• Le Figaro.fr
  • Actu
  • Le Scan Politique
  • International
  • Économie
  • Bourse
  • Décideurs
  • Le Scan Éco
  • Sport 24
  • Le Scan Sport
  • Culture
  • Lifestyle
  • Madame
  • Figaro Store
  • FigaroTV
  • TVMag
  • Santé
  • Étudiant
  • Figarochic.cn
  • Histoire
  • Nautisme
  • Golf
  • Figaroscope
  • Voyage
  • Enchères
  • Vin
  • Jardin
  • Météo consult
  • Annuaire santé avec PagesJaunes
  • Le particulier
  • Cadremploi
  • La chaîne météo
  • Keljob
  • Kelformation
  • Ticketac
  • Cplussur

Tous les conseils en Immobilier

Accompte à verser ?

Accompte à verser ?

J'ai signé un compromis de vente. Le vendeur pouvait-il me demander de lui verser une somme d'argent ? (Dominique K., Limay, 78)

MONTEVRAIN

MONTEVRAIN

Première sortie après Bussy sur l'A4 : Montévrain, un village au charme typiquement briard à la charnière de Bussy Saint-Georges et de Val d'Europe. Desservie par la gare RER de Serris-Montévrain, la commune a classé 120 hectares d'espaces verts non constructibles et conserve un caractère champêtre et reposant. Avec 4 200 habitants recensés en 2002, elle bénéficie néanmoins du développement de la ville nouvelle et construit deux zones d'aménagement concerté au nord, où sont développés des logements, des espaces verts et des activités diversifiées. Le quartier des Frênes abrite deux programmes, 25 maisons dans le Hameau des Frênes par les Domaines de Charme et 38 maisons de 6 et 7-pièces allée des Bosquets, baptisées les Cottages du Bois et construites par Financière Rive Gauche.

PENSEZ AUX PRÊTS CONSTITUTIFS DE L'APPORT PERSONNEL !

PENSEZ AUX PRÊTS CONSTITUTIFS DE L'APPORT PERSONNEL !

Si vous n'avez pas eu la chance d'hériter ou d'épargner suffisamment, peut-être pouvez-vous bénéficier d'un prêt à 0 %, d'un prêt 1 % logement ou d'un prêt épargne logement. Les uns et les autres sont admis dans la constitution de l'apport personnel et vous permettent d'emprunter moins à la banque et dans des conditions souvent plus favorables. D'où une économie sur le coût de votre crédit. Il faut, en effet, se rendre à l'évidence : même si les banques ne font plus beaucoup de différence entre les emprunteurs munis ou non d'un apport, elles réservent tout de même leurs meilleures conditions aux dossiers les moins risqués. Si vous achetez votre résidence principale et que vos revenus ne dépassent pas certains plafonds, vous pouvez par exemple obtenir un prêt à 0 % dont le montant variera selon votre situation familiale et votre localisation de 11 000 à 32 500 € dans le neuf ou de 8 250 à 21 200 € dans l'ancien. Même chose avec le 1 % logement qui vous permet d'emprunter de 11 200 à 17 600 € au taux de 1,5 % sur une durée 5 à 15 ans. Il faut toutefois que vous soyez salarié d'une entreprise d'au moins 10 salariés versant sa participation au 1 % logement. Ce prêt n'est cependant pas automatique et dépend des fonds dont dispose l'entreprise. Quant aux prêts de l'épargne logement, leurs taux sont moins intéressants - ils dépendent de la date de souscription - mais ils sont également pris en compte dans la composition de l'apport personnel. Et si votre plan n'est pas arrivé à terme, vous pourrez peut-être emprunter tout de même. Renseignez-vous auprès de votre banquier.

