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38 hectares pour du logement neuf à Montpellier

38 hectares pour du logement neuf à Montpellier

D'une superficie de près de 38 hectares, le site de l'EAI, à Montpellier, se compose d'un parc de plus de 26 hectares, en plein coeur de la ville.

Campus UMSF : un projet ambitieux

Campus UMSF : un projet ambitieux

Dans le cadre du projet urbain de Montpellier, l’opération Campus, Université Montpellier Sud de France (UMSF), occupe une place prépondérante. L’enjeu principal est de hisser l’université de la ville parmi l’une des cent premières au monde. Septième pôle d’enseignement supérieur français, le campus montpelliérain accueille aujourd’hui quelque 31 000 étudiants en niveau licence), 16 000 en niveau master, 3 000 en doctorat, ainsi qu’environ 10 000 étudiants en sciences biomédicales. Leur nombre total est en augmentation de 11 % sur la période 1999-2004 et représente la plus forte croissance française (source : Académie de Montpellier). De nombreux appels à projet ont été lancés. Le cahier des charges est clair : développement ou requalification de grande envergure du campus, favorisant une mise en valeur et une identification forte ; mise en place de campus durables ; recherche de sources de financement diversifiées ; des projets exemplaires à tous niveaux : contenu, organisation de la fonction immobilière, contractualisation avec l’État. Dans cette optique, Montpellier pellier va bientôt finaliser le projet immobilier, nouer les partenariats et monter un plan de financement général, qui bénéficiera d’un accompagnement des services du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Les détails du projet devront être présentés à la fin du mois de novembre au comité d'évaluation. Le démarrage opérationnel des projets financés, quant à lui, est prévu pour début 2009.

Le Nord

Le Nord

Même si l'agglomération de Lille ne figure pas parmi les sept métropoles les plus chères de province, elle n'en reste pas moins intéressante pour les investisseurs. Située au cœur de l'Europe, bénéficiant d'une desserte TGV qui la met à une heure de la capitale, Lille est aussi l'une des métropoles européennes dotée d'un grand projet urbain en cœur de ville, avec Euralille, qui a entamé sa deuxième phase et devrait à terme compter 6 000 à 7 000 habitants et 15 000 emplois. Le prix moyen au mètre carré s'y établit à 2 928 euros/m2, rendant ce quartier encore très abordable, au regard des 3 610 euros/m2 affichés par le centre-ville.

Des délais d'instruction garantis

Des délais d'instruction garantis

C’est sans doute l’apport le plus attendu de cette réforme. Un délai de base sera fixé, il figurera sur le récépissé remis au demandeur lors du dépôt de son dossier en mairie. Le temps imparti à l'administration pour traiter les dossiers sera limité à : 1 mois pour les déclarations ; 2 mois pour les permis de construire des maisons individuelles et les permis de démolir ; 3 mois pour tous les autres permis. Si le temps nécessaire à l'administration pour traiter le dossier est supérieur au délai imparti, elle devra en informer le demandeur dans le mois suivant le dépôt de la demande. Si ces délais de réponse imposés ne sont pas respectés, l'autorisation sera considérée comme acquise tacitement. Par ailleurs la liste des pièces qui doivent être jointes à une demande de permis sera précisée de façon exhaustive et l’administration ne disposera que d’un mois, après le dépôt d’une demande en mairie, pour demander les pièces manquantes si le dossier n’est pas complet. Il ne sera donc plus possible de faire traîner en longueur l'instruction du dossier par des réclamations à répétition de pièces manquantes. A la fin du premier mois, vous pourrez donc connaître précisément le délai dans lequel la décision doit intervenir.

À l’Est, du nouveau

À l’Est, du nouveau

Entre Lyon, Grenoble et Strasbourg, le développement de l’offre des transports en commun offre de belles opportunités pour investir.

L'investissement à la montagne

L'investissement à la montagne

Fan de glisse, vous envisagez d'investir dans un pied-à-terre en montagne ? Vous pouvez associer plaisir et rentabilité locative. A condition de faire le bon choix...

