaux matériaux, les couches minces de silices, explique Jean-Paul Fideli, secrétaire du Prebat. Nous réfléchissons aussi à des dispositifs permettant de combiner planchers chauffants, pompes à chaleur et puits canadien.De toute façon,les solutions existent déjà,même si elles peuvent encore être améliorées. Il faut maintenant les mettre en place à grande échelle. Il est déjà possible de diviser par quatre la consommation d’énergie dans les bâtiments.”
La mixité garantit la pérennité de l'investissement Outre-Mer
Céline Lavaur, directrice commerciale d’Océanis Outre-Mer, nous donne quelques conseils pour investir en Scellier outre-mer.
3 QUESTIONS À Jérôme Klein, notaire à Lille
"Règle n°1 : l'emplacement !"
Nelly Olin Ministre de l'Ecologie et du Développement durable
Indicateur Bertrand :Quels sont les défis que le secteur du bâtiment doit relever pour ntégrer le développement durable dans sa production ? Nelly Olin : En tant que ministre de l'Ecologie, je constate que le secteur du bâtiment est à l'origine de 40 % de la consommation d'énergie et de 25 % de l'émission de CO2 de notre pays. L'efficacité énergétique des bâtiments s'est améliorée, mais bien des progrès restent à accomplir si nous voulons atteindre l'objectif d'une division par quatre des émissions de gaz à effet de serre d'ici à 2050. Au-delà de cette question d'énergie et de gaz à effet de serre, qui entraîne des répercussions tant sur l'environnement que sur le portefeuille de l'habitant, nous devons songer au développement social et à la qualité de la vie. En tant qu'élue locale de Garges-lès-Gonesse (Val-d'Oise) j'ai pu constater dans ma ville le cercle vicieux d'une qualité insuffisante du bâtiment. La démarche Haute Qualité Environnementale (HQE) doit relever les défis du bâtiment, c'est-à-dire faire en sorte que les bâtiments soient exempts de nuisances sonores, ou encore limiter l'impact du chantier de construction pour les riverains. La démarche HQE a donc un double objectif : améliorer le confort de vie immédiat des habitants et leur permettre de réaliser des économies, et d'une manière plus large, relever le défi de la préservation de l'environnement, qui s'adresse à toute la société. I.B. : Vous avez évoqué "le cercle vicieux engendré par la qualité insuffisante du bâtiment". La démarche HQE peut-elle engendrer un "cercle vertueux" ? N. O. : Ce cercle vicieux, engendré par la qualité insuffisante du bâtiment, c'est celui dans lequel sont enfermés nombre de ménages aux ressources les plus modestes, et qui de surcroît ont les factures énergétiques les plus élevées pour des logements dans lesquels les nuisances pèsent sur tous les aspects de leur vie personnelle. J'ai pu mesurer ces situations difficiles. Face à ce cercle vicieux, oui la démarche HQE peut apporter une réponse. Car un bâtiment, c'est aussi l'usage qui en sera fait et l'ensemble des bénéfices qu'il apportera à ses habitants et aux voisins. En procédant à une analyse globale et exhaustive, la démarche HQE a été précurseur. I.B. : Quelles sont les avancées concrètes du développement durable en matière de construction et d'aménagement ? N. O.: Je voudrais citer un progrès concret et majeur dont toute la portée n'a peut-être pas été bien perçue. Aujourd'hui encore, la qualité environnementale et la performance énergétique s'avèrent insuffisamment appréhendée par nos concitoyens dans leurs choix relatifs au logement : le futur locataire ou l'acheteur ne se renseignent pas encore systématiquement sur la performance énergétique du bâtiment. Or, les économies d'énergie sont l'une des cibles majeures sur lesquelles agir pour s'orienter vers le développement durable. Pour aider le citoyen dans sa prise de conscience, le gouvernement a mis en place, depuis le 1er novembre 2006, les diagnostics énergétiques pour la vente. Ils le seront à partir du 1er juillet 2007 pour la location. Ainsi, à partir de ces dates, toute cession immobilière s'accompagnera nécessairement d'un diagnostic énergétique. Du seul fait de cette meilleure connaissance, je suis persuadée que les choix des Français se porteront naturellement vers des décisions plus rationnelles tant pour eux que pour l'environnement. En matière d'habitat, nous encouragerons les constructions de logements sociaux qui consomment peu d'énergie. Notre objectif, c'est de multiplier par quatre la part de HLM atteignant la norme de Très haute performance énergétique. A la demande du gouvernement, la Caisse des dépôts et consignations mettra en place un prêt à 2,45 % pour aider les sociétés de HLM à atteindre cet objectif. Ces diverses mesures vont doper le marché des technologies nouvelles et économes dans la construction et auront bien évidemment des répercussions positives en terme d'emploi. Habitat individuel : et la certification ? "L'un des obstacles majeurs au développement de la démarche HQE résidait dans l'insuffisance des certifications. Cette situation est en train de changer et on ne peut que s'en féliciter. La certification existe depuis l'an dernier pour le tertiaire de bureaux et elle a donné lieu à des réalisations admirables pour certains bâtiments publics, comme le collège de Vigny, dans le Val-d'Oise. Lancée en juin dernier, la marque NF Maison Individuelle démarche HQE représente un pas de plus franchi vers une meilleure qualité de vie pour tous. Dans le domaine de l'habitation individuelle, les bénéfices de la démarche HQE sont multiples, de l'économie substantielle sur les dépenses d'énergie au confort accru pour les habitants en passant par une moindre gêne pour l'ensemble des riverains du chantier et enfin, par la préservation de notre environnement. Cette certification est destinée à clarifier les choix de l'acheteur, à faciliter la vie de l'occupant et à guider le constructeur dans son procédé de construction. Il faut lui souhaiter un très grand succès !" Le DPE (Diagnostic de performance énergétique) : Mode d'emploi Le Diagnostic de performance énergétique (DPE) est obligatoire depuis le 1er novembre. Objectif : identifier les consommations prévisionnelles d'énergie des logements et des bâtiments mis en vente. Il sert à connaître la consommation d'énergie (comme pour l'électroménager et les voitures) et à appréhender l'impact de ces consommations sur l'effet de serre. Les résultats de ces diagnostics doivent être tenus à disposition, par le vendeur, de tout candidat acquéreur qui en fait la demande. La fourniture de cette étiquette énergie sera étendue aux livraisons de bâtiments neufs et aux bâtiments et logements loués à compter du 1er juillet 2007.