L'ALLONGEMENT DES DURÉES DE CRÉDIT

L'ALLONGEMENT DES DURÉES DE CRÉDIT

Avant, c'était simple, on empruntait à taux fixe et mensualités constantes, sans pouvoir modifier quoi que ce soit à son crédit. Aujourd'hui, vous avez le choix entre taux fixe et taux révisable, entre mensualités constantes et modulables, entre durée classique ou très longue... Autant d'éléments qui penchent en faveur de l'achat. Face à la flambée des prix de l'immobilier, de telles souplesses tendent à rendre solvables des prétendants à l'accession qui ne l'étaient pas. Mais elles répondent aussi à une évolution des modes de vie. Même si le désir d'accession à la propriété demeure très présent, les Français ne sont plus prêts, comme leurs parents dans le passé, à se priver leur vie durant pour posséder un toit. De ce point de vue, l'allongement de la durée des crédits immobiliers à 25 ou 30 ans, rendu possible grâce au niveau des taux, constitue indéniablement un bouleversement en matière de financement. Alors que la durée moyenne d'un crédit classique n'était, selon l'Anil que de 15 ans et demi en 1998, elle atteignait pratiquement 19 ans en 2002.

Nue propriété

Nue propriété

Mon fils a reçu par donation nue propriété de la maison que j'occupe et dont j'ai l'usufruit. souhaite vendre la nue propriété à sa sœur. Va-t-il être imposé sur la plus-value ? (Danielle D., Marly-le-Roi, 78)

ABSENCE D'APPORT : PLUS UN OBSTACLE

ABSENCE D'APPORT : PLUS UN OBSTACLE

Fini donc le temps où n'avoir pas un sou en poche était plutôt mal vu des banquiers. Certes, les établissements financiers continuent de réserver leurs meilleures conditions à ceux qui ont fait l'effort d'épargner. Mais elles ont bien compris qu'en proposant des prêts à 100 ou 110 %, elles pouvaient s'accaparer de nouvelles parts de marché. D'ailleurs, même si elles restent parfois discrètes, toutes les banques proposent des crédits à 100 %. "Il y a dix ans, prêter à 100 % était exceptionnel et le fait de banques spécialisées comme le Crédit Foncier ou le Crédit Immobilier de France, explique Philippe Taboret de Cafpi, aujourd'hui, je ne connais pas de banques qui ne proposent un tel produit". Autrement dit, les grandes banques de dépôt se sont aussi positionnées sur ce créneau, qu'il s'agisse de la BNP-Paribas, de LCL (Le Crédit Lyonnais), du CIC, de la Société Générale, des Caisses d'Epargne, du Crédit Agricole ou encore du Crédit Mutuel... Restent des stratégies différentes. "Toutes les banques n'ont pas la même approche, poursuit Philippe Taboret de Cafpi, certaines ont une approche plutôt sociale, d'autres cherchent à capter une clientèle à fort potentiel de revenus". N'empêche que la prudence est de mise en la matière. Car il ne faut pas se voiler la face, ces formules coûtent cher. Plus le capital emprunté est important, plus la durée de remboursement est longue et plus le coût du crédit est élevé ! A titre d'exemple, si vous empruntez 200 000 € à 3,85 % sur 25 ans, vous rembourserez 1 039 € par mois. Le coût de votre crédit s'élèvera à 111 750 €. Sur 30 ans, votre échéance se montera à 938 € mais votre crédit vous coûtera 137 540 €. En revanche, si vous disposez de 40 000 € d'apport et que vous n'empruntez que 160 000 € sur 25 ans, votre mensualité ne sera plus que de 831 € et vous économiserez 22 350 € sur le coût de votre crédit ; sur 30 ans, votre mensualité s'élèvera à 750 € mais vous devrez débourser pas moins de 27 500 € supplémentaires par rapport à un crédit sur 25 ans. Certes, en empruntant sur une longue période, vous adoucissez vos mensualités et vous restez dans des limites d'endettement supportables. Mais ne perdez pas de vue qu'une telle option est forcément risquée, l'amortissement ne s'effectuant que très lentement. Or, sur 25 ou 30 ans, bien des événements peuvent se produire au sein d'une famille (maladie, divorce, chômage...) et conduire à la vente du bien. Qui sait alors si vous ne perdrez pas d'argent. D'autant que le marché immobilier peut se retourner et rendre la vente plus difficile... Des inquiétudes qui apparaissent dans une récente étude de l'Anil, réalisée en partenariat avec l'Observatoire des Pratiques du Conseil National de l'Habitat.