ZAC Les Ramassiers : en plein maillage urbain

ZAC Les Ramassiers : en plein maillage urbain

Le secteur des Ramassiers représente 130 ha situés sur la commune de Colomiers, à la jonction des communes de Tournefeuille et de Toulouse, au contact de la rocade Arc-en-ciel et desservie par la ligne C du train. Le programme est à vocation mixte, avec 1 500 logements prévus et 5 000 habitants. À terme, la Zac sera occupée pour 41 ha par l’habitat ; 35 ha seront réservés aux activités artisanales, tertiaires et commerciales, industrielles ; 24 ha accueilleront des espaces verts. Sur les 1 500 logements prévus (dont 50 % seront en accession à la propriété et 25% en logements sociaux), 450 sont d’ores et déjà habités et 272 doivent être livrés d’ici à fin 2008. Carrere Promotion a ainsi déjà réalisé quelque 35 logements, tandis qu’avec la résidence Astronomia, livrable au 3e trimestre 2008, Belin Promotion réalise 56 logements, du 2 au 4-pièces, pour un prix compris entre 135 000 euros et 249 000 euros. Le promoteur Nexity George V est aussi largement présent avec la résidence L’Armurier, livrable fin 2008. Quant à Icade Capri, il réalise Côté Jardins: 45 appartements du T2 au T5, répartis sur 2 bâtiments.

Offre préalable de crédit

Offre préalable de crédit

Je souhaite recourir à un prêt afin d'acheter une maison et je me demande pendant combien de temps l'offre de la banque est valable ? (Daniel S., Laon, 02)

Une approche environnementale forte

Une approche environnementale forte

Qualité de l’air, ressource en eau, nature des sols, gestion du bruit, protection des milieux naturels, des paysages, du patrimoine architectural... toutes les questions liées au développement durable s’invitent dans le débat du projet du Grand Paris.

Bertrand Mours, directeur promotion de l'agence nantaise d'Espacil

Bertrand Mours, directeur promotion de l'agence nantaise d'Espacil

Indicateur Bertrand :Votre groupe combine plusieurs métiers de l'immobilier : pouvez-vous nous le présenter ? Bertrand Mours : Espacil est un groupe régional qui intervient dans trois métiers. Nous sommes présents sur le secteur du prêt 1% logement, qui constitue l'origine du groupe. Notre deuxième métier est la construction et la gestion de logements sociaux, avec plus de 16 000 logements en grande partie sur la Bretagne. Notre troisième métier est la promotion immobilière, en collectif ou en maisons groupées. Il faut y ajouter une activité de syndic et de gestionnaire pour compte de tiers et la construction de résidences étudiantes. Cette diversité correspond à notre volonté d'être des "généralistes de l'habitat", c'est-à-dire de pouvoir apporter toutes les réponses aux propriétaires occupants et aux investisseurs. I.B. : Que pensez-vous du marché immobilier sur votre région ? B.M. : L'année 2004 a été excellente sur tous les fronts, tant dans le neuf que dans l'ancien. L'augmentation des prix a été forte, mais s'il faut parler d'inflation, elle s'est plutôt illustrée par le marché de l'ancien, notamment sur les maisons et les terrains à bâtir, qui dans certains secteurs du sud de la Loire ont progressé de façon très importante. 2005 sera sans doute aussi une très bonne année en matière de vente. L'évolution de nos commercialisations est peut-être un peu plus raisonnable, mais la demande est toujours importante. D'une part du côté des investisseurs, à la recherche de produits de défiscalisation ou de constitution de patrimoine retraite. D'autre part, nous avons toujours une forte demande en résidence principale et notamment de primo-accédants, pour lesquels la difficulté consiste à trouver des produits adaptés à leur budget. Le centre-ville ne leur est souvent pas accessible, mais la hausse des prix se répercute aussi en première, voire en deuxième couronne, et nous éprouvons des difficultés à répondre à leur demande, même en s'éloignant. Du côté du marché locatif, on constate aujourd'hui qu'il redevient plus fluide, après une période de forte tension il y a un an, un an et demi. Nous assistons aujourd'hui à une certaine détente et du coup, les loyers ont tendance à être plus raisonnables. I.B. : Le marché de Nantes est-il très différent de celui du reste de la région, avec notamment la présence d'un marché de la résidence secondaire ? B.M. : Il est vrai que la réalité du marché nantais est proche de celle de toutes les grandes agglomérations. Mais la région Nantes Saint-Nazaire bénéficie en outre d'éléments porteurs, avec la présence de la côte à proximité. Nantes est d'autant plus attractive. On sait que la population du littoral va poursuivre son expansion et Nantes va en bénéficier. La résidence secondaire existe, mais il y a aussi une forte demande en résidence principale, y compris dans des villes comme La Baule, qui ont une vie au-delà de la saison estivale. L'an dernier, nous y avons par exemple commercialisé une résidence, en très grande majorité à des investisseurs locatifs. De même, nous livrons la première tranche d'une opération d'une soixantaine de logements à Saint-Nazaire, où nous avons beaucoup d'investisseurs locatifs. Saint-Nazaire et Nantes évoluent en symbiose et je crois beaucoup à ce marché, même si des questions se posent. I.B. : Des questions qui recouvrent celle de l'éventuelle existence d'une bulle spéculative ? B.M. : La question principale est "jusqu'où cela va-t-il monter ?". Pour le marché nantais, il faut souligner qu'il y a 10-15 ans, ce marché était très peu cher. Nous avons donc vu un rattrapage, lié aux besoins et à la demande croissante, et les prix correspondent maintenant à l'attractivité qu'exerce l'agglomération nantaise. Dans les années qui viennent, je pense que nous assisterons au retour à une situation plus raisonnable et à des augmentations plus contenues, notamment dans le secteur ancien. Quant au neuf, son coût va forcément au-delà de la simple augmentation du coût de la vie, car il faut prendre en compte les coûts supplémentaires liés aux exigences nouvelles, notamment en matière de développement durable. Qu'il s'agisse des normes thermiques, ou des problèmes liés à la gestion de l'eau, cette préoccupation a une conséquence financière. Quant à l'existence d'une bulle spéculative, nous ne sommes pas dans la situation du début des années 90, où les acheteurs avaient vraiment une démarche spéculative. Leur but était de réaliser une plus-value rapide. Aujourd'hui, sur les marchés régionaux, on voit des tensions sur le logement locatif, mais parce qu'il n'y a pas assez de biens par rapport à la demande. Le marché est alimenté par une demande réelle et non par des mécanismes artificiels. I.B. : Quels sont vos projets actuels ? B.M. : Sur Nantes, nous avons deux opérations en cours de commercialisation, toutes deux bien placées et très centrales : résidence Bella Maria, qui compte une cinquantaine de logements et les Jardins de la Comète, d'une dimension comparable. Les travaux démarrent cet automne pour ces deux résidences. Par ailleurs, nous lançons la commercialisation d'une petite opération en appartements et maisons de ville à la Chevrolière, au sud de Nantes. Enfin, avant la fin de l'année, nous lancerons trois nouveaux programmes dans le département : l'un en deuxième couronne nantaise, l'autre à Saint-Nazaire et le dernier en bord de Loire.