Éric Mazoyer - Directeur général Bouygues Immobilier Ile-de-France

Éric Mazoyer - Directeur général Bouygues Immobilier Ile-de-France

Indicateur Bertrand : Quels sont vos principaux programmes à Paris intra-muros ?
Eric Mazoyer : Nous menons une très belle opération dans le cadre de l'aménagement de Paris Seine Rive Gauche, Quai treize, dans le 13e. Après quatre grandes opérations de bureaux, nous avions envie d'inscrire en termes d'architecture et de témoignage une résidence de prestige. Nous avons eu la chance de gagner le concours lancé sur ce terrain proche de la Bibliothèque Nationale de France. C'était également l'occasion de travailler avec le grand architecte Henri Gaudin. L'opération qui comprend 58 logements se commercialise bien et les travaux vont démarrer d'ici la fin de l'année. Par ailleurs, nous terminons le Passage de verre, dans le 9e et avons d'autres projets dans le 13e, rue du Chevaleret notamment. Mais Paris est davantage pour nous une cible d'opportunités plutôt qu'une cible stratégique. Il n'y a pratiquement plus de foncier et les prix ont souvent dépassé le cadre du raisonnable. Aujourd'hui, je regrette que Paris ne puisse répondre à une clientèle familiale. Elle ne peut pas devenir une réserve pour personnes ou très riches ou très pauvres, très jeunes ou âgées. C'est malheureusement la tendance actuelle. Ce danger concerne à la fois les politiques et les opérateurs. Nous avons constaté lors de grandes opérations et à des niveaux de prix très différents, que la clientèle sortante de Paris se rabattait sur le neuf en proche périphérie, Issy à l'ouest, Saint-Denis au nord, faute de trouver une réponse parisienne en terme de logements. En Ile-de-France, nous sentons d'ailleurs que tout le marché est en train de migrer.
I.B. : Justement, parmi vos nombreux programmes en Ile-de-France, quels sont les plus emblématiques ?
E.M. : Il y en a quatre, qui ont en commun leur grande taille : Corentin Celton comprend 480 logements, en centre ville d'Issy-les-Moulineaux dans un cadre historique au cœur d'un parc protégé ; à Carrièressous- Poissy, 450 appartements vendus en accession à la propriété présentent une architecture et un urbanisme de bord de Seine ; à Bussy Saint- Georges, nous réalisons 650 appartements, 5 000 m2 de commerces et 9 000 m2 de bureaux dans une opération baptisée "O Vert". Enfin, au Plessis-Robinson, 250 logements, sur 3 immeubles dont un est en cours de commercialisation.
I.B : Quelles sont vos principales orientations stratégiques ?
E.M. : En premier lieu, la conquête de nouveaux marchés : c'est l'accompagnement de la demande vers une certaine délocalisation qui nous guide. Nous devons anticiper toujours plus loin du foncier, le rendre commercialisable et y élaborer des produits de qualité. Il y a un inter-marché entre les zones d'influences de bassins d'emplois régionaux comme Chartres, Orléans, Montargis, Reims, Compiègne et le marché de seconde, troisième couronne d'Ile-de-France. Car aujourd'hui, les frontières administratives franciliennes n'ont plus de sens. N'oublions pas que Tours, par exemple, n'est qu'à 50 mn de Paris en TGV. Nous devons donc répondre à une vraie demande naissante qui s'accompagne d'une vie meilleure, d'un environnement plus sain, d'une qualité de vie périurbaine. En second lieu, le service : notre show-room. Un client de Bouygues Immobilier peut opter pour des modifications dans tous les domaines de sa gamme et acquérir des produits associés, comme la mise en sécurité de son appartement, l'équipement de sa cuisine, etc.
Enfin, notre organisation géographique. Nous implantons progressivement nos directions régionales sur leur territoire : Grande Couronne à Massy, Grand Ouest à Vélizy et bientôt, Paris- Nord, en proche banlieue.
Notre stratégie et notre organisation sont efficaces car nous pesons aujourd'hui 15 % de parts de marché, contre 9 %, il y a deux ans.
I.B : D'une façon plus générale, quel regard portez-vous sur le marché ?
E.M. : Aujourd'hui, en raison des prix, les clients sont sous très haute pression. Cependant, nous estimons que la décélération des prix sera douce tant que nous serons capables de solvabiliser nos clients sur des zones de marché un peu plus lointaines avec des produits et des services de qualité. Il n'y aura pas de rupture forte tant que les taux resteront à des niveaux aussi bas qu'aujourd'hui (3,5 % environ) et que nous bénéficierons toujours de l'effet refuge de la pierre. Plus que jamais, l'immobilier est une valeur sûre, une épargne pour la retraite.
IB : Qu'est-ce qui a changé dans votre métier ?
E.M. : L'époque de la banalisation à outrance des produits est révolue. Nous effectuons un travail beaucoup plus fin, plus en profondeur sur la conception avec des produits thématiques. Notre objectif est de mettre notre créativité au service de nos clients pour contribuer à leur bien-être. C'est ainsi que la dimension environnementale devient un élément fondamental de notre stratégie. Nous avons donc créé et développé la démarche "Agir vert" pour tous nos programmes de logements. "Agir Vert"s'inscrit dans la démarche HQE(r) qui vise à maîtriser les impacts d'une opération de construction sur l'environnement. Notre métier de promoteur, que nous appelons chez nous "la passion créatrice", est de plus en plus engagé dans l'architecture, le développement durable, dans notre responsabilité de bâtisseur. Je considère toujours qu'un bâtiment est réussi quand c'est un bel objet, et qu'il a vraiment pris sa place, dans la ville et dans son environnement immédiat.