Des maisons passives près d'Euro Disney

Des maisons passives près d'Euro Disney

En lisière des parcs Euro Disney, Val d’Europe accueille les premières maisons à énergie passive du secteur. Les 42 Villas du Lac sont réalisées par Promogim (avec une consommation abaissée à 15 kW/m2). Dans cette logique d’efficacité énergétique, 14 d’entre elles sont construites selon le label allemand en matière d’habitat à bas carbone, le Passiv’Hauss. « Ce lancement résidentiel marque une nouvelle étape dans notre volonté de développement territorial durable de Val d’Europe », remarque Francis Borozée, vice-président d’Euro Disney en charge du développement immobilier et touristique. Les 4 et 5 pièces sont présentés à 360 000 € et 430 000 €.

Sains et économes

Sains et économes

Le 5 juin dernier, l'association Qualitel est revenue, lors de sa conférence de presse, sur les nouveautés des certifications concernant l'énergie et la santé dans la construction. Soulignant d'abord le succès confirmé des différentes certifications de Qualitel, avec 100 000 logements engagés dans une démarche de certification en 2006, l'association continue à mettre en avant la préoccupation du développement durable. Ainsi, les certifications qui prennent spécifiquement en compte la préservation de l'environnement, comme Habitat & Environnement, intègrent en 2007, de nouvelles thématiques, comme le confort visuel, mais aussi de plus grandes performances énergétiques.

Pays basque : un marché attractif

Pays basque : un marché attractif

Du Pays basque au sud des Landes, le marché immobilier évolue à un rythme soutenu.

Les grands appartements à Lyon

Les grands appartements à Lyon

A Lyon comme ailleurs, le succès du dispositif Robien mais aussi la progression des prix et le niveau élevé des loyers ont façonné la typologie de la production de logements collectifs neufs. Depuis des années, les 2 et 3-pièces se sont clairement imposés dans l'offre de la promotion immobilière. Pour les bailleurs, il s'agit d'optimiser leur investissement locatif tout en répondant à la demande. Pour les accédants, l'objectif est de faire coïncider leur enveloppe financière avec les prix des logements. A ces phénomènes, s'en est ajouté un, qui ne fait que s'accentuer, celui de la recherche d'acquisition de la maison individuelle. Ce type d'achat a pu se réaliser au détriment du grand appartement, peut-être plus élégant en termes de prestations et d'agencements, mais aussi plus dépendant d'un environnement où la difficulté de stationner présente parfois un réel handicap. Pourtant, à Lyon, les grandes surfaces habitables ne sont pas absentes de l'offre de logements neufs. Trouver un logement d'un minimum de 110 m2 n'est pas impossible même si l'entreprise est plus ardue que pour un 3-pièces.