Acheter sans apport : est-ce possible ?

Acheter sans apport : est-ce possible ?

Vous connaissez sans doute les prêts modulables, les prêts "lissés" ou encore les prêts de longue durée... Vous connaissez sans doute moins les crédits à 100 %, voire 110 %. Des financements que les banques n'hésitent plus à proposer pour capter de nouvelles parts de marché.

Chauffage collectif

Chauffage collectif

Le chauffage collectif est vétuste, mais les copropriétaires majoritaires ne veulent pas y toucher. Puis-je être exonéré des charges de chauffage en installant une chaudière individuelle ? (Thomas T.,Vanves, 92)

CONDITIONS ATTRACTIVES

CONDITIONS ATTRACTIVES

De nos jours, emprunter à 100 % ne signifie pas un taux forcément plus élevé qu'en cas d'apport. Au CIC par exemple, le prêt "première habitation" peut être souscrit sur 30 ans et représenter jusqu'à 110 % du prix de l'opération. Réservé aux moins de 35 ans, ce prêt à taux fixe les dix premières années passe à taux révisable les 20 années suivantes. Il est toutefois possible de revenir à taux fixe à tout moment. Le taux fixe des dix premières années se situe à 3,40 %.

BUSSY SAINT-GEORGES

BUSSY SAINT-GEORGES

Ces 20 dernières années, plus de 8 000 logements ont vu le jour sur Bussy Saint-Georges, sur le secteur 3 de Marne-la-Vallée. Certains se trouvent dans l'enceinte même d'un superbe golf. Aujourd'hui, les constructions continuent de plus belle. 800 nouveaux logements sortent encore de terre chaque année. La proximité de la nature ne cède pas au développement urbain. En plus de ses 80 hectares d'espaces verts et 5 000 arbres plantés à travers la ville, le parc urbain traversera bientôt la ville d'ouest en est. À son extrémité orientale, le parc du Génitoy sera achevé dès 2006. C'est tout autour de ce nouvel espace que se développent les programmes actuellement. Dans le quartier résidentiel des Cents- Arpents, de nombreuses réalisations sont en cours, dont le domaine de Flore et la Villa Trévise, deux résidences de standing réalisées par France-Pierre.

Surface erronée

Surface erronée

J'ai acquis un logement dont la surface mentionnée à l'acte de vente est inférieure à la surface réelle. Quels sont mes droits ? (Maurice M., Drancy, 93)

1 % logement

1 % logement

Nous allons acheter un logement ancien avec mon épouse afin d'en faire notre résidence principale. Pouvons-nous chacun bénéficier d'un prêt 1 % logement ? (Bernard D., Noisy-le-Sec, 93)

Poste de concierge

Poste de concierge

Nous souhaiterions supprimer le poste de concierge dans notre copropriété. Cela est-il possible bien que notre règlement de copropriété en prévoie l'existence ? (Jacques R., Boulogne, 92)

Taux fixe, taux révisable : que choisir ?

Taux fixe, taux révisable : que choisir ?

Démarrant à 2,45 % à taux révisable et à un peu plus de 3 % à taux fixe, les conditions de crédit n'ont jamais été aussi attractives. Si vous envisagez d'acquérir un logement, vous n'avez peut-être pas intérêt à attendre davantage. Car la remontée des taux pronostiquée depuis des mois finira bien par arriver.

LES AUTRES QUARTIERS

LES AUTRES QUARTIERS

Issy ne se résume pas à ses berges de Seine et d'autres quartiers sont le théâtre de projets, certes moins spectaculaires, mais qui permettent de diversifier et d'étoffer l'offre de logements neufs. Au nord-est de la commune, en remontant vers la porte de Versailles, la Zac Corentin Celton est en fin de réalisation mais prévoit encore la construction de près de 1100 logements, dont 507 nouveaux sur les terrains libérés par l'hôpital. C'est dans ce cadre, rue Guynemer, que Bouygues Immobilier et Cogedim poursuivent l'offre de nouveaux logements profitant de l'hectare d'espaces verts protégés du jardin de la Cour d'Honneur. Au sud du jardin, cette nouvelle phase des Jardins du Carrousel compte 133 appartements qui bénéficient soit des jardins intérieurs, soit du jardin de la Cour d'Honneur, avec des prestations à la hauteur du cadre prestigieux. Dans cet environnement privilégié, à quelques minutes du métro et de la capitale, le prix moyen des 3-pièces s'établit à 398 000 €, pour des surfaces variant de 65 à 79 m2. A noter en plein coeur de ville, le lancement d'une nouvelle résidence signée Kaufman & Broad, les Terrasses Sainte-Clotilde, situées rue Jules-Guesdes. Enfin, cap au sud de la commune, vers les Hauts d'Issy, à la frontière avec Clamart et Meudon. Sur le boulevard Rodin, Les Terrasses Horizon signées Pierre Etoile affichent les prix les plus raisonnables de la commune, à partir de 3 641 €/m2, hors parking il est vrai. Non loin de la station du Rer C Issy Ville, tout près du parc Rodin, cette petite résidence abrite de beaux duplex, à partir de 117 m2, pour 540 000 €.

LA MODULATION EN PRIME

LA MODULATION EN PRIME

Le principe des prêts à échéances modulable est très simple et offre des avantages incontestables. Il vous permet, en effet, de moduler les mensualités de votre prêt par exemple tous les ans en fonction de vos besoins. Si vous décidez d'augmenter votre mensualité, vous rembourserez plus rapidement votre crédit et en réduirez d'autant le coût. A l'inverse, si vous avez des difficultés ponctuelles ou un achat important à réaliser, par exemple changer de voiture, peut-être aurez-vous avantage à réduire votre mensualité durant quelques mois. Les prêts modulables offrent également cette possibilité. Dans un tel cas, la durée du prêt s'allongera et renchérira le coût du crédit. En matière de prêt modulable, les formules sont bien rodées et tous les établissements financiers en proposent, qu'il s'agisse de banques de dépôts ou de banques spécialisées en financement immobilier. Dans la plupart des cas, l'augmentation à la hausse comme à la baisse représente de 20 à 30 % de la mensualité d'origine. Sous certaines conditions cependant. A titre d'exemple, à l'UCB, la modulation des échéances est possible dès le 13e mois. Si vous souhaitez rembourser plus vite, vous pouvez augmenter votre mensualité jusqu'à 30 % de l'échéance précédente. Ce qui diminue la durée du crédit. A l'inverse, si vous voulez abaisser votre mensualité, deux conditions doivent être respectées. En premier lieu, pour pouvoir abaisser votre mensualité, il faut que vous ayez auparavant procédé à une augmentation d'échéance. En second lieu, la baisse ne peut déboucher sur une mensualité inférieure à celle d'origine. A noter aussi que la faculté de modifier les mensualités est limitée à cinq fois sur toute la durée du prêt.